David Lean (1908-1991)

[AtCloseRange]

Revu Brève Rencontre.
Encore plus touché que la première fois. Le chef d'œuvre de sa première partie de carrière.
Je vais lui faire une place dans mon top 100.

[Bogus]

Revu avec un immense plaisir Le Pont de la rivière Kwai, véritable chef d'oeuvre d'ironie d'une très grande beauté formelle. Et quelle fin!
Il y a aussi la scène où le Colonel Nicholson (formidable Alec Guinness, comme tout le reste du casting d'ailleurs) fait le bilan de sa vie la veille de l'inauguration du pont qui m'émeut particulièrement...

[Watkinssien]

Je plussoie !!!

[someone1600]

+1

[xave44]

Revu avec un immense plaisir Le Pont de la rivière Kwai, véritable chef d'oeuvre d'ironie d'une très grande beauté formelle. Et quelle fin!
Il y a aussi la scène où le Colonel Nicholson (formidable Alec Guinness, comme tout le reste du casting d'ailleurs) fait le bilan de sa vie la veille de l'inauguration du pont qui m'émeut particulièrement...

+ 1

Scène que j'ai également trouvé très émouvante en effet.

- 1 : le générique de début qui manifestement n'a pas eu droit à une restauration...

[Jack Carter]

le livre de Brownlow pour moins de 15 euros
http://www.corlet-editions.fr/hs-david- ... r,4,82.cfm

[monk]

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ORDEEEERED
Merci

[Chapichapo]

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Egalement commandé, merci pour l'info

[Jeremy Fox]

Ceux qui servent en mer par Ronny Chester. Le film est sorti en combo BR/DVD chez Elephant Films.

[Commissaire Juve]

Comme ces films m'ennuient aujourd'hui (et je reste poli). Si on m'avait dit, lorsque j'avais 10 ans, qu'ils finiraient par me coller de l'urticaire, je ne l'aurais pas cru.

Taedium vitae ?

PS : "ennuyer" n'est peut-être pas le verbe qui convient. Je crois qu'il s'agit plutôt d'exaspération ! (c'est l'aspect "propagande" qui m'agace)

[Roy Neary]

Commissaire, je suis confus. J'ai complètement déliré avec mes boutons, hier j'ai confondu "éditer" et "citer". Ça fait des années que ça ne m’était pas arrivé. Du coup, je n'ai pu sauver que ta phrase en latin.

[Commissaire Juve]

C'est réparé. L'histoire de l'urticaire était dans la première version. j'avais remplacé par "voir en peinture", mais je ne me souviens plus de la forme de la phrase.

Le côté "ils étaient beaux, ils étaient forts, ils sentaient bon le sable chaud", je ne supporte plus (rien que dans La grande évasion, j'ai envie de coller des coups de pompe dans le train à Attenborough... ça doit être un problème de morgue britannique... parce que Steve McQueen est cool, lui). Seules les histoires sortant de l'ordinaire trouvent encore grâce à mes yeux : Opération Tirpitz (1955) ou L'évadé du camp 1 (1957) par exemple.

PS : le comble de l'horreur étant Quand les aigles attaquent où un coup de feu suffit à dézinguer 15 Allemands.

En fait, je crois que "I'm too old for this shit". Je veux des films de "gens ordinaires", des "polars", des histoires fantastiques... mais les films de guerre à papa ; la barbe.

[Roy Neary]

Oui mais il faut prendre ça comme une convention. Le film de propagande adopte un certain cahier des charges, l'intérêt est de voir comment les scénaristes et les réalisateurs font avec.

Et l'autre intérêt se situe dans les différences d'approche propagandiste entre les Américains, les Anglais, les Russes, les Allemands, les Français, etc.
Le côté "ils étaient beaux, ils étaient forts, ils sentaient bon le sable chaud" sied bien aux Américains, beaucoup moins aux Anglais dont le traitement de l'héroïsme au combat est bien différent, ce que montre bien Ceux qui servent en mer.

[Roy Neary]

Taedium vitae ?

Exilium vita est.

[Commissaire Juve]

Taedium vitae ?

Exilium vita est.

Euh... mais encore ? Précise ta pensée.