Et vous, qu'allez-vous regarder ce soir ?

[manuma]

Ça n'a pas empêché la superproduction Meteor, de Ronald Neame, d'avoir sournoisement "piqué" des plans de cette série B pour sa scène d'avalanche.
Supercherie que je suis LE SEUL à avoir dénoncée dans toute l'Histoire de l'Humanité.

C'est marrant sinon pour Pierre-William Glenn

...et Corman de financer 2 films avec la seule vente de ces quelques images !

[Addis-Abeba]

The Dunwich Horror.

Que Cinephage a adoré.

[Alexandre Angel]

...et Corman de financer 2 films avec la seule vente de ces quelques images !

Par contre, pour pinailler sur les dates (petit plaisir coupable ), 1978 me semble un peu juste pour passer à la télé vu qu'il est sorti à la fin de l'année je crois.

Mais c'est sûr que je l'ai vu avant la sortie de Meteor (janvier 1980) puisque j'en connaissais les images et que le côté "stock shots" dans le film de Neame m'avait énervé (Meteor, c'était pas terrible dans mon souvenir - à peine meilleur (?) que The what the hell Swarm)

[gnome]

Ce soir, je me lance dans Human Centipede 2 (full sequence).

Te le lance pas trop tard, sinon demain matin tu vas te réveiller avec la tête dans l'cul...

[manuma]

...et Corman de financer 2 films avec la seule vente de ces quelques images !

Par contre, pour pinailler sur les dates (petit plaisir coupable ), 1978 me semble un peu juste pour passer à la télé vu qu'il est sorti à la fin de l'année je crois.

Concernant la diffusion du film à L'avenir du futur, je dirais 1983 ou 84. Sinon ma préférence entre tous ces titres de fin de cycle va sans doute à When time ran out.... Le film souffre essentiellement d'arriver trop tard dans le genre, avec des péripéties convenues et des effets visuels totalement dépassés, mais il n'est pas désagréable à suivre...

[Alexandre Angel]

Que valait Cité en feu ?

[manuma]

Que valait Cité en feu ?

Souvenir agréable de celui-ci. Ca sent la restriction budgétaire, avec un p'tit côté téléfilm, le scénario (coécrit par Jack Hill) ne fait l'impasse d'aucun cliché du genre, mais le casting est top et ça ne lambine pas comme dans The Swarm. Là encore, certaines des séquences les plus spectaculaires de l’œuvre bénéficieront d'une seconde vie. On les retrouve dans le Ablaze de Fred Olen Ray avec Michael Dudikoff et Edward Albert, film à l'argument scénaristique très proche de celui de City on fire d'ailleurs.

[Torrente]

On les retrouve dans le Ablaze de Jim Wynorski avec Michael Dudikoff et Edward Albert

Corrigé

[cinephage]

Ce soir, je retrousse mes manches, et je me lance dans Sicilia ! de Straub & Huillet, actuellement disponible sur Mubi. Pour le moment, je n'ai vu qu'un film d'eux, Chronique d'Anna-Magdanela Bach, et j'ai été fort peu convaincu. J'ai surtout eu l'impression d'une esbrouffe, on révèle des choses factuellement riches, donc ça nous dispense de proposer des images travaillées...
J'espère trouver ici quelques clés qui me permettraient de mieux appréhender leur travail (ou alors de considérer qu'ils se foutent du monde avec de solides arguments). Le film est court, je prends peu de risques...

[Duane Jones]

Retour au cycle Ozu. Après le sublime Printemps tardif hier soir, je commence les années 50 avec peut-être Été précoce.

[Invité1]

Pour alléger un peu ma période de révisions, je viens de prendre 2 petites heures pour persévérer dans ma découverte de l'intégrale de Zack Snyder avec son deuxième film intitulé 300, dont je connaissais le titre sans néanmoins savoir de quoi ça parlait… Et le sujet étant basé sur la bataille des Thermopyles que j'ai étudiée en cours, ma surprise fut d'autant plus grande en constatant qu'il y a eu un minutieux travail d'investigation historique quant à la rédaction du scénario.

Néanmoins, je ne connais absolument pas le comic book de Miller dont le film est visiblement l'adaptation et je ne peux donc pas comparer les deux œuvres. Ce qui m'a été plus facile à faire en découvrant le massacre opéré par Snyder en remakant le fabuleux et pertinent Dawn of the Dead de feu Romero en métrage efficacement gore, certes, mais totalement dénué d'émotions.

Du coup, pour réaliser 300, sûrement que le choix de Snyder à la barre est à la base une bonne idée. Car il faut impérativement savoir que les émotions et l'armée spartiate menée par Léonidas 1er, ça faisait deux. D'ailleurs, l'intro du film explique parfaitement l'état d'esprit ultra guerrier de ce peuple (dont les femmes, dans la réalité, subissaient exactement la même difficile éducation que les hommes afin d'annihiler toute faiblesse humaine). Je m'attendais donc à quelque chose qui corresponde parfaitement à cette singulière éducation hyper destructrice qui se voit malheureusement atténuée par une approche psychologique des personnages très proches de notre siècle afin de sûrement satisfaire le plus vaste public possible.
Quant au montage, les insupportables ralentis (parce que quand Léonidas fait l'amour avec sa femme ou quand il massacre des milliers de Perses avec son armée, il le fait forcément au ralenti) ont achevé mon désir à plonger dans un univers aussi sauvage que celui que proposait Milius dans le célèbre Conan Le Barbare. Avec Snyder, le Spartiate qui se fait entailler le bras à coup de lance pousse un petit cri pour démontrer aux spectateurs que ça pique un peu. Même si son éducation dès l'âge de 7 ans a été, parmi d'autres choses, de totalement adhérer à toute souffrance physique et psychique. Bref, pas grand-chose ne va.

Esthétiquement, c'est parfois classe et parfois très laid, voire totalement foiré par moment. Arborer l'armée spartiate (au ralenti) tel un défilé de la gay pride ou des vacanciers à Sitges en plein mois d'août partant à la chasse aux mâles au Pacha du coin m'a aussi particulièrement fait rire. Même si Fassbender reste canon dans son petit slip en cuir et que Butler, avouons-le, avait un joli petit uq en 2006 (remarque absolument féminine et puérile que j'assume à 100 % ).

Bref, c'est sympa mais ça ne casse pas 3 pattes à un canard. J'ai néanmoins préféré celui-là au remake de Zombie pour le sérieux des faits historiques. Mais le bon film sur cette fameuse bataille ultra barbare que fut celle des Thermopyles reste indubitablement à faire.
5/10



Ce soir, pas de film, je repars plein pot dans mes révisions...

[The Eye Of Doom]

Pour alléger un peu ma période de révisions, je viens de prendre 2 petites heures pour persévérer dans ma découverte de l'intégrale de Zack Snyder avec son deuxième film intitulé 300, dont je connaissais le titre sans néanmoins savoir de quoi ça parlait… Et le sujet étant basé sur la bataille des Thermopyles que j'ai étudiée en cours, ma surprise fut d'autant plus grande en constatant qu'il y a eu un minutieux travail d'investigation historique quant à la rédaction du scénario.

Néanmoins, je ne connais absolument pas le comic book de Miller dont le film est visiblement l'adaptation et je ne peux donc pas comparer les deux œuvres. Ce qui m'a été plus facile à faire en découvrant le massacre opéré par Snyder en remakant le fabuleux et pertinent Dawn of the Dead de feu Romero en métrage efficacement gore, certes, mais totalement dénué d'émotions.

Du coup, pour réaliser 300, sûrement que le choix de Snyder à la barre est à la base une bonne idée. Car il faut impérativement savoir que les émotions et l'armée spartiate menée par Léonidas 1er, ça faisait deux. D'ailleurs, l'intro du film explique parfaitement l'état d'esprit ultra guerrier de ce peuple (dont les femmes, dans la réalité, subissaient exactement la même difficile éducation que les hommes afin d'annihiler toute faiblesse humaine). Je m'attendais donc à quelque chose qui corresponde parfaitement à cette singulière éducation hyper destructrice qui se voit malheureusement atténuée par une approche psychologique des personnages très proches de notre siècle afin de sûrement satisfaire le plus vaste public possible.
Quant au montage, les insupportables ralentis (parce que quand Léonidas fait l'amour avec sa femme ou quand il massacre des milliers de Perses avec son armée, il le fait forcément au ralenti) ont achevé mon désir à plonger dans un univers aussi sauvage que celui que proposait Milius dans le célèbre Conan Le Barbare. Avec Snyder, le Spartiate qui se fait entailler le bras à coup de lance pousse un petit cri pour démontrer aux spectateurs que ça pique un peu. Même si son éducation dès l'âge de 7 ans a été, parmi d'autres choses, de totalement adhérer à toute souffrance physique et psychique. Bref, pas grand-chose ne va.

Esthétiquement, c'est parfois classe et parfois très laid, voire totalement foiré par moment. Arborer l'armée spartiate (au ralenti) tel un défilé de la gay pride ou des vacanciers à Sitges en plein mois d'août partant à la chasse aux mâles au Pacha du coin m'a aussi particulièrement fait rire. Même si Fassbender reste canon dans son petit slip en cuir et que Butler, avouons-le, avait un joli petit uq en 2006 (remarque absolument féminine et puérile que j'assume à 100 % ).

Bref, c'est sympa mais ça ne casse pas 3 pattes à un canard. J'ai néanmoins préféré celui-là au remake de Zombie pour le sérieux des faits historiques. Mais le bon film sur cette fameuse bataille ultra barbare que fut celle des Thermopyles reste indubitablement à faire.
5/10



Ce soir, pas de film, je repars plein pot dans mes révisions...

Par contre la bd de Miller, tu peux y jeter un oeil en confiance.

[manuma]

On les retrouve dans le Ablaze de Jim Wynorski avec Michael Dudikoff et Edward Albert

Corrigé

J'ai une facheuse tendance à confondre ces 2 lascars. Seul toi pouvait corriger ça

[AtCloseRange]

Get a room!

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[Torrente]