Dvdclassik : cinéma et DVD

Flol a écrit : ↑7 mai 22, 14:41 Ce sera donc Cannibal Man avec Laurent Gerra.

Alors c'est marrant, mais j'ai finalement plus vu un mix entre Benjamin Biolay, Tony Curtis et Manu Payet.
Et le film est effectivement excellent.

Surement Albatros de Xavier Beauvois

Pour se soir se sera double programme avec :
et
Deux films issues du coffret :

Flol a écrit : ↑8 mai 22, 13:21

Flol a écrit : ↑7 mai 22, 14:41 Ce sera donc Cannibal Man avec Laurent Gerra.

Alors c'est marrant, mais j'ai finalement plus vu un mix entre Benjamin Biolay, Tony Curtis et Manu Payet.
Et le film est effectivement excellent.

J'ai visionné Cannibal man - La semaine d'un assassin avant-hier soir et effectivement j'ai trouvé que le "héros" avait une ressemblance avec Benjamin Biolay notamment (et un peu de Laurent Gerra et de Manu Payet aussi) !

Le film de Eloy de la Iglesia est vraiment excellent, avec une atmosphère très intrigante : j'espère que d'autres films du réalisateur seront édités prochainement, comme par exemple Le bal du vaudou, La criatura, ou encore El pico...

Maintenant que vous le dites Flol et toi, il y a effectivement du Benjamin Biolay

Hier soir, j'ai commencé ma soirée avec La Villa Santo Sospir, court-métrage documentaire réalisé en 1952 par Jean Cocteau qui a la spécificité d'être le seul film en couleur du célèbre poète. Durant 36 minutes, on y visite la superbe villa saint-jeannoise appartenant à Francine Weisweiller, une richissime amie de Cocteau, dont ce dernier s'occupa de l'entière décoration murale en créant de somptueuses fresques symboliques de son acabit. On y apprend, au détour d'un plan, qu'Edouard Dermit est également devenu peintre.
6/10

J'ai enchaîné avec Quand Tu Liras Cette Lettre…, 3ème long-métrage de Jean-Pierre Melville réalisé à Cannes en 1953. Souhaitant se défaire de son image de cinéaste intellectuel qui lui colle alors à la peau, Melville opte pour un scénario de Jacques Deval et un casting populaire en les personnes de Juliette Gréco, vedette de la chanson, et de Philippe Lemaire, coqueluche des adolescentes de l'époque, en leur offrant des rôles à contre-emploi. En carmélite novice, Gréco est absolument sublime, véritable incarnation de la mort, subtilement froide et masochiste. Lemaire s'en sort plutôt bien également en incarnant un séducteur violent et violeur. Le film n'est malheureusement pas tout à fait abouti à mes yeux malgré une direction photo plus que remarquable qui s'inspire allègrement de celle de Citizen Kane d'Orson Welles.
6.5/10

J'ai terminé ma soirée avec le documentaire Quand Tu Liras Cette Lettre… Post-Scriptum, réalisé en 2017 par Céline Gailleurd où le biographe officiel de Gréco (qui semble éperdument amoureux d'elle) et quelques critiques donnent leur avis objectif quant au film. Un intéressant supplément produit par la Gaumont pour l'édition BR où la copie du métrage est par ailleurs magnifiquement restaurée.
6/10

Ce soir, ce sera Bob Le Flambeur, toujours de Melville, pour continuer la découverte de sa filmographie dans l'ordre chronologique.

Donc hier soir, c'était Vij, ou le Diable (1972) de Konstantin Erchov, Gueorgui Kropatchev et Alexandre Ptouchko.

Bon sans surprise j'ai adoré. Ça commence de façon bien barrée le premier quart d'heure, continue en beuverie générale dans le deuxième, navigue ensuite dans la deuxième demi-heure entre chansons à boire, folklore russe et apparitions de sorcière (très migonne, la sorcière, d'ailleurs!) , et se finit de façon géniale avec toute la clique de monstres tous plus biscornus les uns que les autres sorties des Enfers.

Spoiler (cliquez pour afficher)

La séquence du cercueil volant en mode surf est l'un des grands moments du film

C'est visuellement superbe, pas très prise de tête, et surtout très comique, le récit dépeint la plupart des personnages, et surtout le principal, comme lâches, alcooliques, plus enclins à se remplir la panse que de se sentir concernés par les préceptes religieux.
Un seul regret, que ça ne dure pas plus longtemps.

Ce soir c'est Asako 1&2. La couleur rose bonbon du dvd et le résumé tout aussi sucré me font un peu peur, mais à voir, paraitrait que le film serait un peu plus qu'une simple histoire d'amour bateau. De la part du réalisateur de Drive My Car, qui m'a fortement touché, ça a tout pour m'intriguer en tout cas...

Quand je lis que vous enchaînez parfois trois films dans la même soirée, je prends 20 piges dans les dents...

Et pourtant, je ne suis pas un bambin.
Cela dit, je "n'enchaîne" jamais, si je viens de voir un chef-d’œuvre bouleversifiant. Je laisse baigner dans son jus


Soirée "Hollywood naïte" d'hier soir avortée pour cause de cinéma (un film tellement bluffant que je ne m'en suis toujours pas remis, un joyau du 7ème Art, une merveille esthétique et scénaristique... mais sans Johnny Depp - si on n'a même plus le droit de taper sur sa femme, où va t'on ?!).

Donc, ce soir, je pioche dans une petite pile de films aux titres formidables comme Perfect prey, Mayday, Embuscade, The contract... miam-miam, j'ai hâte !
Mais il faut bien finir de faire de la place, ce n'est pas le moment de flancher. Et, pour être tout à fait honnête, je sens bien Embuscade. On verra bien si j'ai le nez creux...

Torrente a écrit : ↑8 mai 22, 20:07 Et pourtant, je ne suis pas un bambin.
Cela dit, je "n'enchaîne" jamais, si je viens de voir un chef-d’œuvre bouleversifiant. Je laisse baigner dans son jus

Haha. Nan mais c'est pas ça... (cf. ma signature).
En fait, si je reviens à un par soir prochainement, ça sera déjà bien. Déjà.
Par contre je suis du même avis que toi, que ce soit au cinéma ou à la maison, quand je prends une claque, je laisse un peu de temps s'écouler.

Bon, j'ai comme une envie de fraises, mais à la place des fraises, il me faut subitement TOUT Pablo Larraín en blu-ray voire même DVD si pas de blu-ray. Du coup ce sera recherches et donc pas de visionnage

Finir The Empire of Corpses. Fascinant, mais exigeant. Pas le recul encore sur l'auteur "Project Itoh", mais j'aime bien. Des défauts, mais rafraichissant, et rien que pour ça...

Suite et fin du Juan Piquer Simon, par ailleurs tout à fait à la hauteur de mes attentes.

Les week ends maléfiques du comte Zaroff

Dunn a écrit : ↑8 mai 22, 22:33 Les week ends maléfiques du comte Zaroff

Quelle bonne idée ! Joëlle Cœur, Nathalie Zeiger, Martine Azencot, Michel Lemoine... Toute une époque et tout un univers que m'a fait découvrir Le Chat qui Fume grâce à ses diverses éditions. Par ailleurs, j'aime beaucoup Les Désaxées, également de Lemoine.
Bonne séance à toi !

Justement j'ai aimé les désaxés mais pas du tout celui là...