Dvdclassik : cinéma et DVD

C’était de quel film qu’on causait déjà ?

Jack Carter a écrit : ↑25 juil. 23, 00:18 C’était de quel film qu’on causait déjà ?

bocina a écrit : ↑15 juin 23, 14:12

Karras a écrit : ↑14 juin 23, 07:24 Marcel le Coquillage (6,5/10)

Y'a pas un blu ray qui pourrait sortir chez nous ?! C'est quand même dingue ça...

Marcel le coquillage, donc.
C'était en page 91, tu pourrais faire l'effort de suivre un peu.

Indiana Jones and the Dial of Destiny : 6,5/10

tchi-tcha a écrit : ↑25 juil. 23, 00:31

Jack Carter a écrit : ↑25 juil. 23, 00:18 C’était de quel film qu’on causait déjà ?

bocina a écrit : ↑15 juin 23, 14:12
Y'a pas un blu ray qui pourrait sortir chez nous ?! C'est quand même dingue ça...

Marcel le coquillage, donc.
C'était en page 91, tu pourrais faire l'effort de suivre un peu.

-65 : La Terre d'avant

Bien représentatif du cinéma de SF du 21 ème siècle.
Pas de scénario, vfx nul avec des dinosaures bien moches. Remake Lidl de Jurassic parc...
Mon dieu que c'est con.
Sam Raimi qui produit, ha ha ha .

1/10


-Air: C'est assez passionnant je me demande si j'ai déjà vu Matt Damon mauvais.

6/10

The First Slam Dunk de Inoue Takehiko et Ebara Yasuyuki 6/10
Le Capitaine Volkonogov s’est échappé de Natalia Merkoulova et Alexeï Tchoupov 5/10
Oppenheimer de Christopher Nolan 5/10
Les Colons de Felipe Gálvez Haberle 5/10
Pearl de Ti West 4/10
Farang de Xavier Gens 4/10

Addis-Abeba a écrit : ↑25 juil. 23, 12:29 je me demande si j'ai déjà vu Matt Damon mauvais.

Je me pose souvent la même question. Pour aboutir toujours à la même réponse : "non".

Farang 5/10

Vers un avenir radieux : 6,5/10

Un Moretti assez moyen, le message qu'il veut faire passer est intéressant, mais il le fait maladroitement pendant une bonne partie du film, certaines scenes tombent à plat. Sa crise de couple m'a paru parasiter l'ensemble, et j'ai pas compris la signification de la grande parade de fin de film. Après, j'ai peut être pas toutes les références pour la comprendre...

Ballard73 a écrit : ↑25 juil. 23, 22:06 Vers un avenir radieux : 6,5/10

Un Moretti assez moyen, le message qu'il veut faire passer est intéressant, mais il le fait maladroitement pendant une bonne partie du film, certaines scenes tombent à plat. Sa crise de couple m'a paru parasiter l'ensemble, et j'ai pas compris la signification de la grande parade de fin de film. Après, j'ai peut être pas toutes les références pour la comprendre...

Ah moi ce final m'a fait un bien fou ! Je suis sortie du cinéma avec le sourire jusqu'aux oreilles. Je te propose de lire la critique intéressante du ciné-club de Caen : https://www.cineclubdecaen.com/realisat ... adieux.htm

Un hiver en été (4/10) : Un enchainement de poncifs malgré une belle distribution.
Rendez-vous à Tokyo (5/10)

Les Herbes sèches (Nuri Bilge Ceylan) : 7/10
Indéniablement un beau film, aux entrelacs atmosphériques, thématiques et esthétiques denses et captivants. Une certaine pesanteur cependant. Et puis c'est long.

Je trouve qu'on n'emploie pas assez l'expression "en eau de boudin" sur ce forum, c'est dommage.

La Maison du Mal (Samuel Bodin) 3,5/10
(Quand John Carpenter faisait de longs traveliings dans les rues d'Haddonfield, on pouvait y identifier un style, une signature. Dans tous ces films appliqués comme La Maison du Mal, remplis de lents mouvements oppressants dans de sombres couloirs oppressants, accompagnés d'une musique sourde et oppressante - sans oublier les jump scares du pauvre parce qu'on n'a toujours pas trouvé mieux, il ne reste plus que du savoir-faire technique, soigné mais anonyme, pour des résultats peu inspirés, interchangeables et oubliables. Le bain de sang final en donnera peut-être pour leur argent aux amateurs - tant que la créature ne montre pas son visage - pour autant qu'on fasse abstraction d'une écriture complètement bâclée dans son dernier acte. La conclusion en eau de boudin ne fera que sceller son sort.)

Asteroid City (Wes Anderson) 6,5/10
(Une étincelle de vie, mais dans un film encore convalescent. Je ne vois pas trop l'utilité de la mise en abîme, poupée gigogne méta qui s'acharne à rappeler la dimension théâtrale de ce qu'on voit et à dévitaliser l'émotion (toute en retenue mais bien présente malgré tout). Comme si Anderson ne voulait pas que son cinéma se mette à vibrer, à respirer, comme s'il était effrayé de voir de la vie exister à l'intérieur de la cage constituée par ses dispositifs de mise en scène. Très joli sens pictural, très jolie direction d'acteurs (en tout cas pour ceux qui ne sont pas réduits à un caméo ou de la quasi-figuration), moins d'agitation vaine que dans The Grand Budapest Hotel (le film point de bascule/rupture pour moi), mais toujours cette peur du vivant dans un cinéma de plus en plus mécanisé. À ce niveau ça ne peut plus passer pour de la pudeur, c'est réellement devenu une phobie. You can't wake up if you don't fall asleep... Certes... mais encore ?)

Mission Impossible - Dead Reckoning Partie 1 : 7,5/10