Je me pose la même question, ça ressemble à un mélange réussi entre Love et les Doors, morceau génial, géniallement utilisé. Quelqu'un sait de qui c'est? Si c'est téléchargeable?Max Schreck a écrit : Je ne sais pas si c’est l’œuvre de Peer Raben, le compositeur attitré de Fafa, mais une très belle ballade pop vient rythmer le film et imprimer une mélancolie latente sans laquelle je ne pense pas que l'émotion passerait.
Rainer Werner Fassbinder (1945-1982)
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Réponse sur imdb :Verbal a écrit :Je me pose la même question, ça ressemble à un mélange réussi entre Love et les Doors, morceau génial, géniallement utilisé. Quelqu'un sait de qui c'est? Si c'est téléchargeable?Max Schreck a écrit : Je ne sais pas si c’est l’œuvre de Peer Raben, le compositeur attitré de Fafa, mais une très belle ballade pop vient rythmer le film et imprimer une mélancolie latente sans laquelle je ne pense pas que l'émotion passerait.
"So Much Tenderness"
Written by Rainer Werner Fassbinder and Peer Raben
Performed by Guenther Kaufmann

« Vouloir le bonheur, c'est déjà un peu le bonheur. » (Roland Cassard)
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Revu Le Droit du Plus Fort : chef-d'oeuvre d'une franchise toute simple, jamais lourdaud dans son discours sur la lutte des classes. La dernière scène est inoubliable.
Par contre, affreusement déçu par La Troisième Génération, qui est vraiment ennuyeux en plus d'être confus (la fameuse trouvaille sonore s'avère rapidement pénible et laisse le spectateur à distance). Je rejoins l'avis de Francis Moury même si je comprends les arguments de Constantine.
Par contre, affreusement déçu par La Troisième Génération, qui est vraiment ennuyeux en plus d'être confus (la fameuse trouvaille sonore s'avère rapidement pénible et laisse le spectateur à distance). Je rejoins l'avis de Francis Moury même si je comprends les arguments de Constantine.
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Mon premier Fassbinder. En acteur, il s'y montre étonnant de subtilité, très touchant en fait dans son désir d'être aimé, quitte à se laisser instrumentaliser de la manière la plus sordide qui soit. En fait lui, le petit prolétaire, est le seul personnage à faire preuve d'une attitude et de sentiments nobles, face à des bourgeois décadents qui se conduisent comme les pires raclures.Bob Harris a écrit :Revu Le Droit du Plus Fort : chef-d'oeuvre d'une franchise toute simple, jamais lourdaud dans son discours sur la lutte des classes. La dernière scène est inoubliable.
Pas été loin de verser ma larmounette à la fin....
Maintenant que j'y pense avec le recul des autres Fassbinder vus depuis, Fox est un double inversé parfait de Maria Braun....

Yep, ça pourrait paraître très manichéen raconté comme ça, mais le film est plein de subtilité. Fafa joue parfois de façon un peu théâtrale mais il a une présence magnétique.Jack Sullivan a écrit :Mon premier Fassbinder. En acteur, il s'y montre étonnant de subtilité, très touchant en fait dans son désir d'être aimé, quitte à se laisser instrumentaliser de la manière la plus sordide qui soit. En fait lui, le petit prolétaire, est le seul personnage à faire preuve d'une attitude et de sentiments nobles, face à des bourgeois décadents qui se conduisent comme les pires raclures.

Bon, faudrait que je découvre enfin ce Maria Braun...
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Bob Harris a écrit : Yep, ça pourrait paraître très manichéen raconté comme ça, mais le film est plein de subtilité.

Je cherchais pas à te contredire, chuis d'accord avec toi !Jack Sullivan a écrit :Oui non mais attend, c'est du résumé condensé aussi, faut pas pousser! Je commence précisément par parler de la subtilité du jeu de Fassbinder, et bon, si sa peinture des relations humaines regorge de nuances, sa critique sociale (dans ce film-ci en tout cas) n'est pas d'une profondeur étourdissante

Et en effet, tu as raison de préciser que c'est toute la nuance apportée aux relations humaines qui empêche au film de sombrer dans le manichéisme. V'là, v'là...
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C'est à dire que être d'accord avec quelqu'un ne signifie pas qu'on lui passe la pommade (ou qu'on lui cire les tongs).Jack Sullivan a écrit :C'est bien pour ça que je t'adoreBob Harris a écrit : Je cherchais pas à te contredire, chuis d'accord avec toi !![]()
(ceci dit, arrête, mes tongs n'ont pas besoin de cirage, je t'assure)
Momo
L'alcool, c'est mal.styx a écrit :Je comprends pas grand chose à vos salades, mais vous avez l'air bien sur de vous, donc zetes plus à même hein de parler, de sacrés rigolos que vous faites en fait, merde ça rime lourd là, je vais éditer. mdr
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C'est-à-dire que de rédiger une demi-ligne dépourvue de smileys ne signifie pas pour autant qu'on se prend au sérieux. Et je crois que Bob, au contraire de toi, l'avait saisi (sinon on aurait eu une petite explication virile mais correcte).Momo la crevette a écrit : C'est à dire que être d'accord avec quelqu'un ne signifie pas qu'on lui passe la pommade (ou qu'on lui cire les tongs).
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Excuse moi, je n'avais que ton oeuvre classikienne comme référence et comme elle est souvent dans le même ton et toujours dépourvue de smileys, je me suis trompé.Jack Sullivan a écrit :C'est-à-dire que de rédiger une demi-ligne dépourvue de smileys ne signifie pas pour autant qu'on se prend au sérieux. Et je crois que Bob, au contraire de toi, l'avait saisi (sinon on aurait eu une petite explication virile mais correcte).Momo la crevette a écrit : C'est à dire que être d'accord avec quelqu'un ne signifie pas qu'on lui passe la pommade (ou qu'on lui cire les tongs).
Tiens, un smiley rien que pour toi :

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L'alcool, c'est mal.styx a écrit :Je comprends pas grand chose à vos salades, mais vous avez l'air bien sur de vous, donc zetes plus à même hein de parler, de sacrés rigolos que vous faites en fait, merde ça rime lourd là, je vais éditer. mdr
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Dans le même ton et dépourvue de smileys, "toujours"?Momo la crevette a écrit : Excuse moi, je n'avais que ton oeuvre classikienne comme référence et comme elle est souvent dans le même ton et toujours dépourvue de smileys, je me suis trompé.

Momo la crevette a écrit :Tiens, un smiley rien que pour toi :![]()

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Vous m'avez comprisJohn Constantine a écrit :Francis devrait probablement s'attendre à un traitement à l'italienne du terrorisme genre années de plomb, ou du moins plus sérieux type conspiration à l'américaine seventies.Bob Harris a écrit :Dans sa critique DVD, Francis Moury tape dur sur La troisième génération :
http://www.ecranlarge.com/test-dvd-750.php
C'est vraiment si mauvais que ça?

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