Re: Yasujiro Ozu (1903-1963)
Publié : 6 juil. 13, 20:22
Il n'y fait qu'une courte apparition.Jeremy Fox a écrit :Chyshu Ryu seul
1959 : Herbes flottantes (Ukigusa)
Il n'y fait qu'une courte apparition.Jeremy Fox a écrit :Chyshu Ryu seul
1959 : Herbes flottantes (Ukigusa)
Merci. Celui-ci est une sorte de suite de Printemps tardif, non ? Outre le titre les noms des deux personnages sont très proches tout en étant différents..Jeremy Fox a écrit :
1951 : Eté précoce (Bakushû)
Supfiction a écrit :Merci. Celui-ci est une sorte de suite de Printemps tardif, non ? Outre le titre les noms des deux personnages sont très proches tout en étant différents..Jeremy Fox a écrit :
1951 : Eté précoce (Bakushû)
Quoiqu'il en soit, pas de dvd avec stf dispos pour le moment.
Corrigébruce randylan a écrit :Il y a une petite coquille. Le fils unique, c'est son premier film parlant
daniel gregg a écrit :
PRINTEMPS TARDIF- Yasujiro Ozu (1949)
Il y a de ces découvertes (tardives c'est bien le mot) qui bouleversent jusqu'à l'obsession.
Ici ce serait, en l'occurrence, désormais de découvrir le maximum de films parlants visibles d'Ozu, ses films muets, au rythme plus alerte, ne m'ont pas, pour l'instant, fait le même effet que ce chef d'oeuvre à la sérénité touchante, qui filme caméra au sol, avec une patience de grand sage et une justesse infinie, la lente métamorphose qu'opère le temps sur les âmes, les petites révolutions de tous les jours dans cette petite cellule familiale, un père et sa fille en age de se marier.
La fin, mélancolique, est traitée avec délicatesse comme une renaissance.
Oui, c'était un fan du cinéma hollywoodien il me semble : dans un de ses films ses personnages vont voir le film à sketch dont Lubitsch a réalisé un segment. Mais après la guerre, il a peut-être été un peu plus amer à propos de l'Occident.daniel gregg a écrit :Merci, joli texte !![]()
Concernant l'occidentalisation du Japon, je ne suis pas certain qu'Ozu voulait la dénoncer.
Dans ses films muets, on voit très souvent des références cinéphiliques, des posters de Borzage (seventh heaven) notamment, dans une chambre d'étudiant.
Possible.Jeremy Fox a écrit :Oui, c'était un fan du cinéma hollywoodien il me semble : dans un de ses films ses personnages vont voir le film à sketch dont Lubitsch a réalisé un segment. Mais après la guerre, il a peut-être été un peu plus amer à propos de l'Occident.daniel gregg a écrit :Merci, joli texte !![]()
Concernant l'occidentalisation du Japon, je ne suis pas certain qu'Ozu voulait la dénoncer.
Dans ses films muets, on voit très souvent des références cinéphiliques, des posters de Borzage (seventh heaven) notamment, dans une chambre d'étudiant.
If I had a million, dans Femme de Tôkyô (1933).Jeremy Fox a écrit :Oui, c'était un fan du cinéma hollywoodien il me semble : dans un de ses films ses personnages vont voir le film à sketch dont Lubitsch a réalisé un segment.daniel gregg a écrit :Merci, joli texte !![]()
Concernant l'occidentalisation du Japon, je ne suis pas certain qu'Ozu voulait la dénoncer.
Dans ses films muets, on voit très souvent des références cinéphiliques, des posters de Borzage (seventh heaven) notamment, dans une chambre d'étudiant.
Dans ses derniers films, on sent clairement qu'il observe avec tristesse l'américanisation de ses concitoyens qui se mettent à la sur-consommation, au whisky et au golf. Ce que montrera aussi Wenders dans son magnifique documentaire-hommage Tôkyô-ga (1985).Mais après la guerre, il a peut-être été un peu plus amer à propos de l'Occident.
Avec Citizen Kane, comme faisant partie de ses films préférés.Jeremy Fox a écrit :Oui, c'était un fan du cinéma hollywoodien il me sembledaniel gregg a écrit :Merci, joli texte !![]()
Concernant l'occidentalisation du Japon, je ne suis pas certain qu'Ozu voulait la dénoncer.
Dans ses films muets, on voit très souvent des références cinéphiliques, des posters de Borzage (seventh heaven) notamment, dans une chambre d'étudiant.
Il a du en apprécier la mélancolie derrière le portrait féroce même si j'aurais plutôt imaginé Ozu préférant La splendeur des Amberson. Deux films qui auraient (presque) pu s'intituler Où sont les rêves de jeunesse ?...Watkinssien a écrit :Avec Citizen Kane, comme faisant partie de ses films préférés.Jeremy Fox a écrit :Oui, c'était un fan du cinéma hollywoodien il me semble