Ce n'est pas un mauvais film tout de même... Mais il y a toujours une certaine distance entre moi et les films de Danny Boyle. Il y a un petit truc qui m'agace chez lui, je ne sais pas trop comment expliquer... Je n'ai jamais été vrament "emballé" par un de ses films.Rockatansky a écrit : Ah quand même
28 days later de Danny Boyle
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ben moi je suis une grande fan de danny boyle, depuis son 1er film (bon, the beach j'ai pas trop aimé, après avoir adoré le bouquin, je ne pouvais qu'être déçue avec dicaprio dans le rôle titre), et 28 days later, il est sorti en belgique il y a quelques semaines, mais j'ai pas su aller le voir, il passait qu'en vf, j'ai commandé le dvd z2uk, je devrais le recevoir dans quelques jours, je suis hyper impatiente d'enfin voir le film
!!

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effectivement,j'ai vu hier le film donc,j'ai passé un bon moment mais comme pour Bill,il ne m'a pas laissé beaucoup de traces...
le cinéma de danny Boyle est beaucoup plus creux et superficiel que celui de Romero(sa trilogie des morts-vivants,impérissable)...l'oeuvre de Boyle est peut être un peu trop "tendance",dans l'air du temps...même si, je le répète, 28 DAYS LATER est ce qu'il a fait de plus digeste pour l'instant!


le cinéma de danny Boyle est beaucoup plus creux et superficiel que celui de Romero(sa trilogie des morts-vivants,impérissable)...l'oeuvre de Boyle est peut être un peu trop "tendance",dans l'air du temps...même si, je le répète, 28 DAYS LATER est ce qu'il a fait de plus digeste pour l'instant!
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J'adoooore cette expressionBenedicteF a écrit :il est sorti en belgique il y a quelques semaines, mais j'ai pas su aller le voir

Une bonne surprise pour ma part, des plans d'un Londres vidé vertigineux, une B.O évidemment excellente, de belles ambiances et des séquences à suspens qui fonctionnent vraiment très bien.
Je ne suis pas sur qu'on puisse dire du film qu'il est creux, il y a tout de même des choses à dire sur l'évolution du héros et un message sur notre société industrielle...
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MoyenLeopold Saroyan a écrit :Est-ce que les vrais fans de fantastique apprécient ce film?
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Idem : franchement moyen.
Moi qui m'attendais à de la grosse tripaille qui tâche, un film hyper glauque et malsain (même s'il y a quelques fulgurances visuelles de ci de là)...bah j'ai été vraiment déçu.
Toute la dernière partie dans la base militaire m'a paru creuse et sans intérêt, alors que j'attendais plutôt un huis-clos flippant...bah pas grand chose finalement, si ce n'est des gros militaires bien beaufs en manque de sexe.
Et puis pourrait-on m'expliquer en quoi la BO est excellente ? A la limite, je serais ok pour dire qu'en dehors du film, elle peut être sympa.
Mais dans le film, c'est une horreur !!!
Par l'utilisation de la DV, Boyle a souhaité recréer une ambiance "documentaire", avec un gros grain, caméra à l'épaule, etc...alors que vient foutre ici cette musique omniprésente et 10 fois trop forte, plombant un certain nombre de scènes ?? (notamment les plus stressantes, dans l'escaleir de l'immeuble en particulier...il y a des moments où le silence est préférable).
Mais c'est un des problèmes de toute l'"oeuvre" de Boyle : une utilisation malhabile de ses BO.
Bref pour conclure, je dirais que les gens qui s'attendent à voir un hommage à Romero risque d'être déçu (manque d'impact visuel et narratif...ET DE GORE QUI TACHE !!!).
Voilà, c'est un fan de fantastique qui a parlé.
Moi qui m'attendais à de la grosse tripaille qui tâche, un film hyper glauque et malsain (même s'il y a quelques fulgurances visuelles de ci de là)...bah j'ai été vraiment déçu.

Toute la dernière partie dans la base militaire m'a paru creuse et sans intérêt, alors que j'attendais plutôt un huis-clos flippant...bah pas grand chose finalement, si ce n'est des gros militaires bien beaufs en manque de sexe.
Et puis pourrait-on m'expliquer en quoi la BO est excellente ? A la limite, je serais ok pour dire qu'en dehors du film, elle peut être sympa.
Mais dans le film, c'est une horreur !!!

Par l'utilisation de la DV, Boyle a souhaité recréer une ambiance "documentaire", avec un gros grain, caméra à l'épaule, etc...alors que vient foutre ici cette musique omniprésente et 10 fois trop forte, plombant un certain nombre de scènes ?? (notamment les plus stressantes, dans l'escaleir de l'immeuble en particulier...il y a des moments où le silence est préférable).
Mais c'est un des problèmes de toute l'"oeuvre" de Boyle : une utilisation malhabile de ses BO.
Bref pour conclure, je dirais que les gens qui s'attendent à voir un hommage à Romero risque d'être déçu (manque d'impact visuel et narratif...ET DE GORE QUI TACHE !!!).
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Faudrait qu'on m'explique un truc : ce film a été présenté comme une continuation, un hommage ou quoi que ce soit par rapport à la trilogie des morts vivants de Romero ? Si oui, par qui ? Je vois tout le monde y faire référence, ça m'intrigue ( je n'ai pas vu le film, mais je compte le faire ).
[...]But being this a .44 magnum, the most powerful handgun in the world, and would blow your head clean off, you have to ask yourself one question : "Do I feel lucky ?". Well, do you, punk ?
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Leopold Saroyan a écrit :Je précise pour ceux qui n'auraient pas saisi que mon post au-dessus était une petite plaisanterie visant un forumeur parti en vacances.
Le temps qu'il revienne, c'est pas sûr qu'il puisse la lire ...
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ça été présenté comme un film de zombie, donc l'analogie à Romero est évidente et obligatoireTuck pendleton a écrit :non Boyle n'a eu aucun lien avec Romero. Ce n'est pas non plus un hommage.harry callahan a écrit :Faudrait qu'on m'explique un truc : ce film a été présenté comme une continuation, un hommage ou quoi que ce soit par rapport à la trilogie des morts vivants de Romero ?
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d'un autre côté, si on en croit les grands spécialistes, on ne peut absolument pas considérer ca comme un film de zombies vu que les "êtres" ne sont pas morts pour devenir des zombies, ils sont juste contaminés et ont une sale gueule.Rockatansky a écrit :ça été présenté comme un film de zombie, donc l'analogie à Romero est évidente et obligatoireTuck pendleton a écrit :
non Boyle n'a eu aucun lien avec Romero. Ce n'est pas non plus un hommage.
par rapport à la BO, rien que l'utilisation de Godspeed you black emperor est une choix divin pour quelques scènes.
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Je suis bien d'accord avec toi, mais je te parlais juste de la façon dont cela était vendu, et même pendant le tournage c t bourré d'allusion aux zombiesNicofieu a écrit : d'un autre côté, si on en croit les grands spécialistes, on ne peut absolument pas considérer ca comme un film de zombies vu que les "êtres" ne sont pas morts pour devenir des zombies, ils sont juste contaminés et ont une sale gueule.
par rapport à la BO, rien que l'utilisation de Godspeed you black emperor est une choix divin pour quelques scènes.
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J'ai vu 28 days later avant-hier... parce que la salle de Basic était complète...
Et bien, je n'ai pas vraiment été convaincu, c'est le moins que l'on puisse dire...
Pour commencer par une appréciation générale, je trouve l'image en DV vraiment laide et surtout pas justifiée. En effet, il y a beaucoup de plans "esthétisants" dans le film (angles de caméra surprenants, couleurs sur-saturées) qui seraient beaucoup mieux passés en 35 mm. Le style est loin d'être documentaire (montage sur-découpé, angles insolites), donc pourquoi la DV?
Ensuite, comme cela a déjà été dit, la BO, et surtout son utilisation (le silence est tellement plus inquiétant dans une ville déserte), est vraiment affligeante
.
Enfin, au niveau de la structure, la première et la dernière scène sont d'un stupidité et d'une laideur qui dépassent l'entendement. Mieux aurait valu entrer directement dans le vif du sujet et clore le film de façon abrupte (classique mais efficace).
Le film ne décolle donc qu'au réveil du héros dans un hôpital. Suit alors un enchaînement de plans assez surprenants où il découvre avec une angoisse grandissante qu'il n'y plus personne. Mais pourquoi
faire monter le volume de la musique, et pourquoi mettre de la musique ici, en fait, vu qu'il n'y a personne et pas d'action
Du coup, la première rencontre avec les contaminés n'est pas très tendue... voire même ridicule
(elle se conclut par un gros effet de manche : une explosion vue sous toutes les coutures : de près, de loin, en plongée, au ras du sol...
)
S'ensuit la partie du film la plus réussie, où l'on voit un groupe se former et reconstituer peu à peu une cellule amicale/familiale.
Malheureusement, la mise en scène reste maladroite (les combats sont incompréhensibles, sans enjeux ni stratégie...) et les amateurs de Carpenter pourront ici songer à ce qu'aurait pu en faire le réalisateur d'Assaut.
Deux scènes seulement sont à sauver : celle du tunnel (enfin un peu de suspense
) et celle du supermarché (cette dernière fonctionne vraiment bien comme détournement publicitaire - on dirait une pub Auchan
).
La partie avec les soldats (dirigés par un sous Colonnel Kurtz) achève de détruire le peu de tension et d'espoir qui étaient nés de la partie centrale du film
.
Conclusion (sans appel)
D'habitude, on dit "Untel, un cinéaste à suivre". Dans ce cas, je dis, étant donné le passif du bonhomme, je dis "Danny Boyle, un cinéaste(?) à laisser tomber sans état d'âme."
Et bien, je n'ai pas vraiment été convaincu, c'est le moins que l'on puisse dire...
Pour commencer par une appréciation générale, je trouve l'image en DV vraiment laide et surtout pas justifiée. En effet, il y a beaucoup de plans "esthétisants" dans le film (angles de caméra surprenants, couleurs sur-saturées) qui seraient beaucoup mieux passés en 35 mm. Le style est loin d'être documentaire (montage sur-découpé, angles insolites), donc pourquoi la DV?
Ensuite, comme cela a déjà été dit, la BO, et surtout son utilisation (le silence est tellement plus inquiétant dans une ville déserte), est vraiment affligeante

Enfin, au niveau de la structure, la première et la dernière scène sont d'un stupidité et d'une laideur qui dépassent l'entendement. Mieux aurait valu entrer directement dans le vif du sujet et clore le film de façon abrupte (classique mais efficace).
Le film ne décolle donc qu'au réveil du héros dans un hôpital. Suit alors un enchaînement de plans assez surprenants où il découvre avec une angoisse grandissante qu'il n'y plus personne. Mais pourquoi



Du coup, la première rencontre avec les contaminés n'est pas très tendue... voire même ridicule



S'ensuit la partie du film la plus réussie, où l'on voit un groupe se former et reconstituer peu à peu une cellule amicale/familiale.
Malheureusement, la mise en scène reste maladroite (les combats sont incompréhensibles, sans enjeux ni stratégie...) et les amateurs de Carpenter pourront ici songer à ce qu'aurait pu en faire le réalisateur d'Assaut.
Deux scènes seulement sont à sauver : celle du tunnel (enfin un peu de suspense


La partie avec les soldats (dirigés par un sous Colonnel Kurtz) achève de détruire le peu de tension et d'espoir qui étaient nés de la partie centrale du film

Conclusion (sans appel)
D'habitude, on dit "Untel, un cinéaste à suivre". Dans ce cas, je dis, étant donné le passif du bonhomme, je dis "Danny Boyle, un cinéaste(?) à laisser tomber sans état d'âme."
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