odelay a écrit :Sinon dans le style je découvre adulte un film destiné au enfants :
J'ai vu pour la première fois de ma vie il y a 15 jours Les Goonies du même Donner (bizarrement, je n'avais jamais réussi à le voir pour X raisons).
J'ai été absolument attéré par ce film vues les attentes que j'avais envers lui à cause le générique et des propos habituellement bienveillants qu'il suscite . Les gamins jouent vraiment comme des patates, le traitement du scènar qui part d'une bonne idée est franchement poussif, les gags sont énoooormes et pas drôles, l'esprit BD et l'hommage au ciné d'antan sont très artificiels... Pourtant je partais avec les meilleures intentions du monde en le voyant et je suis habituellement assez client des films pour gamins qd ils sont bien foutus, mais là... comme quoi, il y a des films qui ne faut pas voir étant adultes; on ne doit les supporter que grâce à la nostalgie qu'ils procurent.
Et bien moi ce fut tout le contraire de toi Mis-à-part un final un peu poussif j'ai trouvé ce film exceptionel tant il est hénaurme. Et ce n'est pas dû à une nostalgie enfantine des 80's, je ne l'avais pas vu jusqu'à maintenant et n'ai que 15 ans. Sinon oui le monstre-frangin des Farelli fait un peu pitié mais finalement peu importe, c'est trop bon!!!
"Personne ici ne prend MJ ou GTO par exemple pour des spectateurs de blockbusters moyennement cultivés." Strum
Cela fait longtemps que je ne l'ai pas revu, mais depuis sa sortie en salle, j'ai vu "Ladyhawk" plusieurs fois, et à chaque fois ce fut le bonheur.
Un de mes films fétiche.
La photo est magnifique.
Michelle Pfeiffer n'a jamais été aussi belle et radieuse que dans ce film.
Il est vrai que la musique est choquante lorsqu'elle est plaquée sur les images.
Une musique éléctronique et rock sur un film médiéval, c'est comme l'eau et l'huile, ça n'est pas miscible
Mais écouté à part, elle n'est si mauvaise. C'est juste l'utilisation qui en a été faite qui est désastreuse.
J'avais tout de même acheté le vinyl de la bo.
BO que j'ai retrouvé par hasard bien des années plus tard en CD, en me balladant dans Limoges.
Vous connaissez quelqu'un qui peut prétendre avoir eu la vie sauve, grâce à "Gorge profonde"?
La mouche savante a écrit :
Une musique éléctronique et rock sur un film médiéval, c'est comme l'eau et l'huile, ça n'est pas miscible
Mais écouté à part, elle n'est si mauvaise. C'est juste l'utilisation qui en a été faite qui est désastreuse.
Tout a fait d'accord, ça reste quand meme du bon allan parsons la musique n'a d'infecte que son utilisation dans le film.
La mouche savante a écrit :
Une musique éléctroniqueet rocksur un film médiéval, c'est comme l'eau et l'huile, ça n'est pas miscible
Mais écouté à part, elle n'est si mauvaise. C'est juste l'utilisation qui en a été faite qui est désastreuse.
Tout a fait d'accord, ça reste quand meme du bon allan parsons la musique n'a d'infecte que son utilisation dans le film.
Alan shore a écrit :Ca n'a pourtant gêné personne pour Chevalier
J'ai plutôt bien aimé ce film, bien mené, drôle et très bien interprêté, mais le coup du rock au moyen-âge m'est surtout apparu comme un coup marketing : le film a pas mal été vendu autour de ce concept, or c'est loin d'être au premier plan et je trouve justement que ça dessert finalement pas mal le résultat final.
Alan shore a écrit :Ca n'a pourtant gêné personne pour Chevalier
J'ai plutôt bien aimé ce film, bien mené, drôle et très bien interprêté, mais le coup du rock au moyen-âge m'est surtout apparu comme un coup marketing : le film a pas mal été vendu autour de ce concept, or c'est loin d'être au premier plan et je trouve justement que ça dessert finalement pas mal le résultat final.
Ah mais je suis entièrement d'accord avec toi.
Hormis le We will rock you de Queen, le délire n'est pas du tout assumé comme je l'entendais. Mais ça n'a pas gêné grand monde en fin de compte...
Max Schreck a écrit :
J'ai plutôt bien aimé ce film, bien mené, drôle et très bien interprêté, mais le coup du rock au moyen-âge m'est surtout apparu comme un coup marketing : le film a pas mal été vendu autour de ce concept, or c'est loin d'être au premier plan et je trouve justement que ça dessert finalement pas mal le résultat final.
Ah mais je suis entièrement d'accord avec toi.
Hormis le We will rock you de Queen, le délire n'est pas du tout assumé comme je l'entendais. Mais ça n'a pas gêné grand monde en fin de compte...
Il y a aussi la scène de bal, bien représentative de cette fausse bonne idée.
je n'ai plus qu'un souvenir très vague de ce film. Certaines scènes me donnent envie de revoir le film, mais j'ai bien trop peur du côté kitsch raté pour oser me procurer le DVD. Quant à le revoir en VF ... Si seulement il repassait en VO à la téloche
"Le goût de la vérité n'empêche pas de prendre parti" (Albert Camus)
Alan shore a écrit :
Ah mais je suis entièrement d'accord avec toi.
Hormis le We will rock you de Queen, le délire n'est pas du tout assumé comme je l'entendais. Mais ça n'a pas gêné grand monde en fin de compte...
Il y a aussi la scène de bal, bien représentative de cette fausse bonne idée.
Exact. Je me rappele maintenant que le seul vrai éclat de rire que le film m'ait procuré est celui de la dernière scène, se situant après le générique de fin... Bref, un souvenir sympa mais sans plus que ce Chevalier
Gnaaaaaa, Ladyhawke, une de mes fraises Tagada de films! (ben oui, quoi, si je préfère ça aux madeleines, c'est mon droit)
Un vrai conte avec ce que ça implique d'amours impossibles et de sortilèges, que du bonheur pour le gamin que j'étais lorsque je l'ai découvert à la télé. J'avais un peu peur que le souvenir que j'en gardais depuis ne "passe pas la rampe", mais j'ai tout de même acheté le DVD dès sa sortie, et je me liquéfiais de béatitude tout pareil! (et je grinçais des dents tout pareil à cause de la zique, particulièrement le générique de début, grand morceau de bravoure en Bontempi furioso)
Même avec le recul et avec tous les films vus entre-temps, qui ont énormément fait évoluer mes goûts, je trouve toujours aussi miraculeuse la complémentarité entre la sauvagerie à peine contenue de Rutger Hauer et la fragilité lumineuse de Michelle Pfeiffer.