Ouillekayman a écrit :
Prochaine station Fordienne en ce qui me concerne : Rio Grande, probablement ce soir, je suis chaud comme la braise là.

Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Oui, enfin si c'est le moins bon, c'est tout de même un très beau film à mon sens !!Jeremy Fox a écrit :Ouillekayman a écrit :
Prochaine station Fordienne en ce qui me concerne : Rio Grande, probablement ce soir, je suis chaud comme la braise là.Tu connais les deux autres de la trilogie cavalerie ? Car c'est clairement le moins bon des trois et de loin.
Entièrement d'accord (voir mon test) mais je peux comprendre que ce film puisse ne pas plaire du tout (contrairement aux deux autres). Il faut aimer aussi les Sons of the Pionner et ce n'est pas gagné d'avanceJulien Léonard a écrit :Oui, enfin si c'est le moins bon, c'est tout de même un très beau film à mon sens !!Jeremy Fox a écrit :
OuilleTu connais les deux autres de la trilogie cavalerie ? Car c'est clairement le moins bon des trois et de loin.
Certains moments sont magiques (notamment les séquences entre Wayne et O'Hara...) et l'ensemble est fort réussit. Certes, je préfère de loin le plastiquement magnifique (mais pas que ça) "She wore a yellow ribbon" et le grandiose "Fort Apache", mais "Rio grande" fait tout de même partie des Ford à voir... et le DVD présente une très belle image...
j'ai vu les deux autres justement, il me reste que celui là !Jeremy Fox a écrit :Ouillekayman a écrit :
Prochaine station Fordienne en ce qui me concerne : Rio Grande, probablement ce soir, je suis chaud comme la braise là.Tu connais les deux autres de la trilogie cavalerie ? Car c'est clairement le moins bon des trois et de loin.
C'est vrai qu'il revient souvent !!O'Malley a écrit :John Ford encore et toujours. Faudra rebaptiser ce topic John Ford et le Western...
L'étranger... a écrit :Vous croyez que ça va faire avancer le schmilblick si je vous dis que je n'accroche pas aux trois quart de la filmo de John Ford... WESTERNS COMPRIS !!!![]()
Oh...
Hé...
On se calme, hein !
Sinon, je fais fermer le topic !
J'ai pour ma part plutôt commencé avec McLaglen et d'autres plus illustres bien sûr (Hawks, Sturges, Eastwood...) mais le truc, c'est que j'ai toujours du mal à venir au Ford westernien, un peu comme L'étranger...Julien Léonard a écrit :C'est vrai qu'il revient souvent !!O'Malley a écrit :John Ford encore et toujours. Faudra rebaptiser ce topic John Ford et le Western...![]()
Mais faut avouer que ses films, ses westerns, sont souvent placés dans les meilleurs existants, et que ceux qui découvrent le genre le font souvent avec Ford, Hawks, Hathaway... et non avec DeToth, Boeticher, Sherman, Curtiz, McLaglen (et on ne dit rien !!ou je fais un malheur...
) ou autres qui, en général, viennent après... c'est comme ça...
O'Malley a écrit :J'ai pour ma part plutôt commencé avec McLaglen et d'autres plus illustres bien sûr (Hawks, Sturges, Eastwood...) mais le truc, c'est que j'ai toujours du mal à venir au Ford westernien, un peu comme L'étranger...Julien Léonard a écrit :
C'est vrai qu'il revient souvent !!![]()
Mais faut avouer que ses films, ses westerns, sont souvent placés dans les meilleurs existants, et que ceux qui découvrent le genre le font souvent avec Ford, Hawks, Hathaway... et non avec DeToth, Boeticher, Sherman, Curtiz, McLaglen (et on ne dit rien !!ou je fais un malheur...
) ou autres qui, en général, viennent après... c'est comme ça...
Clairement l'un des plus faibles (si ce n'est le plus faible) de l'association Boetticher/Scott et malgré tout, comme toi, j'y ai pris énormément de plaisir. Et pourtant TCM le diffusait à l'époque dans une version recadrée : en est-il de même encore aujourd'hui si tu l'as vu par ce biais ?phylute a écrit :- Le Courrier de l'or. Un petit Boetticher peut-être, qui pêche par un rythme pas toujours soutenu mais qui, en s'enfoncant dans une noirceur dans il ne ressort plus, emporte l'adhésion. Andrew Duggan campe un homme obsédé par le mal qu'il répend, qui se rend compte de la perte de sa dignité et essaye de trouver la force de faire machine arrière. C'est le personnage fort du film face à un Randolph Scott monolithique et uen Virgina Mayo malheureusement trop en retrait.