L'Obituaire - Hommage aux disparus

[Barry Egan]

Sans mobile apparent, Philippe Lebro :

[Kevin95]

(coucou le thème imparable de L'Alpagueur).

Spoiler (cliquez pour afficher)

J'ai toujours été frappé par les similitudes dans la mélodie entre ce thème et la chanson de Vidocq par Gainsbourg qui était arrangée (ou plutôt composée) par Colombier.

Que Gainsbourg (de son propre aveu et en même temps... comment le cacher ?) a piqué à Dylan.

[odelay]

Ah oui en effet !

[odelay]

Ironie des deux disparitions d'aujourd'hui : Philippe Labro et Nicole Croisille étaient nés tous les deux en 1936 (à un bon mois d'écart) et ils sont décédés le même jour.

[The Eye Of Doom]

le lounge flippant de Morricone

Mais oui ! Avec des sonorités qui semblent préfigurer Peur sur la ville.

Mon theme préféré de Morricone !

[Commissaire Juve]

Ironie des deux disparitions d'aujourd'hui : Philippe Labro...

Mine de rien... j'ai quatre de ses films :

- Sans mobile apparent (1971)
- L'Héritier (1973)
- L'Alpagueur (1976)
- La Crime (1983)

Des films que j'aime bien revoir.

[mannhunter]

Sans Mobile Apparent, sans être parfait, reste un Film marquant et bien estampillé Années 70 avec un Polar teinté de Giallo sans oublier un des meilleurs rôles de Jean-Louis Trintignant et une galerie de cartes postales de la Ville de Nice du plus bel effet.

Je suis d'accord avec ça, je l'ai découvert assez récemment et j'ai bien accroché. "L'héritier" un des (bons!) Belmondo des années 70 et même "L' alpagueur" loin d'être parfait a une ambiance froide et sèche pas inintéressante (et Bruno Cremer y contribue, en effet). J'aimerais bien voir "La crime".

Aussi, un livre captivant sur la dépression:



RIP Monsieur Labro

[Quentin Tarantino]

En Avril 2024, j'avais visité les lieux de tournage "Niçois" de Sans Mobile Apparent, voici un petit résumé à partir de 10m44s :

[Flol]

(coucou le thème imparable de L'Alpagueur).

Imparable, c'est le mot oui.

Sans mobile apparent, Philippe Lebro :

Imparable aussi, celle-là. (j'ai ri)

[Quentin Tarantino]

Sans mobile apparent, Philippe Lebro :

Imparable aussi, celle-là. (j'ai ri)

Je cherche encore...

[Watkinssien]

Labro, le brot... Cette blague, tu peux Labroger si tu veux.

[Quentin Tarantino]

Labro, le brot... Cette blague, tu peux Labroger si tu veux.

Je l'abroge en effet car je ne l'ai toujours pas...

[Watkinssien]

Labro, le broc... Cette blague, tu peux Labroger si tu veux.

Je l'abroge en effet car je ne l'ai toujours pas...

Un broc d'eau, c'est l'image de dessus.

Seulement, cela ne s'écrit pas "brot" mais broc, ce qui t'a peut-être amené une certaine confusion, mais ça se prononce "bro" le "c" est muet.

[Quentin Tarantino]

Un broc d'eau, c'est l'image de dessus.

Seulement, cela ne s'écrit pas "brot" mais broc, ce qui t'a peut-être amené une certaine confusion, mais ça se prononce "bro" le "c" est muet.

Je comprends mieux, merci pour l'éclairage.
Elle était presque du niveau des captures de qui tu sais.

[tchi-tcha]

Elle était presque du niveau des captures de qui tu sais.

Bonjour
La capture nichons est un film culte rigolo, la poignée de porte est très grand public, les deux premières sont pile dans le cœur de cible des classikiens. Non mais.

L'héritier est très solide, mais ne suffira pas à lui seul à faire de Labro un cinéaste à mes yeux.

Pour moi, il restera d'abord un homme de médias qui se voulait également écrivain (il n'est pas le seul, Ardisson, PPDA, etc), qui a eu l'opportunité de toucher au cinéma (avec davantage de réussite que Michel Denisot)... Mais c'est fondamentalement un journaliste avant tout, de RTL à la fondation de Direct 8 avec Bolloré. Un parcours plus riche que son œuvre écrite ou cinématographique, on va dire.