Colqhoun a écrit : ↑27 mai 25, 08:52
Ce soir, soit je termine mon 74e visionnage du Doomsday de Neil Marshall, film doudou par excellence.
C'est une façon de parler je suppose. Jamais vu ce film.
Velvet a écrit : ↑26 mai 25, 21:46
Divine Stéphane Audran.
Et Catherine Spaak, c'est pas mal non plus.
Je suis tombé dessus sur TCM il y a pas longtemps mais comme le début du film n'était plus disponible j'ai laissé tombé, mais ça avait l'air bien.
ça repasse le 28/05 à 08h20 à priori.
Le scénario est trop tiré par les cheveux. J'étais persuadée que c'était un Chabrol vu le casting et l'histoire mais en fait pas du tout. Mais il a quand même contribué au film et il a petit rôle de contrôleur de train assez amusant.
Un nouveau visionnage s'impose, dans mon souvenir il était bien dégueu
Je m'assèche un peu côté Cronenberg : il me reste Dead zone et A dangerous methode, après je n'aurai rien à me mettre sous la dent. Je n'arrive pas à trouver Shivers, Stereo, Le festin nu, ni à revoir Maps to the star
Ben c'était très hong-kongais, un peu froutraque, mais très sympathique, j'aime bien les récits de body-swapping, les films de cascade, et les moments de pure comédie avec les innombrables femmes du héros... Une découverte bien fun.
Ce soir, ce sera plus sage, mais probablement plus profond aussi, avec un film iranien, de Mohsen Makhmalbaf... Gabbeh. L'Iran à Cannes, c'est une vieille histoire...
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
The Phoenician Scheme de Wes Anderson et le match de RG en session nocturne : Damir Dzumhur (BIH) - Carlos Alcaraz (ESP).
Scoop : Félix Kysyl (Miséricorde) est fan de tennis.
Alors que le mien, tu t'en tamponnes le coquillard, bravo !
Et bien, je le redonne quand même : production design, photo, montage et comédiens au top. C'est très immersif, l'atmosphère posée est incroyable, l'époque et le lieu sont palpables. Quelques bémols sur le scénario, la toute fin, ainsi que 2-3 jumpscares pas très utiles. Mais je lui avais mis un 7, et il a très bien vieilli dans ma mémoire.
Tout pareil que El Dadal. Bien aidé par les superbes décors naturels, le réalisateur parvient avec relativement peu de moyens à instaurer une atmosphère assez glaçante, qui va de pair avec le lieu, et immersive au possible en effet (du fait de son affiliation à la folk horror, je trouve qu'on est entre The VVitch et l'excellente première saison de The Terror). Question concernant la fin, sur laquelle j'ai donc aussi une petite réserve :
est-ce que le fameux "draugr" existe réellement et, comme c'est évoqué au début par la vieille servante je crois, il s'est immiscé dans la tête des différents membres de la petite communauté au point de brouiller totalement leur vision de la réalité ou est-ce que les hallucinations et les pétages de plomb meurtriers de chacun(e) résultent en fait de l'isolement, de la relative privation de nourriture couplées aux remords d'avoir participé à la mort de la poignée de rescapés du naufrage ?
Dunn a écrit : ↑30 mai 25, 09:57
Dispo où ? C'est le remake anglais de 62?
Scénario original. Et en cherchant un peu, c'est trouvable dans les recoins (pas si) obscurs du net (sinon à un moment, ça devrait arriver sur Prime Video).
Pour ce soir, envie de poursuivre dans une veine similaire avec ça (que tu as déjà visionné Flol il me semble).
Oui. Et c’était pas mal du tout (il suffit de ne pas s’attendre à un film purement horrifique et ça devrait bien se passer).
Et merci pour ton avis sur The Damned. J’essaie de me le programmer pour bientôt. D’ailleurs si d’autres toi que toi veulent aussi donner leur avis, je suis preneur !
Flol a écrit : ↑31 mai 25, 10:44
Oui. Et c’était pas mal du tout (il suffit de ne pas s’attendre à un film purement horrifique et ça devrait bien se passer).
Le début du film m'a fait écarquiller les yeux (cette intro ! ) mais du fait de sa relative lenteur mes paupières ont commencé à se faire lourdes et j'ai stoppé au bout de 45 min, sentant le gros coup de mou arriver. J'essaye de le terminer en fin de journée, vu que je dois réviser ce soir le Mission : Impossible - Dead Reckoning partie 1 avant d'aller voir demain matin normalement l'ultime baroud d'honneur/clip promotionnel de Super Tom.
TheGentlemanBat a écrit : ↑31 mai 25, 11:12
...je dois réviser ce soir le Mission : Impossible - Dead Reckoning partie 1 avant d'aller voir demain matin normalement l'ultime baroud d'honneur/clip promotionnel de Super Tom.
Si tu avais apprécié Dead Reckoning Formerly Known As Part Ouane, pourquoi pas.
Mais si c'est juste par crainte d'être paumé, c'est superflu. Ne t'en fais pas, tout est clairement expliqué / rappelé / rabâché vingt fois dans cet ultime volet.
tchi-tcha a écrit : ↑31 mai 25, 16:28
Mais si c'est juste par crainte d'être paumé, c'est superflu.
Ça peut même complexifier la tâche puisqu'après avoir revu le "Part One" juste avant la séance de Ciné du "Final", j'ai été très surpris de constater que Pom aka "Paris" Klementieff était vivante.
Ceci dit, je vais un peu défendre cet épisode 8 que tout le monde assassine puisque je lui ai attribué un 6/10, loin d'être le meilleur il fait le job pour un M: I.
#nepastropécouterlesrageux
“Le monde qui nous entoure est dégueulasse et sordide. Je ne cherche pas à le maquiller comme 99 % des films hollywoodiens.”
Flol a écrit : ↑30 mai 25, 13:02
Suis curieux d’avoir ton avis sur celui-là.
Alors que le mien, tu t'en tamponnes le coquillard, bravo !
Et bien, je le redonne quand même : production design, photo, montage et comédiens au top. C'est très immersif, l'atmosphère posée est incroyable, l'époque et le lieu sont palpables. Quelques bémols sur le scénario, la toute fin, ainsi que 2-3 jumpscares pas très utiles. Mais je lui avais mis un 7, et il a très bien vieilli dans ma mémoire.
Dans mes bras ! J'ai également eu un coup de cœur pour ce film. L'atmosphère est effectivement délectable : cette Islande du XIXe siècle, ces folklores et ces pêcheurs du bout du monde qui luttent pour leur subsistance au milieu de nulle part, ça marque durablement la rétine, ça évoque la minéralité et la fatalité des décors immaculés de The thing tout en développant sa propre singularité, sa propre partition. J'ai trouvé ça extrêmement tenu sur le plan de la mise en scène, avec une gestion de l'effroi patiemment lugubre. Un retour à l'économie qui glace l'échine dès le début, avec l'histoire que raconte la vieille. Je crois que j'aurais adoré écrire un film pareil, c'est un film dont je rêvais sans le savoir. Et la fin revient m'assaillir dans ma mémoire de temps à autre, tellement elle est pernicieuse. Non vraiment, facilement l'un des meilleurs films d'épouvante que j'ai vus ces dernières années.
Découvert Ravenous (Vorace) de Antonia Bird, une ouverture vraiment chouette, originale, la mise en place a de la gueule et y a une sacrée atmosphère, j'me disais que j'étais peut être devant un successeur des western genre Missouri Breaks ou John McCabe... Et en fait après pchiiiit ya tout le gaz qui se barre.
C'est longuet, pour franchement pas grand chose.
Enchaîné sur le dernier Ozon, bof bof aussi. Ça a un goût des Enquêtes impossibles présentées par Bellemare. On pense un peu au Roman de Jim, mais ça manque de finesse, mise en scène quelconque et des acteurs globalement pas très convaincants.
"Puisqu'il y a des hommes qui s'unissent pour faire le mal, pourquoi n'y en auraient ils pas qui s'unissent pour faire le bien ?"