Addis-Abeba a écrit : ↑16 mai 25, 18:55
Bon courage Nunu , bizarrement je suis le seul à l'avoir noté ce A working Man.
Moi j'aime les films de baston.Et ca peut pas etre plus mauvais qu'un autre Jason Statham vu que c'est toujours le même film
Disons que tu as plus de surprises dans Un homme en colère par ex que dans ce A working man.
Depuis quelques films il ne fait même plus le minimum syndical.
Watkinssien a écrit : ↑16 mai 25, 14:13
Ne t'inquiète pas, il y en a ici même qui regarde des mecs en hélicoptère qui tirent sur un chien dans The Thing et ils arrêtent les frais en se demandant "ce que c'est que cette connerie"!
Mais quelle langue de vipère, celui-là, j'vous jure...
(et encore, je reste poli)
S'il arrête les frais en deux minutes pour The Thing, à côté il n'est pas insensible à La soupe aux choux, ce "petit film sentimental et dérisoire" (comme de la poussière d'étoile, j'allais dire). Je comprends mieux pourquoi sur ce forum Robert Lamoureux a davantage de succès que l'autre baltringue de Melville
Si j'ai le courage en rentrant du boulot je me mets celui la.
« Quand des hommes, même s’ils s’ignorent, doivent se retrouver un jour, tout peut arriver à chacun d’entre eux, et ils peuvent suivre des chemins divergents, au jour dit, inexorablement, ils seront réunis dans le cercle rouge. »
En 1ère partie de soirée, probablement une bonne tranche d'Eurovision histoire de profiter comme chaque année du spectacle folklorique (on va me dire : "han, c'est pas sympa !" mais j'espère que Louane va bien se gaufrer, avec le matraquage de France TV je n'en peux plus de l'entendre beugler MAMAAAANNNN !). Après, selon l'humeur, je me finis soit avec la dernière Jason Tatanerie, soit avec ce slasher en provenance d'Amérique du Sud atteignant presque 6 sur IMDb qui a le mérite de durer à peine 90 min (c'est dispo sur Prime depuis peu sous le titre Red Screening).
cinephage a écrit : ↑16 mai 25, 13:02
Ce soir, je retourne dans les salles obscures, pour un doublon horrifique, qui ne sera peut-être pas révolutionnaire sur le plan cinématographique. Peu importe, c'est mon genre de prédilection, et je fais mon nectar de ce qui est de la boue pour d'autres. De très nombreux autres... Destination finale Bloodlines, et Until Dawn pour une paire thématique de vendredi soir au cinoche.
Destination finale bloodline est vraiment excellent, il prolonge et enrichit le lore de la franchise avec intelligence et un sadisme gourmand, la salle réagissait drolement. Le meilleur de la saga depuis le 2.
Until Dawn est plus classique, brouillon et sans enjeu. L'ambiance est bien fichue et les jumpscares fonctionnent, on sent une certaine maitrise des effets, mais une histoire qui tienne la route n'aurait pas été du luxe. Au moins je ne me suis pas ennuyé, c'est toujours ça de pris.
Mon prochain film à voir sera Attack of the Puppet People, de Bert I. Gordon...
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
Watkinssien a écrit : ↑16 mai 25, 14:13
Ne t'inquiète pas, il y en a ici même qui regarde des mecs en hélicoptère qui tirent sur un chien dans The Thing et ils arrêtent les frais en se demandant "ce que c'est que cette connerie"!
Mais quelle langue de vipère, celui-là, j'vous jure...
(et encore, je reste poli)
S'il arrête les frais en deux minutes pour The Thing, à côté il n'est pas insensible à La soupe aux choux, ce "petit film sentimental et dérisoire" (comme de la poussière d'étoile, j'allais dire). Je comprends mieux pourquoi sur ce forum Robert Lamoureux a davantage de succès que l'autre baltringue de Melville
"Cinq ans plus tard, le fils du Glaude enquête sur la mystérieuse disparition de son père. Un voyage qui l'emmènera plus loin qu'il n'aurait jamais imaginé."
Vous me direz que le Glaude n'avait pas d'enfants. Bah si, c'est une des nombreuses révélations de cette suite dans laquelle Clovis Cornillac et Gilles Lellouche reprendront les rôles cultes de Carmet et De Funès, La Denrée étant incarné par Guillaume Canet à la fois devant et derrière la caméra.
Watkinssien a écrit : ↑16 mai 25, 14:13
Ne t'inquiète pas, il y en a ici même qui regarde des mecs en hélicoptère qui tirent sur un chien dans The Thing et ils arrêtent les frais en se demandant "ce que c'est que cette connerie"!
Mais quelle langue de vipère, celui-là, j'vous jure...
(et encore, je reste poli)
S'il arrête les frais en deux minutes pour The Thing, à côté il n'est pas insensible à La soupe aux choux, ce "petit film sentimental et dérisoire" (comme de la poussière d'étoile, j'allais dire). Je comprends mieux pourquoi sur ce forum Robert Lamoureux a davantage de succès que l'autre baltringue de Melville
Nouvelle tentative d'être drôle de la part de tchi-tcha : caramba, encore raté !
"Dans le doute, ne pas bouger et attendre que quelqu'un de qualifié nous donne des instructions claires" (le Malaisologue)
Conry le bien nommé a écrit : ↑17 mai 25, 22:24
Nouvelle tentative d'être drôle de la part de tchi-tcha : caramba, encore raté !
Merci
Le pseudo change au fil de tes réapparitions, tes provocs restent les mêmes, à coup de déboulonnages de classiques (de The Thing à Leone en deux jours, tu es en forme), de règlements de compte avec je-ne-sais-qui et d'esquives minables. Au moins ça t'occupe
Allez pour changer un peu, une petite soirée téloche tranquille pépouze sur TF1 pour me revoir avec plaisir Les Gardiens de la Galaxie 3. Et je me laisserai peut-être aller à retenter Fast & Laborious 9 rediffusé à la suite (j'ai tenu une bonne heure dimanche dernier avant de m'assoupir, captivé par le spectacle pas du tout répétitif - avec son regard bovin et son balai dans le c**, Vin Gasoil est toujours aussi euh... intense).
Rappel ce soir sur Arte le plus mauvais de Palma selon un membre du forum: Outrages. Sur France 4, le chef d'oeuvre de Billy Wilder Le poison
« Quand des hommes, même s’ils s’ignorent, doivent se retrouver un jour, tout peut arriver à chacun d’entre eux, et ils peuvent suivre des chemins divergents, au jour dit, inexorablement, ils seront réunis dans le cercle rouge. »