Dvdclassik : cinéma et DVD

Jeremy Fox a écrit : ↑8 janv. 24, 11:00

Bonner a écrit : ↑8 janv. 24, 10:57

C'est quand même un peu le principe de ''50 ans de cinéma américain'', classer les films en fonction de la nationalité des réalisateurs. Mais bon, ce n'est pas le lieu pour parler de ça.

Et tu crois que Tavernier s'est parfois amusé à comparer Michael Bay et Joseph Mankiewicz par exemple ?

Ah zut j'avais pourtant dit avoir jeté l'éponge. On ne m'y reprendra plus.

Bonner a écrit : ↑8 janv. 24, 11:30 Par contre il n'a pas parlé du Frank Perry de ''The Swimmer'', ce qui veut dire que pour lui ce film ne valait pas le coup d'être mentionné alors qu'il s'agit d'un pur chef d'oeuvre. Le critère de nationalité (et d'époque correspondante bien sûr) n'est pas ridicule pour apprécier les qualités et défauts d'un film.

Jack Carter a écrit : ↑8 janv. 24, 12:33

Bonner a écrit : ↑8 janv. 24, 11:30 Par contre il n'a pas parlé du Frank Perry de ''The Swimmer'', ce qui veut dire que pour lui ce film ne valait pas le coup d'être mentionné alors qu'il s'agit d'un pur chef d'oeuvre. Le critère de nationalité (et d'époque correspondante bien sûr) n'est pas ridicule pour apprécier les qualités et défauts d'un film.

Il est possible qu'il n'en parle pas (je viens de verifier, le film n'est pas evoqué) parce qu'il ne l'avait pas vu ou revu lors de la periode de preparation du bouquin au debut des années 90s (tous les films n'etaient pas facilement accessible comme de nos jours).

sinon, j'ai retrouvé un entretien de Classik avec Tatave, en 2005, où il disait ça /

Parfois le DVD crée une cinéphilie où l’on parle plus de la technique du DVD (son, transfert, effets stéréo) que de son contenu : film, acteurs, scénario, mise en scène. Ca, je ne peux pas l’accepter : on va discuter pour savoir si le son est bon sur le canal gauche, s’il n’y a pas un petit scintillement sur le coin droit de l’image et le film lui-même est traité en deux ou trois adjectifs… alors que le DVD est avant tout une occasion de redécouvrir un film, de faire le point, de se demander si on a eu raison ou tort de l’aimer ou de le critiquer. Par exemple, j’ai récemment redécouvert des films qui m’ont un peu déçu et inversement d’autres où je me suis dit : "Ah tiens, là, j’aurais dû en parler un peu plus dans 50 ans de cinema américain". Le Plongeon (The Swimmer - 1968), par exemple, un film très curieux de Franck Perry avec Burt Lancaster ou Hustle de Robert Aldrich.



Donc, apparemment, il n'a pas été deçu et l'a redecouvert en 2005...et quand bien meme, il ne l'aurait pas considéré comme un chef d'oeuvre, il en avait le droit, non ?
Parce que monsieur bonner l'a decreté, on dit "amen" ?

fin du HS pour moi, desolé les smoking cats lovers

Rockatansky a écrit : ↑8 janv. 24, 13:25 On a fait le tour du sujet je pense

Flol a écrit : ↑8 janv. 24, 14:29

Rockatansky a écrit : ↑8 janv. 24, 13:25 On a fait le tour du sujet je pense

C'est dommage, j'avais encore un paquet de trucs à rajouter.

Jack Carter a écrit : ↑8 janv. 24, 13:04 oui, enfin, qui aurait l'idée de comparer Jean Eustache et Max Pecas....ou donc Antonioni à Lenzi, on peut aimer les deux...

Robert Brisseau a écrit : ↑8 janv. 24, 19:52 "Profession: Spasmo"

nosferatu90 a écrit : ↑8 janv. 24, 20:29

Robert Brisseau a écrit : ↑8 janv. 24, 19:52 "Profession: Spasmo"

L'un tout aussi ennuyeux que l'autre !