Attends, bouge pas.AtCloseRange a écrit :Et il n'a pas vu Forget Me Not, j'en tremble d'avance...

Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Attends, bouge pas.AtCloseRange a écrit :Et il n'a pas vu Forget Me Not, j'en tremble d'avance...
Un moment d’inattention, sans doute...AtCloseRange a écrit :Et il n'a pas vu Forget Me Not
Exactement.Gounou a écrit :Un moment d’inattention, sans doute...AtCloseRange a écrit :Et il n'a pas vu Forget Me Not
"Knight of cups"?AtCloseRange a écrit :On attend d'ailleurs avec beaucoup d'impatience quel film très apprécié G.T.O va pouvoir dézinguer.
Tronche de Cuir pas mort!AtCloseRange a écrit :Pour tout dire, il me casse les couilles. S'il n'a rien à foutre des films que je défends, je me demande bien pourquoi il prend ce plaisir pervers à les regarder pour vomir dessus sur Classik.
Qu'il trouve un autre "pet project", ça me fera des vacances.
Revu et je ne change pas une ligne.AtCloseRange a écrit :The Signal pâtit surtout de son final (vu et revu et qui n'est pas satisfaisant) mais je serais curieux de le revoir (ce que je vais probablement faire bientôt parce que G.T.O m'énerve
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).
AtCloseRange a écrit : Revu et je ne change pas une ligne.
Oui, les 15-20 dernières minutes où il lâche les ralentis à la Snyder et la machine à images sont un peu problématiques (de même que la conclusion convenue et déjà vue) mais je continue à vraiment aimer le reste.
Personnellement (contrairement à G.T.O), je n'ai aucun problème avec les films qui ne sont pas un tout et parfois le voyage me suffit même si la destination est décevante. Le film m'embarque dans son univers (que je ne comprends pas toujours) pendant les 3/4 du temps.
Les comédiens sont très bons, surtout Brenton Thwaites qu'on a vu aussi dans Oculus.
Quant au fait de n'y voir qu'un objet purement référentiel avec Kubrick comme ombre tutélaire simplement parce qu'on y voit des hommes en combinaison d'astronaute, c'est juste une blague.
Pas un mauvais souvenir de ce film méconnu, avec un Crudup encore une fois très bon.Kevin95 a écrit :WITHOUT LIMITS (Robert Towne, 1998) Découverte
Production Tom Cruise et nouvelle tentative pour l'ancien talent des 70's, Robert Towne, de se coltiner à la mise en scène. Biopic sportif autour d'une célébrité américaine de course de fond avec tous les ingrédients attendus : ralentis, musique militaire, love story con-contrariée et "j'aurai jamais réussi sans toi". Classique donc, parfois intriguant (la relation amour/haine entre le sportif et son entraineur interprété par Donald Sutherland) et souvent correct. Reste un point, peut être le plus intéressant du film, particulier : la scoumoune que ce "mythe" peut avoir. Malgré la forme d'une success story, ce Steve Prefontaine qui gravit les marches de la gloire quatre à quatre, se retrouve au final à se vautrer avant le titre ultime (et ce pas qu'une fois). Comme le portrait d'un looser de luxe (auto-identification de Towne ?) ou un biopic qui passerait à coté de son sujet (à coté son entraineur va fonder la marque Nike !). Cette bizarrerie donne une peu de pertinence au film et explique sans doute le bide qu'il connut aux États-Unis et sa quasi invisibilité en France. Curieux objet (à noter une lumière sublime de Conrad L. Hall). 7,5/10
je ne peux nier que visuellement on est dans les canons actuels du film indé (et qu'il est un peu chichiteux dans ses plans de nature) mais pas dans le ton, le rythme ou dans la caractérisation des personnages.G.T.O a écrit :AtCloseRange a écrit : Revu et je ne change pas une ligne.
Oui, les 15-20 dernières minutes où il lâche les ralentis à la Snyder et la machine à images sont un peu problématiques (de même que la conclusion convenue et déjà vue) mais je continue à vraiment aimer le reste.
Personnellement (contrairement à G.T.O), je n'ai aucun problème avec les films qui ne sont pas un tout et parfois le voyage me suffit même si la destination est décevante. Le film m'embarque dans son univers (que je ne comprends pas toujours) pendant les 3/4 du temps.
Les comédiens sont très bons, surtout Brenton Thwaites qu'on a vu aussi dans Oculus.
Quant au fait de n'y voir qu'un objet purement référentiel avec Kubrick comme ombre tutélaire simplement parce qu'on y voit des hommes en combinaison d'astronaute, c'est juste une blague.N'exagérons rien. Ce n'est heureusement pas le seul critère d'appréciation d'un film et ma critique, aussi lapidaire soit-elle, n'affirme ni ne suggère une telle chose. J'aime pas mal de films imparfaits ou inaboutis. Dans le cas de The Signal, je crois m'être expliqué sur les nombreuses raisons pour lesquelles je considère le film comme pas réussi. La principale étant le côté mélasse et l'absence de personnalité de la réalisation que je caractérise, faute de mieux, comme l'adoption à une esthétique dominante. Ajouté à cela, le film m'a donné la désagréable impression d'aller dans tous les sens, de faire du style pour pas grand chose ( le côté chichiteux et prétentieux), quand il n'est pas incapable à rendre touchant ses personnages et à impliquer. Du coup, difficile de prendre plaisir au voyage proposé. Pour moi, ce film est de l'esbroufe. Là encore, il s'agit plus que d'un problème de référence à Kubrick...mais bon.