Eusebio Cafarelli a écrit :
The Incredibles
(..)amusant clone de Sonia Rykiel, (..)
En fait le personnage d'Edna Mode est un hommage à Edith Head, costumière-star de l'âge d'or d'Hollywood:
En fait, par erreur, je mettais le nom de Rykiel sur un autre visage (spécialisée en lingerie, mais je ne sais plus son nom du coup).
Pour le film j'ai bien aimé aussi l'idée du pouvoir qui va avec la personnalité. Réflexion faite, j'apprécie un peu plus le film.
Eusebio Cafarelli a écrit :
En fait, par erreur, je mettais le nom de Rykiel sur un autre visage (spécialisée en lingerie, mais je ne sais plus son nom du coup).
Eusebio Cafarelli a écrit :
En fait, par erreur, je mettais le nom de Rykiel sur un autre visage (spécialisée en lingerie, mais je ne sais plus son nom du coup).
Four brothers, John Singleton, actuellement en salle
Je sais pas pourquoi, vue l'affiche, je m'étais imaginé une sorte de retour aux sources pour Singleton, avec une histoire mêlant amitié, tragédie familiale, et film social sur le ghetto, avec en toile de fond la décépitude urbaine de Detroit sous la neige. En réalité, on est davantage devant un film de genre, lorgnant de très près sur le revenge movie, où il est clairement démontré que rien ne vaut la légitime vengeance lorsque la police est aussi impuissante que corrompue. En gros, on retrouve plus le Singleton de Shaft (voire de 2Fast 2Furious lors de la poursuite en bagnole) que de celui de Boyz n'the hood. Il se contente de proposer un divertissement efficace, à base de tabassage de témoins et suspects, afin de dévoiler la vérité d'un assassinat et de remonter la filière des responsables, jusqu'à aboutir à un parrain de pacotille, interprété de façon inattendue par Chiwetel Ejiofor.
Dialogues franchement pauvres, acteurs moyens voire mauvais (même Mark Wahlberg que j'aime bien ne s'en sort pas). C'est pas nul, mais c'est franchement léger. Ça ne se prend pas vraiment au sérieux, c'est même laborieux par moments. Bref, quand même quelque chose d'assez formaté. Je commence à avoir peur de revoir Boyz qui m'avait franchement enthousiasmé à l'épôque.
blondin a écrit :Une question : les policiers-robots (qui font penser un peu à Métropolis) n'auraient pas été un peu copiés par Cameron pour son tueur du futur dans T2 ?
Ben pas vraiment vu que leurs uniformes ne sont ni plus ni moins que des uniformes de flic. Et le T-1000 a le même c'est tout.
Oui, soit.
Je parlais plutôt du masque sur le visage qui m'a fait associer à T2. Ce visage inexpressif, la démarche très rigide, les plans où on voit les flics marcher au loin sans se presser m'ont rappellé le film de Cameron. En même temps , je ne l'ai pas revu depuis très longtemps.
Dans ce cas il n'y a pas plagiat mais simplement coïncidence dans la même exploitation, à vingt ans d'intervalle, de l'image des "cops" pour la création d'un personnage de méchant.
1970-2005: un artiste à la recherche de l'équilibre dans sa Force...
Eusebio Cafarelli a écrit :
The Incredibles
(..)amusant clone de Sonia Rykiel, (..)
En fait le personnage d'Edna Mode est un hommage à Edith Head, costumière-star de l'âge d'or d'Hollywood:
Quel dommage que tu ne sois pas une Glanche
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Les fils du vent : Et bien quelle nazerie, mal filmé, extremement mal joué, des dialogues ridicules, quand on voit comme le scénario est mauvais j'en viens à m'étonner qu'au final ça soit ce qu'il y ait de moins raté dans ce film . 1/10
Nightwatch : Voilà je pensais avoir touché le fond avec le film cité plus haut, mais une scéance de ciné est venue me rappeller qu'il y a toujours pire. On présente ce film comme un pompage des divers blockbusters de ces dernieres années, mais c'est tellement raté que meme le pompage ils le ratent. Visuellement affreux, une intrigue imbitable, incompréhensible, des comédiens aussi charismatiques qu'une endive cuite, des looks de clochards, ce film est vraiment une purge insupportable. 0,5/10
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Rockatansky a écrit :Nightwatch : Voilà je pensais avoir touché le fond avec le film cité plus haut, mais une scéance de ciné est venue me rappeller qu'il y a toujours pire. On présente ce film comme un pompage des divers blockbusters de ces dernieres années, mais c'est tellement raté que meme le pompage ils le ratent. Visuellement affreux, une intrigue imbitable, incompréhensible, des comédiens aussi charismatiques qu'une endive cuite, des looks de clochards, ce film est vraiment une purge insupportable. 0,5/10
Rockatansky a écrit :Nightwatch : Voilà je pensais avoir touché le fond avec le film cité plus haut, mais une scéance de ciné est venue me rappeller qu'il y a toujours pire. On présente ce film comme un pompage des divers blockbusters de ces dernieres années, mais c'est tellement raté que meme le pompage ils le ratent. Visuellement affreux, une intrigue imbitable, incompréhensible, des comédiens aussi charismatiques qu'une endive cuite, des looks de clochards, ce film est vraiment une purge insupportable. 0,5/10
ça donne presque envie de le voir.
Moi aussi je pensais au moins rigoler, mais je me suis juste ennuyé ferme.
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« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
J'avais le souvenir d'un bon petit actioner nerveux et inventif et je me suis retrouvé devant un gros nanard (la chauve-souris en papier maché ) même pas drôle, mou du genou et filmé avec les pieds.
Rize : Un documentaire vraiment bien foutu, qui donne la patate et s'avere également assez impressionnant de par les performances réussies par les gars des ghetto. La battle est de ce coté un moment énorme du film. Lachapelle arrive également à nous toucher par le destin de ces jeunes. Une réussite. 7,5/10
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