Vincente Minnelli (1903-1986)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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Supfiction
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)

Message par Supfiction »

C'est bien la dernière fois que les parents eurent droit d'accompagner leurs progénitures danser. Dès lors, ils resteront à la porte et priés de se faire discret.. Déjà dans The young philadelphians (1959), les jeunes de la haute société s'étaient, au moins en apparence, affranchis de leur tutelle. Le contexte londonien est cela dit à prendre en considération.

Cela dit, le scénario de cette comédie manque singulièrement de piquant mais le film est porté par un Rex Harrisson amusant et qui n'en fait jamais trop dans ce rôle de père complice. On aurait aimer le voir d'avantage mis en avant. Je n'en dirai pas autant de Kay Kendall dans le rôle de la belle-mère entremetteuse que j'aurai bien vu tenu par Deborah Kerr qui aurait peut-être apporté davantage de fantaisie. Et ce n'est pas l'innofensive Sandra Dee qui pouvait y remédier. Quant à Angela Lansbury, elle aurait pu faire office de cousine anglaise de Rosalind Russell mais sa partition est bien trop limitée.
Le résultat est une comédie parfois charmante mais jamais vraiment drôle ni même romantique.
Thaddeus
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La Femme Modèle (1957)

Message par Thaddeus »

Texte déplacé ici.
Dernière modification par Thaddeus le 26 mai 24, 11:29, modifié 5 fois.
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Alexandre Angel
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)

Message par Alexandre Angel »

Tes parallèles entre le nez de Maxie Stulz et ce qu'il y a à l'intérieur du pavé, ainsi qu'entre le sang du match de boxe et les raviolis sont marrants et astucieux.
Je n'y avais jamais pensé! :D
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.

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Profondo Rosso
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)

Message par Profondo Rosso »

Il faut marier papa (1963)

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Veuf depuis peu de temps, Tom Corbett vit avec son fils, Eddie, un charmant petit garçon de 8 ans. Une gouvernante prend en charge les soucis domestiques de la petite famille, mais rien ni personne ne vient combler le vide affectif laissé par la défunte. Lorsqu'Eddie tombe malade, il est ravi des soins que lui prodigue une voisine de palier, la ravissante Elizabeth Marten.

Il faut marier papa est un petit bijou de sensibilité où le talent de Vincente Minnelli transcende ce qui n'aurait pu donner qu'une bluette sucrée. Le film adapte un roman à succès de Marc Toby dont la MGM en flairant le potentiel a acheté les droits avant parution. Le film s'inscrit dans un courant de films plus intimistes pour Minnelli, ou du moins plus modeste dans les enjeux et/ou la recherche formelle que ses comédies musicales ou mélos flamboyants. On pense à La Femme modèle (1957) ou Qu'est-ce que maman comprend à l'amour ? (1958). Après les premiers pas d'un couple mal assortis pour le premier et l'émancipation amoureuse de la jeune fille du second, on en reste à cette observation intimiste d'un moment clé d'une famille dans Il faut marier papa. C'est cependant un passage bien plus douloureux à vivre puis Tom Corbett (Glenn Ford) doit se remettre avec son jeune fils Eddie (Ron Howard) de la récente disparition de sa femme. La première scène dissémine par la seule situation et les réactions des personnages cette nouvelle donne. Tom est dans l'urgence de celui qui n'a jamais fait les préparatifs matinaux basiques de départ à l'école, Eddie a quitté sa chambre dans la nuit pour dormir dans la chambre de son père. L'absence de la mère est une situation neuve plutôt qu'un drame auxquels le père et le fils doivent faire face. Tout cela tient jusqu'à la déchirante question que pose innocemment Eddie à Tom au moment d'entrer en classe : Maman est-elle vraiment morte ?

Cette tristesse contenue traduit un déni du drame qui s'exprime dans la façon désinvolte dont l'évoque Eddie (qui va courir raconter la mort e sa mère à un camarade comme il le ferait de ses dernières vacances) ou encore l'agacement de Tom face à la sollicitude de ses collègues de travail. Cette retenue ne peut que voler en éclat au moindre évènement qui ravive la tragédie et Minnelli bouleverse par la démonstration crue de la douleur de ses personnages. L'enfant laisse instinctivement s'exprimer sa détresse dans un cri face à un de ses poissons rouges mort, l'adulte se montre plus autodestructeur par l'alcool et une agressivité injuste envers sa voisine Elizabeth (Shirley Jones). Ce lien père/fils est le ciment qui empêche les deux de sombrer et le scénario excelle à montrer de façon très naturelle la complicité qui règne entre eux. C'est d'ailleurs par l'enfant espérant voir son père refaire sa vie que passent des dialogues étonnamment osés. Les questionnements triviaux sur l'attirance d'un homme pour une femme naissent ainsi des tirades innocentes d'Eddie, ayant parfois des idées bien arrêtées (les femmes sournoises ont des yeux plissés et de grosses poitrines), plus incertaines (quelles sont les mensurations idéales d'une femme) ou certainement amenées à changer (les filles ne sont pas belles de dos papa). C'est une manière finalement subtile de placer Tom face à ses contradictions et traduire son éveil possible à une nouvelle vie sentimentale. Le film est donc une grande œuvre sur la solitude, celle urbaine où l'espace de la ville intimide au moment de renouer avec un registre e séduction, mais aussi celle de nos entraves intimes. Il y a évidemment le drame du deuil pour Tom, mais la richesse et la subtilité du scénario y ajoute une dimension féministe avec Elizabeth jeune divorcée livrée à elle-même, Rita Behrens (Dina Merrill) femme indépendante mais esseulée et Dollye Daly (Stella Stevens pétulante) jeune femme manquant de confiance en elle. C'est la dernière qui sous la drôlerie est la plus consciente de ses manques et les surmonter, les deux autres se cherchant jusqu'au bout sans forcément se trouver. Là encore Minnelli se montre très fin, ne cédant pas au cliché de la méchante belle-mère pour Rita (mais plutôt en ne la montrant dans son élément uniquement au sein de cadre mondain tandis qu'elle force sa bienveillance avec Eddie) et avec Elizabeth en explicitant peu à peu que son affection sincère pour Eddie est aussi un moyen de se rapprocher de Tom. Cette idée de déni se traduit d'ailleurs par les rapports orageux entre Tom et Elizabeth, la crainte de trop se livrer et souffrir provoquant le conflit.

L'alchimie entre Glenn Ford et un tout jeune Ron Howard est assurément l'atout majeur u film. Glenn Ford se montre magnifiquement humain et vulnérable, attentif puis distrait face aux sollicitations constantes de l'enfant, bienveillant puis injustement colérique comme peut l'être n'importe quel parent malgré toute sa bonne volonté. Il en va de même avec Ron Howard, impertinent et étonnamment mature pour redevenir le garçonnet vulnérable qu'il est encore dans la minute. Cet équilibre constant contribue à un ton toujours juste entre comédie romantique réellement drôle et enlevée puis vrai drame. La dernière partie est un sommet d'émotion à ce niveau, tant dans le mélo donc (la réaction écorchée d'Eddie, la frayeur de Tom) que la candeur confondante avec l'amorce de cette réconciliation téléphonique savamment orchestrée. La magie Minnelli a encore frappée ! 5/6
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Jeremy Fox
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)

Message par Jeremy Fox »

"You know what? I'm Happy!" 8) Un des 10 dvd que j'emmenerais sur une ile déserte.
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Roilo Pintu
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)

Message par Roilo Pintu »

Vu Melinda; grosse déception pour ma part.
Pas du tout captivé par cette histoire de réincarnation interprétée par Barbra Streisand et Yves Montant. Long, assez soporifique, aucune chanson ni numéro n'auront réussi à me sortir de ma léthargie. J'ai même du arrêter le film pour le reprendre le lendemain.
bruce randylan
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)

Message par bruce randylan »

Story of three love (Vincente Minnelli & Gottfried Reinhardt - 1953)

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Souvent oublié dans la filmographie du cinéaste, The story of three loves est un film à sketch constituée de 3 intrigues indépendantes, vaguement reliées par des personnages se trouvant sur un paquebot lançant des flash-backs. Comme son nom l'indique, il s'agit de trois histoires d'amour, romantiques certes mais pas vraiment comédies romantiques. On est davantage dans le registre d'histoires condamnées, compliquées ou torturées.
J'avais acheté le DVD Warner Archives évidement pour la présence de Vincente Minnelli derrière la caméra de la seconde histoire où un un garçon n'appréciant guère sa professeure particulière de français (Leslie Caron) se retrouve dans le corps d'un adulte le temps d'une journée et voit d'un nouvel œil cette dernière.
Le format réduit de 30 minutes n'est pas suffisant pour rendre l'évolution des personnages crédible. Tout va trop vite et on ne croit pas beaucoup à ce coup de foudre improbable même si Leslie Caron est assez touchante dans l'espoir et la promesse d'une rencontre miraculeuse. Pour le reste, hormis le plan d'ouverture et la direction artistique de la demeure de la "sorcière", la mise en scène de Minnelli est assez fonctionnelle et ne trouve que timidement sa délicatesse frémissante alors que tout était en place pour : la lecture de poésies, les références au conte de fée (il y a quelque chose de Cendrillon), l'amour naissant lors d'une ballade nocturne, une certaine pureté des sentiments, une mélancolie sur des rêves chimériques...
Assez décevant.

Cela dit le film vaut franchement le coup pour les deux autres segments signés Gottfried Reinhardt dont je n'avais jamais entendu parlé et dont je n'attendais strictement rien. Son premier épisode est ironiquement typiquement Minnellien et se hisse aisément au niveau de ce dernier. On sent aussi l'influence tragique des Chaussons Rouges, et pas seulement parce qu'on y retrouve Moira Shearer dans le rôle principal, celui d'une danseuse qui se donne corps et âme à sa passion autant par dévotion que par amour à un artiste (James Mason) pris d'une fièvre créatrice en la regardant danser.
Cela donne ainsi deux scènes de danses sensationnelles, par ailleurs admirablement mises en scènes. Les couleurs, la conception des décors, la grâce des mouvements de caméra, le lyrisme des cadrages... Reinhardt y fait preuve d'un raffinement certainement plus proche d'une sensibilité européenne que des yesman de la MGM.

Le dernier épisode dure un peu plus d'une heure et est également une remarquable réussite dans un registre différent avec une très touchante histoire d'amour où deux écorchés à vif pansent lentement leurs plaies : une jeune femme sortant d'une tentative de suicide et un trapéziste se sentant responsable de la mort de sa partenaire - et compagne - lors d'un numéro.
Le duo formé par Kirk Douglas et Pier Angeli est pour le moins poignant et ils sont vraisemblablement conquis par le scénario et la complexité des relations entre leur deux personnages. Reinhardt leur fait d'ailleurs amplement confiance et plusieurs scènes intimistes se concentrent sur leur visages en limitant les déplacements, les figurants et les décors.
Les 20 dernières minutes sont même à couper le souffle avec plusieurs numéros de hautes voltiges aussi spectaculaires qu'intenses psychologiquement. Non seulement la mise en scène possède un découpage virtuose, conférant un rare sens du vertige, mais en plus les comédiens exécutent autant que possible leurs propres acrobaties. Le final devient ainsi un sublime acte d'amour et de confiance dont l'enjeu n'est pas la prouesse physique de l'acte mais de renouer tout simplement avec l'envie de vivre.

Le DVD warner est correct au niveau de l'image (disons potable) mais le son est vraiment faible, ce qui n'aide pas étant donné l'absence de sous-titres.

"celui qui n'est pas occupé à naître est occupé à mourir"
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Sybille
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)

Message par Sybille »

Merci pour ton avis.
Ce film ne m'a jamais attirée malgré Minnelli, les acteurs/actrices car je ne suis pas amatrice de films à sketchs, mais tes arguments sont convaincants.
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Barry Egan
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)

Message par Barry Egan »

Un Américain à Paris

Un Paris de carte postale, un Gene Kelly de carte postale et un Gershwin de jukebox qui offre des moments isolés plus beaux que la somme du film, un peu décousu avec des personnages qui disparaissent d'un coup d'un seul (Milo Roberts ???) et un happy end trop court pour être honnête. Les scènes chantées sont très belles, le travail sur les couleurs somptueux. Pas de moment mort pendant la longue séquence de 17 minutes que j'ai pourtant trouvé un peu longue. Un peu mitigé en fait.

Brigadoon

Le début très mystérieux (je ne connaissais rien de l'intrigue) m'a bien happé, ensuite j'ai trouvé ça un peu poussif et superficiel (ces décors peints !), parfois même un peu trop naïf. Et puis au bout d'une heure et demie, les personnages principaux changent d'endroit et la valeur de ce qui s'est passé avant resplendit magnifiquement. La fin est puissante. Je suis bon client pour les histoires à la "Lost Horizon" et là, ça a marché à un très grand degré. J'ai adoré le numéro dans le village avec le jeune marié qui accueille les deux étrangers. Sera meilleur la deuxième fois, c'est certain.

Il faut marier papa

J'ai un peu de mal avec Glenn Ford mais beaucoup moins avec Shirley Jones :oops: Une scène m'a beaucoup touché, c'est celle où Glenn Ford va passer le réveillon du nouvel an chez la styliste de mode, et où en un mouvement de caméra de quelques secondes on comprend qu'il n'est pas du tout à sa place. Mais pour le reste, il y a un déséquilibre dans le sens où parfois, on se croit dans une sorte de téléfilm avant l'heure esthétiquement et le traitement du sujet oscille entre le très noble et le très profane. Je ne sais pas, j'ai beaucoup aimé, mais ce n'est pas autant une oeuvre de "cinéma" que les deux critiquées plus haut. Enfin, on va pas cracher dans la soupe non plus. Le personnage de Dollye la miss Montana est très touchant, et quand l'animateur de radio la voit telle qu'elle est pendant son solo de batterie, c'est très émouvant. Ce qui me semblait au départ être une digression dispensable pour le film n'est au final en rien superflu. J'ai l'impression que le film parle de l'évidence, et des difficultés que nous avons à la reconnaître (dès que Glenn Ford ouvre la porte de son appartement sur Shirley Jones en infirmière, on sait à son regard comment ça va se finir et le génie du cinéaste est de parvenir à nous intéresser à comment on va arriver à cette fin à travers cet enfant/médiateur à la fois réel et symbolique).

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Jeremy Fox
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)

Message par Jeremy Fox »

Dirk Diggler a écrit : 11 oct. 20, 09:43 mais beaucoup moins avec Shirley Jones :oops:
Prochains sur la liste : "Les Ensorcelés" et "Tous en scène !"


Tu m'étonnes ! :oops:

Pour ma part, 5 chefs d'oeuvre avec Brigadoon dans mon top 10
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)

Message par Barry Egan »

Veux-tu faire dégénérer le topic Minnelli en topic photos de Shirley Jones ? :mrgreen:
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)

Message par Jeremy Fox »

Dirk Diggler a écrit : 11 oct. 20, 10:06 Veux-tu faire dégénérer le topic Minnelli en topic photos de Shirley Jones ? :mrgreen:
Pourquoi pas :mrgreen: Je me rends compte ne pas en avoir mis assez.

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Alexandre Angel
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)

Message par Alexandre Angel »

Ah oui mais ci-dessus c'est Stella Stevens!
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.

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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)

Message par Jeremy Fox »

Alexandre Angel a écrit : 11 oct. 20, 10:39 Ah oui mais ci-dessus c'est Stella Stevens!
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Pas de bagarres comme ça : je vous laisse Shirley et moi je prends Stella :uhuh:
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Alexandre Angel
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Re: Vincente Minnelli (1903-1986)

Message par Alexandre Angel »

Moi aussi :oops:
Elle a toujours été sexy Stella même dans L'Aventure du Poseidon.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.

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