


Mais j'ai une bonne excuse: ce n'était pas vraiment un film de cul, c'était présenté comme le premier film e-cul, là est toute la différence.

Ca s'appelle "I.K.U.", ça se prononce en fait "ai-kei-ju", et ça signifie "orgasme" ou bien "je jouis!".

Imaginez une version X de "Blade Runner" (la première scène en est d'ailleurs un gros clin d'oeil). Dans un futur proche, une puissante societé crée une androïde, Reiko, dont le but est de coucher avec un max de personnes pour recueillir toutes les infos sur les plaisirs sexuels (d'ailleurs, celle-ci peut prendre 7 apparences différentes suivant les désirs de ses partenaires). Les orgasmes seront stockés numériquement pour mettre en place tout un système de vente d'orgasmes au moyen de pilules. Mais Reiko se verra saboter toutes ses données en baisant avec Tokyo Rose, qui est un virus envoyé par une societé concurrente. Après, tout devient incompréhensible mais il paraît que Reiko aspire à une nouvelle identité, c'est-à-dire d'être capable de dire "je t'aime". Ah ouais?
Donc autant vous le dire, "I.K.U." ressemble beaucoup plus à un assemblage de scènes de cul (pas aussi hard que d'habitude mais quand même) plutôt qu'à une vraie réflexion sur l'avenir de la sexualité virtuelle au XXIème siècle... Donc oui, c'est vraiment un piège à cons, du pur n'importe nawak...




En tout cas, Jordan White, je suis sûr que tu vas adorer.


