Je préfère mais en un sens, ça reste moins pratique. Tu marques un point.vic a écrit :Strasbourgeois.Requiem a écrit :Salopard.
Le cinéma japonais
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un petit bijou de toshio matsumato, sombre, photo sublime
http://www.cdjapan.co.jp/detailview.html?KEY=OPSD-S203
http://french.imdb.com/title/tt0165473/
amusant le visuel imdb

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- Beule
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Rapido et histoire de prendre de vitesse le Sieur Vic, qui devrait se poser en défenseurnoar13 a écrit :
Pays de neige (Yukiguni)
134’ / 1957 / N&B / Tôhô / copie 35 mm / vostf
Avec Ryô Ikebe, Keiko Kishi, Hisaya Morishige, Daisuke Katô
Le peintre Shimamura se rend dans une station thermale d’une région enneigée du
nord du Japon pour retrouver Komako, une geisha rencontrée un an auparavant.
Mais lui est marié et habite à Tôkyô, et elle doit travailler pour aider sa famille.
Malgré leur amour mutuel, ils ne peuvent se voir qu’une fois par an…
Adaptation du chef-d’œuvre de Yasunari Kawabata, prix Nobel de littérature en 1968.


Ce mélodrame se révèle incolore et inodore, terriblement bavard et répétitif. La caméra de Toyoda découpe l'espace en longs mouvements sinueux mais d'une gratuité totale par absence de point de vue; le découpage est parfois si abrupt qu'on jurerait que le film a connu bien des déboires et des coupes au montage; le réalisme psychologique semble être le dernier des souci des adaptateurs, et subséquemment la belle Keiko Kishi, dont je me disais bien que je l'avais vue quelque part, et pour cause puisqu'il s'agit de la comédienne qui imposait une présence presque fantasmatique via son interprétation de la Femme des Glaces de Kwaidan ou même son personnage de soeur dévouée dans Tendre et folle adolescence d'Ichikawa, finit par s'égarer dans une composition hystérique tout à fait improbable et insupportable; le constat est pour moi désolant. Il faudrait encore souligner l'absence de caractérisation de tous les personnages secondaires, dont les apparitions sporadiques à l'écran ne semblent justifiée par rien, pas même une anecdotique recherche du pittoresque ou de la couleur locale...
A bien des égards ce Pays de neige tient pour moi du roman de gare le plus éculé. Ca se voudrait larmoyant, mais les sentiments sont sondés trop sommairement et exposés avec trop d'artifices pour susciter ne serait-ce qu'une seconde d'émotion. A mes yeux, digne d'un -long, très long- soap movie hollywoodien de bas étage. Même la musique, dégoulinante de mièvrerie, est dans le ton.
Une soirée interminable. Pour le compte, je pense laisser reposer le reste de la sélection loin de mes yeux

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Beule a écrit :vic a écrit :Bof, je suis malade et déprimé, j'ai pas le force de défendre quoi que ce soit.
Et le pire étant que tout en ayant bien aimé le film, je suis assez d'accord avec toi ...![]()
Cela étant, que n'étais-tu dans cet état lorsqu'il était question du Dracula de Coppola

Bien vu.
(Un WE sous la couette devrait un peu arranger tout ça, pas de Toyoda ni de Verhoeven pour moi ce WE, je vais me consoler avec les Rois Maudits...)

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Human vapor - ishirô Honda - 1960
Gasu ningen dai ichigo

Si j'ai bien suivi ce film fait partie d'une serie de la toho d'autres films de sci-fi ou un humain se transforme :
the transparent man
the H man (encore de honda)
Secret of the Telegian (fukuda)
Ici, le personnage principal, M. Mizuno, suite à une experience scientifique qui tourne mal, se voit doté de la capacité à se transformer en gaz.
Il utilisera ce pouvoir pour cambrioler pour financer les representations de sa copine, danseuse de kabuki.
Le film se deroule sur fond d'enquete policiere plutot sympatique, la touche 60s, la realisation soignée et les effets speciaux cheap, en font un incontournable pour tout fan du genre.(et oui honda c'est pas seulement du rubber)
A noter, qu'il faudra "endurer" 10 minutes de danse traditionelle kabuki style
j'aime bien mais ca peut en refroidir plus d'un.
d'ailleurs je cherche des cd audio de chants traditionnels japs accompagnes de chamisen et tambours.
Gasu ningen dai ichigo

Si j'ai bien suivi ce film fait partie d'une serie de la toho d'autres films de sci-fi ou un humain se transforme :
the transparent man
the H man (encore de honda)
Secret of the Telegian (fukuda)
Ici, le personnage principal, M. Mizuno, suite à une experience scientifique qui tourne mal, se voit doté de la capacité à se transformer en gaz.
Il utilisera ce pouvoir pour cambrioler pour financer les representations de sa copine, danseuse de kabuki.
Le film se deroule sur fond d'enquete policiere plutot sympatique, la touche 60s, la realisation soignée et les effets speciaux cheap, en font un incontournable pour tout fan du genre.(et oui honda c'est pas seulement du rubber)
A noter, qu'il faudra "endurer" 10 minutes de danse traditionelle kabuki style

j'aime bien mais ca peut en refroidir plus d'un.
d'ailleurs je cherche des cd audio de chants traditionnels japs accompagnes de chamisen et tambours.
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Si ma soeur me fait les copies qu'elle m'a promis, ça devrait arriver bientot...noar13 a écrit :d'ailleurs je cherche des cd audio de chants traditionnels japs accompagnes de chamisen et tambours.
J'adore également ces chants traditionnels.

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Raku-yo-ju de kaneto Shindô.
Bon c'est pas vraiment naphtaliné, film de 1986.
L'histoire de la ruine d'une famille japonaise contée par le cadet.
Voilà à priori rien de bien folichon, oui mais voilà c'est shindô derrière la camera du coup on en prends plein les mirettes, à noter quelques clins d'oeil à onibaba et à l'ile nue.
L'histoire repose essentiellement sur la relation mère-fils tres émouvante sans jamais tomber dans l'exces ...
cerise sur le gateau, un petit rôle pour meiko kaji

Bon c'est pas vraiment naphtaliné, film de 1986.
L'histoire de la ruine d'une famille japonaise contée par le cadet.
Voilà à priori rien de bien folichon, oui mais voilà c'est shindô derrière la camera du coup on en prends plein les mirettes, à noter quelques clins d'oeil à onibaba et à l'ile nue.
L'histoire repose essentiellement sur la relation mère-fils tres émouvante sans jamais tomber dans l'exces ...
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La Bête Aveugle (Yasuzo Masumura, 1969) : c'est excellent et complètement taré. Mais c'est une véritable épreuve, pas vu un film aussi douloureux depuis longtemps. Je suis pas prêt de le revoir de si tot...

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