Sunset Boulevard : Superbe mise en abyme du système hollywoodien. Wilder réalise ici une œuvre virtuose, à mi chemin entre le cynisme et l’admiration pour les studios. L’interprétation y est tout simplement extraordinaire et la mise en image étonnante : Wilder souvent considéré comme un cinéaste/scénariste fait preuve ici d’un talent de mise en image fabuleux. De ce point de vue, Sunset Boulevard est à ma connaissance son plus beau film.
Bref, 1h40 de jubilation devant un DVD de grande qualité.
Merci à Harry Dawes pour sa superbe critiquequi m’a convaincu que l’achat de cette galette était indispensable
George Kaplan a écrit :Basic : 6/10 j’en parle dans le topic consacré !
Sunset Boulevard : Superbe mise en abyme du système hollywoodien. Wilder réalise ici une œuvre virtuose, à mi chemin entre le cynisme et l’admiration pour les studios. L’interprétation y est tout simplement extraordinaire et la mise en image étonnante : Wilder souvent considéré comme un cinéaste/scénariste fait preuve ici d’un talent de mise en image fabuleux. De ce point de vue, Sunset Boulevard est à ma connaissance son plus beau film.
Bref, 1h40 de jubilation devant un DVD de grande qualité.
Merci à Harry Dawes pour sa superbe critiquequi m’a convaincu que l’achat de cette galette était indispensable
Cinéaste-scénariste ou pas, c un grand metteur en scène, qui nous a concocté plusieurs moments magiques de pur cinéma comme entre autres:
-Marylin qui chante dans Some like it hot.
-Presque toutes les scènes principales d'Assurance sur la mort.
-Le final de Sunset Boulevard ainsi que le superbe "Stars are ageless. Are they?" de Gloria Swanson.
Par contre Sunset Beach n'est pas le film de lui que je préfère. Je l'aime beaucoup, mais j'ai l'étrange sentiment du "trop parfait"...A revoir Mais je l'adore, même si je lui préfère Some like it hot ou Assurance sur la mort.
CARRIE : 5,5 / 10. Revu ce WE, au moins pour la 3e fois. Un De Palma généralement fort bien considéré, et bizarrement un de ceux avec lesquels j'ai le plus de mal. En dehors d'une mise en scène comme d'habitude ultra-millimétrée (ne prenons que l'exemple du plan-séquence au bal, juste avant la cata), De Palma s'est penché sur une histoire que je ne trouve vraiment pas passionnante... les scènes de délire de la mère de Carrie sont insupportables... dans le même genre et du même réalisateur, je préfère de loin FURIE (qui, pour le coup, est loin de faire l'unanimité...). C'est grave, docteur ?
John Anderton a écrit :CARRIE : 5,5 / 10. Revu ce WE, au moins pour la 3e fois. Un De Palma généralement fort bien considéré, et bizarrement un de ceux avec lesquels j'ai le plus de mal. En dehors d'une mise en scène comme d'habitude ultra-millimétrée (ne prenons que l'exemple du plan-séquence au bal, juste avant la cata), De Palma s'est penché sur une histoire que je ne trouve vraiment pas passionnante... les scènes de délire de la mère de Carrie sont insupportables... dans le même genre et du même réalisateur, je préfère de loin FURIE (qui, pour le coup, est loin de faire l'unanimité...). C'est grave, docteur ?
C'est peut-être grave mais ta maladie n'est pas aussi avancée que moi : je n'aime aucun De Palma avant Blow out et là c'est incurable d'après les spécialistes
C'est trés trés grave cher patient, Furie avait été d'un profond ennui pour moi, alors que Carrie me laisse un bon souvenir, Furie n'étant qu'une dérivation de Carrie.
Mais bon aprés chacun son truc
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
John Anderton a écrit :CARRIE : 5,5 / 10. Revu ce WE, au moins pour la 3e fois. Un De Palma généralement fort bien considéré, et bizarrement un de ceux avec lesquels j'ai le plus de mal. En dehors d'une mise en scène comme d'habitude ultra-millimétrée (ne prenons que l'exemple du plan-séquence au bal, juste avant la cata), De Palma s'est penché sur une histoire que je ne trouve vraiment pas passionnante... les scènes de délire de la mère de Carrie sont insupportables... dans le même genre et du même réalisateur, je préfère de loin FURIE (qui, pour le coup, est loin de faire l'unanimité...). C'est grave, docteur ?
C'est peut-être grave mais ta maladie n'est pas aussi avancée que moi : je n'aime aucun De Palma avant Blow out et là c'est incurable d'après les spécialistes
Et moi qui n'en aime aucun ) à partir d'Outrages c grave aussi ?
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Jeremy Fox a écrit :
C'est peut-être grave mais ta maladie n'est pas aussi avancée que moi : je n'aime aucun De Palma avant Blow out et là c'est incurable d'après les spécialistes
Et moi qui n'en aime aucun ) à partir d'Outrages c grave aussi ?
C'est encore plus grave car il y a réalisé son chef-d'oeuvre à savoir Carlito's way.
Et moi qui n'en aime aucun ) à partir d'Outrages c grave aussi ?
C'est encore plus grave car il y a réalisé son chef-d'oeuvre à savoir Carlito's way.
C'est ce que j'étais entrain de me dire, je me suis mélangé les pinceaux entre Outrages et L'impasse autant pour moi, mais c'est l'exeption
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
John Anderton a écrit :CARRIE : 5,5 / 10. Revu ce WE, au moins pour la 3e fois. Un De Palma généralement fort bien considéré, et bizarrement un de ceux avec lesquels j'ai le plus de mal. En dehors d'une mise en scène comme d'habitude ultra-millimétrée (ne prenons que l'exemple du plan-séquence au bal, juste avant la cata), De Palma s'est penché sur une histoire que je ne trouve vraiment pas passionnante... les scènes de délire de la mère de Carrie sont insupportables... dans le même genre et du même réalisateur, je préfère de loin FURIE (qui, pour le coup, est loin de faire l'unanimité...). C'est grave, docteur ?
C'est peut-être grave mais ta maladie n'est pas aussi avancée que moi : je n'aime aucun De Palma avant Blow out et là c'est incurable d'après les spécialistes
Nikita a écrit :Quant à la fin, je trouve que c'est le point d'orgue de la provocation : ce type d'image dérange bien davantage les censeurs de tout poil car ils sont désarmés, ce n'est plus du porno mais ce ne sont définitivement pas des images accepatables
En parlant de censure, j'ai été servi dans le cadre de mon boulot... Au début, ils ne connaissaient pas le film. Du coup, je laisse le film à ma hiérarchie ... Résulat (texto): Ah mais Olivier, ce n'est pas possible... Tu comprends, c'est un film assez... C'est un film d'homo! ...
Ah d'accord ( )... J' vous laisse juge. Je l'ai passé quand même, ça fait un an qu'il est en rayon et je touche du bois, personne ne s'est plaint. Comme quoi.
Sinon, pour ma part, j'ai trouvé que c'était un film plutôt drôle parfois, perturbant... En tout cas, un film à voir au moins par curiosité.
L'enfant sauvage: 8
Un Truffaut inhabituel avec Truffaut lui meme, peut etre le film qui a permis a Spielberg de choisir Truffaut pour le role du professeur Lacombe dans rencontre du troisieme type.Une histoire passionnante fort bien maitrisée par truffaut.Le dvd n'est pas terrible,1.66 4/3, la copie est abimée, les marquages de changement de bobines n'ont meme pas été effacés.
Le vol du Phoenix:6
Un Aldrich plaisant sans plus, un scenario classique 12 types sont coincés dans le désert suite à un accident d'avion,s'en sortiront-ils?comme souvent chez Aldrich,forte opposition de caractere avec violence verbale,hysterie jusqu'a la violence physique.Ici c'est James Stewart et Hardy Kruger qui s'en donnent à coeur joie.Le reste de la distribution est impressionnante: Richard Attenborough,Peter Finch,Ernest Borgnine,Dan Duryea,Ian Bannen...
New York 2H du matin
Je me demande bien ce que je pouvais tant apprécier dans ce polar il y a 10-15 ans. Film d'exploitation au scénario conventionnel (Nick StJohn bien peu inspiré), à l'atmosphère clinquante plus que délétère, et à l'interprétaion en roue libre: Tom Berenger, machoire serrée et regard vide est à hurler de rire, pour ne rien dire du psycho-killer karatéka de service au visage poupin et à la voix intérieure désopilante.
Le DVD très laid n'arrange rien.
1/10
Nid de guèpes
De la référence trop appuyée mais une efficacité ébouriffante.
5.5/10
Basic 6/10
Thomas Crown
Bsic m'a donné envie de me replonger dans ce formidable divertissement ludique et sensuel. Le montage sue le casse initial, porté par ces petites rythmiques allégro de Bill Conti me donne envie de taper du pied de bonheur. Peut-être mon McTiernan préféré, en tout cas celuique je revois avec lle plus de plaisir.
7/10
La maison dans l'ombre 9/10 La ville abandonnée 4.5/10 Un homme un vrai 5.5/10
La vie de château
Un brouillon un peu désordonné de la part de Rappeneau. La petite histoire ne se marie pas toujours très harmonieusement à la grande, mais ces arabesques fofolles et pleine de rythme déjà dispensent un plaisir véritablement communicatif. Je n'ai jamais vu Catherine Deneuve aussi mutine, drôle et spontanée.
6/10