Oui... avec un sous-titre sur deux...phylute a écrit : Sinon en lisant au dessus, je m'aperçois que TV a passé Le Miroir en VO !!!!
NOTONS LES FILMS (Mai 2004)
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Oui mais ça m'embêtait tout de même de l'enregistrer en VF. Sur Télérama il était indiqué en VF, ce qui est logique vu que TV5 est la chaîne francophone.Edward Bloom a écrit :Une vf existe ?
De toute façon, le film privilégie l'image au dialogue, à l'exception des poèmes de Tarkovski père qui, eux, étaient mieux sous-titrés...
Mais c'est bon, il y a une redif la semaine prochaine, me voilà rassuré !
Les films sont à notre civilisation ce que les rêves sont à nos vies individuelles : ils en expriment le mystère et aident à définir la nature de ce que nous sommes et de ce que nous devenons. (Frank Pierson)
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Des forumeurs ont donné leurs avis ici:Pancake a écrit :Y'a pas de topic sur La Vie est un miracle? Je l'ai pas trouvé...
http://www.dvdclassik.com/forum/viewtop ... c&start=30
Mais un nouveau topic specialement cree pour le film ne serait pas une mauvaise idee


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Mais c'est vrai que dans une interview, Boukhrief considérait ce film comem son premier. Va Mourire ne devait être qu'un court métrage, mais Boukhrief a allongé la sauce estimant que tant d'effort pour un simple court c'était bien du gâchi. Quand au Plaisir... il ne se reconnaissait absolument plus dans ce film le trouvant "pédant", ceci du à son passage à Canal ou il prit la grosse tête.Jordan White a écrit :Bardamu a écrit :Un cinéaste est né...
Pas tout à fait car il avait déjà tourné Va Mourire et Le plaisir et ses petits tracas.
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CA Y EST !!!!!!!!!!!!
J'ai enfin pu découvrir grace à notre inestimable TROMA le joyau à l'état pur
qu'est VIVRE POUR SURVIVRE .
Que dire sinon qu'une telle oeuvre défie tout jugement tant elle transcende la vision traditionnelle du cinéma "normal".
Des acteurs à fleur de ? (de quoi je n'en sais rien), une musique ?, des effets spéciaux ? et des dialogues ? (je n'ai tjs pas trouvé d'adjectif et pour tant je cherche) et pour emballer tout ça une mise en scène toute droit sortie du cerveau d'un ?
Enfin bon au moins on s'est bien marrés mais il est vrai que pour arriver à un tel niveau d'incompétence dans tous les domaines il faut s'en donner la peine, et pas qu'un peu.
Il y à au moins une fonction à ce film pour laquelle l'ensemble de la communauté cinématographique lui doit reconnaissance: permettre une réevalutation positive des films que nous considérons comme les plus mauvais que nous ayons vu.
Disons que pour moi est c'est sincère, ce film atteint un niveau autre du cinéma qui doit s'adresser à des sens ou des organes dont je ne suis pas équipé (pourtant si comme beaucoup d'entre nous j'ai un anus alors merde qu'est ce que Pallardy à que je n'ai pas ? )
Un grand moment expérimental donc, le tout sur un écran de 3 m de diagonales, merci TROMA.
Stefan
Ps: ça faisait longtemps que je n'avais pas autant ri devant tant de conneries involontaires mais il faut dire que j'ai une culture Nanr balubutiante mon autre grande expérience dans ce domaine je la dois à
L'nvasion des Zombies (véridique dans le titre sur la Vf il avaient oublie le I) du génial Umberto Lenzi qui était ce que je considérais jusqu'a la vision de White Fire comme le summum du pire.

J'ai enfin pu découvrir grace à notre inestimable TROMA le joyau à l'état pur


Que dire sinon qu'une telle oeuvre défie tout jugement tant elle transcende la vision traditionnelle du cinéma "normal".
Des acteurs à fleur de ? (de quoi je n'en sais rien), une musique ?, des effets spéciaux ? et des dialogues ? (je n'ai tjs pas trouvé d'adjectif et pour tant je cherche) et pour emballer tout ça une mise en scène toute droit sortie du cerveau d'un ?



Enfin bon au moins on s'est bien marrés mais il est vrai que pour arriver à un tel niveau d'incompétence dans tous les domaines il faut s'en donner la peine, et pas qu'un peu.
Il y à au moins une fonction à ce film pour laquelle l'ensemble de la communauté cinématographique lui doit reconnaissance: permettre une réevalutation positive des films que nous considérons comme les plus mauvais que nous ayons vu.
Disons que pour moi est c'est sincère, ce film atteint un niveau autre du cinéma qui doit s'adresser à des sens ou des organes dont je ne suis pas équipé (pourtant si comme beaucoup d'entre nous j'ai un anus alors merde qu'est ce que Pallardy à que je n'ai pas ? )
Un grand moment expérimental donc, le tout sur un écran de 3 m de diagonales, merci TROMA.

Stefan
Ps: ça faisait longtemps que je n'avais pas autant ri devant tant de conneries involontaires mais il faut dire que j'ai une culture Nanr balubutiante mon autre grande expérience dans ce domaine je la dois à
L'nvasion des Zombies (véridique dans le titre sur la Vf il avaient oublie le I) du génial Umberto Lenzi qui était ce que je considérais jusqu'a la vision de White Fire comme le summum du pire.
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- Zatoichi. Après Dolls, Kitano continue de s'éloigner de son univers habituel et se frotte donc à l'un des personnages de fiction le plus populaire au Japon. Délaissant les combats hyper chorégraphiés pour des scènes d'action brèves et concises, le réalisateur offre un chambara (mais en est-ce un ?) hors norme. La grande force du film vient bien entendu de l'incroyable richesse de la bande son, tout devenant musical, son du monde fantasmé par un aveugle. Passionnant. 8/10
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The Long Goodbye
Beaucoup aimé, j'avais beau être assez mal(ade) le tout est très bien passé. Entre la nonchalance et le ton pince-sans-rire du génial Elliot Goulde, l'allure d'ours de Hayden et celle de fouine de Gibson (et son visage dérengeant au possible), pas le temps de s'ennuyer. Ce film noir, drôle, violent, sans concession et mis en scène à grand renfort de zooms efficaces et élégants (
), s'avère excellent. Va falloir que je le revois tiens...
Après une journée naphta, avec en prime une nuit chargée de Wilder (voir notons les naptha, d'ici une heure ou deux), j'ai décidé, pour le lendemain, de me changer les idées.
HULK
Rolala.... Déjà je ne comprend pas pourquoi Lee a tenu à ce style Comic Book, certes c'est un style comme un autre, mais quelle lourdeur, c'est assomant : Split-screens, transitions en tout genres (quasi-continuellement),... Même si ça m'a ravis quelques fois (rythme, pur plaisir visuel), sur la longueur, ça devient franchement gavant.
Et puis, finalement, sur une matière aussi attrayante (un personnage aux traumas multiple, détruit pas son propre père, etc...), parvenir a donné aux personnages, aux situations, aussi peu d'intérêt, c'est fort. Finalement, tout ce que je retiens, c'est quelques jolis scènes d'actions bien bourrines, les FX lechés (le visage de hulk assez génial), mais pas grand chose d'autre. Le pire c'est qu'au final on tient à Hulk, mais pas vraiment à Bana (le freaks touche, le personnage ennui). Insipide.
Femme Fatale
Nom d'une goulache, me dites pas que des fans de De Palma peuvent ne pas adhérer ? c'est pas possible ? Ce film c'est 20 ans de singeries virtuoses et de thèmes traumatique usés, c'est de la pure manipulation qui se contrefout de son scénar, en offant une accumulation de scènes bandantes, maîtrisées à l'extême et jouissives du début à la fin. Alors oui cet espèce de twist (qu'on a d'ja remarqué dans la BA, donc pas de surpise) ne sert à rien, oui les dernières minutes sont gavantes, mais avant ça on a presque 1h30 de sauterie De Palmesque, d'ouragans virtuoses à vous foutres une gaule d'enfer. Un One-Man Show de la part de Brian qui, décomplexé, demande aux beaux culs de se remuer avec sensualité devant l'écran, aux quelques bons acteurs de s'amuser et aux cast français (choisis avec les pieds) de....s'en sortir comme ils peuvent. Un régal !
Tais-toi
En bon beauf facilement amusé par le non-talent cinémathogaphique de sir Veber, je me suis gondolé devant cette accumulation de conneries énormes. Reno sans saveur, comme souvent, mais Depardieu déchaîné à débité quantité de dialogues "énaurmes" qui m'ont fait pisser de rire. Une seconde partie forcément en demi-teinte (avec ses quequelques excursions "émotives" ratées), mais le reste assure un spectacle souvent hilarant.
Sinon aujourd'hui :
Le Coût de la vie
Très bon Luchini, une brochette d'acteurs attachants, un scénario sympathique, avec de bons moments. Dans l'ensemble un peu fade, mais pas emmerdant, sans prétentieux et bien emballé. Sympa.
Pirahnas
Avec sa représentation de l'armée, de l'autorité, on voit qu'on est chez Dante. Avec son style impersonnel, lourdaud, son scénario et ses scènes d'actions fades, on à l'impression d'être chez un tâcheron. Bof.
Beaucoup aimé, j'avais beau être assez mal(ade) le tout est très bien passé. Entre la nonchalance et le ton pince-sans-rire du génial Elliot Goulde, l'allure d'ours de Hayden et celle de fouine de Gibson (et son visage dérengeant au possible), pas le temps de s'ennuyer. Ce film noir, drôle, violent, sans concession et mis en scène à grand renfort de zooms efficaces et élégants (

Après une journée naphta, avec en prime une nuit chargée de Wilder (voir notons les naptha, d'ici une heure ou deux), j'ai décidé, pour le lendemain, de me changer les idées.

HULK
Rolala.... Déjà je ne comprend pas pourquoi Lee a tenu à ce style Comic Book, certes c'est un style comme un autre, mais quelle lourdeur, c'est assomant : Split-screens, transitions en tout genres (quasi-continuellement),... Même si ça m'a ravis quelques fois (rythme, pur plaisir visuel), sur la longueur, ça devient franchement gavant.
Et puis, finalement, sur une matière aussi attrayante (un personnage aux traumas multiple, détruit pas son propre père, etc...), parvenir a donné aux personnages, aux situations, aussi peu d'intérêt, c'est fort. Finalement, tout ce que je retiens, c'est quelques jolis scènes d'actions bien bourrines, les FX lechés (le visage de hulk assez génial), mais pas grand chose d'autre. Le pire c'est qu'au final on tient à Hulk, mais pas vraiment à Bana (le freaks touche, le personnage ennui). Insipide.
Femme Fatale
Nom d'une goulache, me dites pas que des fans de De Palma peuvent ne pas adhérer ? c'est pas possible ? Ce film c'est 20 ans de singeries virtuoses et de thèmes traumatique usés, c'est de la pure manipulation qui se contrefout de son scénar, en offant une accumulation de scènes bandantes, maîtrisées à l'extême et jouissives du début à la fin. Alors oui cet espèce de twist (qu'on a d'ja remarqué dans la BA, donc pas de surpise) ne sert à rien, oui les dernières minutes sont gavantes, mais avant ça on a presque 1h30 de sauterie De Palmesque, d'ouragans virtuoses à vous foutres une gaule d'enfer. Un One-Man Show de la part de Brian qui, décomplexé, demande aux beaux culs de se remuer avec sensualité devant l'écran, aux quelques bons acteurs de s'amuser et aux cast français (choisis avec les pieds) de....s'en sortir comme ils peuvent. Un régal !
Tais-toi
En bon beauf facilement amusé par le non-talent cinémathogaphique de sir Veber, je me suis gondolé devant cette accumulation de conneries énormes. Reno sans saveur, comme souvent, mais Depardieu déchaîné à débité quantité de dialogues "énaurmes" qui m'ont fait pisser de rire. Une seconde partie forcément en demi-teinte (avec ses quequelques excursions "émotives" ratées), mais le reste assure un spectacle souvent hilarant.

Sinon aujourd'hui :
Le Coût de la vie
Très bon Luchini, une brochette d'acteurs attachants, un scénario sympathique, avec de bons moments. Dans l'ensemble un peu fade, mais pas emmerdant, sans prétentieux et bien emballé. Sympa.
Pirahnas
Avec sa représentation de l'armée, de l'autorité, on voit qu'on est chez Dante. Avec son style impersonnel, lourdaud, son scénario et ses scènes d'actions fades, on à l'impression d'être chez un tâcheron. Bof.
- Errm. Do you want to put another meeting in?
- Any point?
- May as well. Errm. And then when nothing comes in, just phone you up and cancel it.
- Any point?
- May as well. Errm. And then when nothing comes in, just phone you up and cancel it.