Geoffrey Firmin a écrit :Bastogne de William Wellman
Un chef d'oeuvre du film de guerre par un des auteurs les plus attachant de l'age d'or.Un souci de réalisme constant,beaucoup de sensibilité et de simplicité, pas de stars mais quelques comédiens excellents:James Whitmore,Van Johnson,John Hodiak.Pour moi, l'un des cinq meilleurs films de guerre jamais tourné.
Le dvd Warner alterne le bon et le moins bon, avec quelques plans à la définition superbe mais aussi quelques passages fort granuleux.
Chaque documentaire de Kevin Brownlow (et David Gill) nous invite à un incomparable voyage au sein de l'Âge d'Or Hollywoodien, méticuleusement organisé, riches en détails, où la rigueur prévaut dans la collecte et la restitution d'informations précieuses et nombreuses.
Une visite dans un passé miraculeusement ressucité, au cours de laquelle le guide veille à nous offrir matière à réflexion.
Universal Horror s'attache au premier pas du cinéma d'épouvante sous l'égide de Carl Laemmle, jusqu'à son apogée sous celle de son fils dans les années trente.
Un film tragique, beau, une superbe histoire d'amour. Gabin est phénoménal dans ce rôle de bandit qu'on aime.
De plus, j'adore la scène de la description de la casbah en début de film.
Chaque documentaire de Kevin Brownlow (et David Gill) nous invite à un incomparable voyage au sein de l'Âge d'Or Hollywoodien, méticuleusement organisé, riches en détails, où la rigueur prévaut dans la collecte et la restitution d'informations précieuses et nombreuses.
Une visite dans un passé miraculeusement ressucité, au cours de laquelle le guide veille à nous offrir matière à réflexion.
Universal Horror s'attache au premier pas du cinéma d'épouvante sous l'égide de Carl Laemmle, jusqu'à son apogée sous celle de son fils dans les années trente.
Très bonne approche du thème qui donne envie de (re)découvrir toute cette production.
Suis-je le seul ? Malgré d'excellent dialogues, forcément, et une interprétation globalement bonne, j'ai trouvé ça assez rébarbatif. C'est mou, ça n'en finis pas, tout est trop calculé, froid. Pas mal d'ennui, je suis très déçu, rien ne me raccroche à ce film...
- Errm. Do you want to put another meeting in?
- Any point?
- May as well. Errm. And then when nothing comes in, just phone you up and cancel it.
bogart a écrit :Le Voleur de Bagdad de Michael Powell (1940)
Ce classique de film fantastique d'aventure révéla Sabu, acteur indien, qui aura son heure de gloire dans de nombreux films exotiques.
Malgré les années, on reste sous le charme des effets spéciaux de cette époque.
Je suis resté bien sur ma faim avec cette version du Voleur de Bagdad.
Par contre aujourd'hui un nouvel enchantement grace à Michael Powell (quelle transition) : Je sais où je vais. Une magnifique romance, drôle et enlevée, sur fond de ciel nuageux, de mer en furie, bref de paysages d'Ecosse magnifiés par un noir et blanc sublime. L'histoire est simple, touchante, magique. Du grand Powell et Pressburger une nouvelle fois, un bonheur complet.
Les films sont à notre civilisation ce que les rêves sont à nos vies individuelles : ils en expriment le mystère et aident à définir la nature de ce que nous sommes et de ce que nous devenons. (Frank Pierson)
phylute a écrit :
Par contre aujourd'hui un nouvel enchantement grace à Michael Powell (quelle transition) : Je sais où je vais. Une magnifique romance, drôle et enlevée, sur fond de ciel nuageux, de mer en furie, bref de paysages d'Ecosse magnifiés par un noir et blanc sublime. L'histoire est simple, touchante, magique. Du grand Powell et Pressburger une nouvelle fois, un bonheur complet.
Un film magnifique, qui m'avait bcp surpris et enthousiasmé par son caractère particulièrement enlevé. Très bon souvenir.
Unité Ogami Ittô
Withdrawing in disgust is not the same thing as apathy.