Je sous-entendais l'ensemble du festival y compris les sections parallèles. J'imagine que c'est de là que sortiront pour beaucoup les meilleurs films de l'année.
Va dire ça à Dunn !
Pas un n'arrivera à la cheville de Balle perdue 3
Veneno para las hadas (Carlos Enrique Taboada, 1986)
Je sous-entendais l'ensemble du festival y compris les sections parallèles. J'imagine que c'est de là que sortiront pour beaucoup les meilleurs films de l'année.
Va dire ça à Dunn !
Je m'abstiendrais. Il serait capable de faire sa Brigitte Bardot.
J'en ai lu beaucoup de mal sur X depuis ce matin, mais je pars malgré tout relativement confiant car j'avais adoré le court-métrage dont le film présenté hier est tiré.
Je pense que j'aurais l'occasion de le voir dans quelques jours à l'occasion d'un déplacement pro qui me laissera mes soirées libres et donc le loisir d'aller au cinéma voir autre chose qu'un film pour enfants.
Tjrs aussi fun et ludique. Au programme : une intro réussie avec un énaurme clin d'œil à American College, des morts plus que "satisfaisantes", un rythme honorable et, donc, un cahier des charges tenu. La malice est bien présente.
En plus de révélations qui nourrissent le mythe, la dernière apparition de Tony Todd est un au-revoir aussi touchant qu'historique pour tout bisseux qui se respecte. Sa tirade a été composée et récitée en toute conscience de son état, la mise en abîme fait son effet. Nul doute que sa filmographie s'en ressentira a posteriori. Peut-être que certains trouveront ça cynique, pour ma part j'y ai vu un ton juste. Comme si tout parole exprimée à travers le ciné de genre était plus franche -franchise - qu'ailleurs. On fait semblant sans te mentir, quoi, j'aime bien.
Nota : bien vue la blague du hot dog.
Dernière modification par shubby le 15 mai 25, 03:37, modifié 6 fois.
La première demi-heure est assez fun, avec le retour sympathique de Cameron Diaz toujours aussi folasse.
Mais typique de ce genre de production bas du front, ils se sentent obliger de faire une surenchère de cascades et de bastons de en plus improbables rendant vite le film saoulant, surtout quand le talent derrière la caméra fait défaut.
Je sous-entendais l'ensemble du festival y compris les sections parallèles. J'imagine que c'est de là que sortiront pour beaucoup les meilleurs films de l'année.
Va dire ça à Dunn !
Pas un n'arrivera à la cheville de Balle perdue 3
Bah Si Titane mais j'ai moyennement aimé.
Elever des enfants c'est comme ranger sa collection de films : c'est pas comme on voudrait mais c'est bien quand même.
Addis-Abeba a écrit : ↑14 mai 25, 09:50-Un ours dans le Jura:
A l'annonce du projet je n'aurais pas parié un Kopeck ou deux Popeck sur ce film.
Divine surprise ce mélange de genre est désopilant.
Le trio d'acteurs est génial, l'intrigue tient le coup, la photographie est excellente, les dialogues savoureux, bref n'en jetez plus, c'est une surprenante réussite de la part de Dubosc.
7/10
Même note pour moi, j'avoue que la surprise a été de taille ; oserais-je dire qu'il faille désormais compter sur Franck Dubosc réalisateur ?