zemat a écrit : ↑30 avr. 25, 15:45
A la fin je me suis aperçu que Jonás Trueba avait aussi réalisé « Eva en Août » qui m’avait passablement ennuyé, pas sûr que je revois un de ses films…
C'est ouf d'être aussi diamétralement opposé.
j'ai le meme ressenti quand je vois ses notes, je suis moi aussi completement à l'opposé
Veneno para las hadas (Carlos Enrique Taboada, 1986)
Mais avec le temps on sait qui est compatible et qui ne l'est pas par rapport à ses propres gouts ! C'est l'essentiel
L'élite de ce pays permet de faire et défaire les modes, suivant la maxime qui proclame : « Je pense, donc tu suis. » Pierre Desproges Ma Collection - Mon Planning Achats
Conclave : 6,5/10
Bien en deçà du Nom de la rose en termes de tension et de narration, puisque certains critiques se sont livrés à cette comparaison. On anticipe ici pas mal de rebondissements (le Pape finalement élu, je l'avais rapidement deviné) et le twist final est de trop. Ça reste malgré tout original, soigné en termes de réalisation et de décors, et surtout très bien interprété.
Dernière modification par Zelda Zonk le 2 mai 25, 23:29, modifié 2 fois.
Le larbin - Alexandre Charlot & Franck Magnier - 4,5/10
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky