« Quand des hommes, même s’ils s’ignorent, doivent se retrouver un jour, tout peut arriver à chacun d’entre eux, et ils peuvent suivre des chemins divergents, au jour dit, inexorablement, ils seront réunis dans le cercle rouge. »
Dans mon souvenir, lointain, j'avais plutôt beaucoup aimé celui là, j'aurais presque envie de le relire de voir la couverture là comme ça. Dommage, hormis "l'adversaire", qu'il soit parti de manière systématique dans l'autofiction que pratiquent beaucoup trop d'écrivains français à mon goût. Son dernier "Yoga" sur sa dépression m'est tombé des mains.
Dans mon souvenir, lointain, j'avais plutôt beaucoup aimé celui là, j'aurais presque envie de le relire de voir la couverture là comme ça. Dommage, hormis "l'adversaire", qu'il soit parti de manière systématique dans l'autofiction que pratiquent beaucoup trop d'écrivains français à mon goût. Son dernier "Yoga" sur sa dépression m'est tombé des mains.
Je viens de finir la lecture, consécutive à la découverte du film de Claude Miller. Tous deux (film et roman) sont intéressants et se complètent plutôt bien, sachant que Carrère est aussi co-scénariste du film.
Je dois dire que je ne connais l’œuvre littéraire de Carrère que par ses romans : La Moustache, Hors d'atteinte ? et maintenant La classe de neige. J'ai hésité à prendre D'autres vies que la mienne lors de mon dernier passage à la librairie.
Je te conseillerai plutôt de lire d'abord "l'adversaire" sur l'affaire Romand. "D'autres vies que la mienne", de mémoire, il finit tout de même par un peu trop tout ramener à lui. Mais "l'adversaire", rien que par l'affaire en soi hors-norme, c'est vite fascinant.
Encore et toujours du polar. C'est rare que j'achete autres chose en littérature. Le reste je le prend au boulot
Ce qui porte ma collection de Jim Thompson a 13.
Et toujours dans le polar mais moins noir
« Quand des hommes, même s’ils s’ignorent, doivent se retrouver un jour, tout peut arriver à chacun d’entre eux, et ils peuvent suivre des chemins divergents, au jour dit, inexorablement, ils seront réunis dans le cercle rouge. »
La construction de la matière : le modèle standard de Jacques Léon
"- Il y avait un noir a Orly, un grand noir avec un loden vert. J'ai préféré un grand blond avec une chaussure noire a un grand noir avec un loden vert
- Dites-moi, mon petit vieux, pour faire de la littérature, attendez la retraite. Bonne appétit."
"- Il y avait un noir a Orly, un grand noir avec un loden vert. J'ai préféré un grand blond avec une chaussure noire a un grand noir avec un loden vert
- Dites-moi, mon petit vieux, pour faire de la littérature, attendez la retraite. Bonne appétit."
Acheté hier, pratiquement terminé (140 pages).
C'est passionnant. C'est d'une lucidité ! Aussi bon que les deux précédents du même auteur.
Pour moi, c'est certainement le livre du mois. Superbe.