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Putain l'acteur principal Aaron Pierre dégage un charisme de ouf
Pas un hasard si dans les deux dernier polars que j'ai bien aimé il y a Don Johnson
Intense ce Rebel Ridge, Jeremy Saulnier est toujours dans le game.
SEPTEMBRE SANS ATTENDRE : 3/10
Passé à côté lors de sa sortie en salles faute de temps, in fine je me suis dit que j’avais bien fait !
Car je n’ai absolument pas accroché au déroulement du film ni à ce couple qui m’intéressait de moins en moins au fil de son avancement.
D’ailleurs je me suis amusé de la réaction de leur ami à l’issue de la projection du premier montage du film du protagoniste féminin, car toutes les « notes » adressées à cette réalisatrice venaient exprimer parfaitement mon ressenti en cours de visionnage : trop long, trop répétitif dans son déroulement (le couple annonce sa séparation à leurs amis et la volonté de fêter cet événement), pas de vraie progression dans l’intrigue…
A la fin je me suis aperçu que Jonás Trueba avait aussi réalisé « Eva en Août » qui m’avait passablement ennuyé, pas sûr que je revois un de ses films…
LA FERME DES BERTRAND : 6.5/10
Joli documentaire qui, en réutilisant des images d’un reportage télévisé de 1972 puis d’un documentaire de 1997, permet de contempler 3 périodes de la vie d’une famille de fermiers de Haute-Savoie au cours de 50 années.
Si les techniques ont grandement évolué au cours de cette période, les principes sont restés identiques : travail bien fait, respect de la nature et des bêtes, conscience de la difficulté de cette vie professionnelle laissant peu de temps libre.
La mécanisation des taches autrefois réalisées par des humains leur laissent espérer que leur ferme pourra perdurer malgré le manque de renouvellement de la main d’œuvre familiale, et qu’ils puissent s’octroyer des moments de repos.
zemat a écrit : ↑30 avr. 25, 15:45
A la fin je me suis aperçu que Jonás Trueba avait aussi réalisé « Eva en Août » qui m’avait passablement ennuyé, pas sûr que je revois un de ses films…
zemat a écrit : ↑30 avr. 25, 15:45
A la fin je me suis aperçu que Jonás Trueba avait aussi réalisé « Eva en Août » qui m’avait passablement ennuyé, pas sûr que je revois un de ses films…
C'est ouf d'être aussi diamétralement opposé.
Il va falloir se contenter de nos rares points communs !