Sur IMDb, il est notifié comme Téléfilm et, selon moi, impossible à considérer comme un documentaire lambda.
Il y a un travail de 4 années et, comme l'écrivait Joshua, une véritable ambition formelle.
Karras tranchera mais Merrin pourrait également se prononcer !!
EDIT : le 1er vient de valider !!
“Le monde qui nous entoure est dégueulasse et sordide. Je ne cherche pas à le maquiller comme 99 % des films hollywoodiens.”
Karras a écrit : ↑7 févr. 25, 12:44
Vous pouvez toujours le noter. Il y a eu déjà eu des exceptions avec le film Paris-Brest de Lioret ou le Au coeur des volcans de Herzog, qui étaient sortis également sur ARTE.
Le Herzog est un “vrai” film, ce n’est pas le seul documentaire à être diffusé directement sur Arte.
Maria / Pablo Larrain _ 7
De mémoire de spectateur je n'ai jamais vécu une séance cinéma aussi silencieuse. Grande salle parisienne, pourtant bien remplie, qui semble avoir été subjugué collectivement par la voix de la Callas. Pas un craquement de pop-corn n'a retenti durant deux heures, et ce jusqu'à la fin du générique.
Effet saisissant et immersif, qui vient renforcer l'aspect envoûtant de ce crépuscule.
5 Septembre / Tim Fehlbaum _ 5
Le montage de la bande annonce retranscrivait mieux la tension de la situation que le film ne le fait. Mais surtout les personnages sont beaucoup trop réduits à leurs simples fonctions (Peter Sarsgaard répond au téléphone, Léonie Benesch traduit l'allemand, Zinedine Soualem appuie sur des boutons, un autre fait le coursier...) tels des playmobils sans âmes. Les quelques, et trop rares, conflits éthiques et moraux sont bien trop vite expédiés. Le réalisateur se concentre trop sur le didactique et oublie l'émotionnel.
Dernière modification par Wile E. le 8 févr. 25, 21:55, modifié 1 fois.
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Classique mais très efficace. Chalamet est excellent en évitant le piège de l'imitation, tout comme Monica Barbaro qui interprète une sublime Joan Baez (je suis amoureux). Superbe reconstitution du New York des 60's. J'ai aimé qu'une belle place soit laissée à la musique. Ce n'est jamais frustrant. Et la période décrite est certainement la plus fascinante de la vie de Bob Dylan. Difficile de rester insensible.
Jouer avec le feu 5/10
Better man 6.5/10
Julie se tait 6.5/10
La pampa 7/10
Mon gâteau préféré 8.5/10, quelle merveille
God save the Tuche (oui, je sais) 3.5/10
La Pie Voleuse = 8.5/10!! Superbe film de Guédiguian, qui m'a agréablement cueilli, très belle réflexion sur la vieillesse et le temps qui passe (cette dernière thématique qui parcourt toute la filmographie du cinéaste).