Classement des sorties Cinéma/VOD 2024 [clos]
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2024
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2024
Conclave - Edward Berger: 4/10
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2024
Je fais un gros rattrapage de notation
Godzilla Resurgence (01/01/2024) (Anno) 6
Le film m'a vraiment stupéfait, dans un premier temps, par sa forme insolite (pas de caractérisation des personnages, une somme délirante d'informations à l'image, les premières destructions). Le cap est ensuite tenu, mais l'intérêt a tendance à fléchir. D'un point de vue "géopolitique", c'est aussi très intéressant.
Les Chambres rouges (17/01/2024) (Plante) 7
Je chercherais la formule lapidaire, je dirais que David Fincher a un petit frère québécois. C'est clinique, remarquablement exécuté, d'une certaine force expressionniste quand il le faut, prenant jusqu'au bout... mais sur le fond, ça laisse un petit goût incertain dans la bouche.
May December (24/01/2024) (Haynes) 4,5
Je le remets, la note n'a pas été prise en compte la dernière fois : Déception majeure, dans la mesure où je suis un client habituel du cinéma de Todd Haynes, dans son élégance ou sa retenue. Sauf que là, j'ai trouvé ça un peu épais (la séquence finale de tournage, quelle horreur), très limité dans les enjeux (je trouve que le récit lui-même repose sur un puritanisme très anglo-saxon qui ne me touche que très peu), et assez régulièrement surjoué par les deux actrices.
A Man (31/01/2024) (Ishikawa) 5
J'ai été bien pris par le début, jusqu'à la révélation de l'imposture. Le choix de suivre l'enquête m'a ensuite gêné : d'une part, les personnages auxquels on s'était jusqu'alors attachés sont abandonnés ; d'autre part, la manière de la conduire manque d'ossature (j'ai plusieurs fois pensé au Vase de sable de Nomura, et la comparaison était douloureuse).
Sans jamais nous connaître (14/02/2024) (Haigh) 6
Si je reconnais au film une grande délicatesse, une forme de mélancolie spectrale portée par deux comédiens remarquables, je suis malheureusement émotionnellement resté un peu trop à distance.
Bis Repetita (20/03/2024) (Noblet) 4,5
Un point de départ amusant, mais le dispositif tourne assez vite un peu court. L'écriture est un peu légère.
Pas de vagues (27/03/2024) (Lussi-Modeste) 4,5
Un film-dossier qui fait plus dans l'efficacité (quitte à enfiler de gros sabots) que dans la subtilité. Je n'ai pas vu passer le temps, mais ça manque un peu de cinéma.
Les trois fantastiques (15/05/2024) (Dichter) 5,5
J'ai adoré le début, dans le registre de la chronique adolescente estivale. La suite se complaît malheureusement un peu trop dans le registre tragique social.
Memory (29/05/2024) (Franco) 6
Formellement, le film est superbe, et je retiendrai probablement une très grande scène, à la fin du premier tiers. Je trouve toutefois la deuxième moitié un peu répétitive, et les personnages évoluent peu.
Kinds of Kindness (28/06/2024) (Lanthimos) 4
Ok, Lanthimos préfère les animaux (cette fois, les chiens) aux humains, ces créatures immondes obsédées par la violence, le sexe et le contrôle. Mais est-ce que ça méritait vraiment trois épisodes et 2h40 de cynisme froid ? Le type est doué, il fait faire ce qu'il veut à des Rolls de comédiens, mais ça manque quand même de cadre...
Les Fantômes (03/07/2024) (Millet) 5
Le sujet et l'actualité m'ont a priori laissé croire que c'était gagné d'avance, mais je suis malheureusement resté un peu en dehors ; le traitement et la conduction de la narration m'ont semblé manquer de la tension requise.
Megalopolis (25/09/2024) (Coppola) 6
C'est bien difficile à noter ; j'ai le sentiment d'être passé à côté de plein de choses, j'ai parfois été stupéfait par l'ambition et décontenancé par la naïveté, mais, sans aucun doute, j'ai vu du cinéma pendant deux heures.
The Apprentice (09/10/2024) (Abbasi) 7,5
Beaucoup d'énergie (dans la bande-son, le montage) et d'inventivité (l'évolution progressive de la texture de l'image, du grain 70s à la texture télévisuelle de la fin des années 80) pour décrire la naissance du phénomène Trump, dont il est aujourd'hui plus que jamais difficile de se foutre. Loin d'être bêtement à charge (et on sait, concernant la bête, que c'est totalement contreproductif), le film lie son parcours à la renaissance de la ville de New York, et chope quelque chose de la parfaite adéquation entre l'homme et son cadre, spatial comme temporel. J'ai été captivé.
Flow, le chat qui n’avait plus peur de l’eau (30/10/2024) (Zilbalodis) 7,5
Beaucoup de pureté dans ce petit film, qui fait une entière confiance au langage cinématographique pour susciter rires, frissons, larmes et distiller ses modestes leçons de vie. L'animation n'est pas parfaite, c'est sûr, mais c'est très beau.
Anora (30/10/2024) (Baker) 6,5
J'ai passé un bon tiers à me dire que j'étais devenu trop vieux pour ces conneries... et puis à partir du mariage (et de l'arrivée de Youri Borissov), j'ai été emporté par l'énergie de drôlerie et de tristesse mêlées. J'ai donc passé un bon moment, même si la Palme d'Or me semble excessive pour ce que c'est.
Here – Les plus belles années de notre vie (06/11/2024) (Zemeckis) 5,5
Robert Zemeckis reste un inventeur de formes, mais le dispositif constitue une grande partie de l'intérêt du film (parce que sinon...) comme sa principale limite.
Heretic (27/11/2024) (Beck & Woods) 4
J'ai été un temps amusé par le discours sur les religions, porté par l'espièglerie d'Hugh Grant, mais c'est beaucoup de poudre de perlimpinpin pour cacher la vacuité du fond et l'incurie de la forme.
Conclave (04/12/2024) (Berger) 5,5
Le film a l'habileté de soulever de passionnantes questions théologiques sous les habits du thriller. Sa principale faiblesse reste sa structure (l'élimination successive des candidats menant on sait très vite où), d'autant que son ultime rebondissement est un peu grotesque.
Vingt dieux (11/12/2024) (Courvoisier) 6,5
Louise Courvoisier serait la fille de Bruno Dumont et de Ken Loach ayant déménagé en Franche-Comté. Elle déploie une belle énergie pour insuffler de la légèreté et de la sensibilité à un cadre socialement pesant, quitte à ce que l'écriture cède à quelques facilités.
Godzilla Resurgence (01/01/2024) (Anno) 6
Le film m'a vraiment stupéfait, dans un premier temps, par sa forme insolite (pas de caractérisation des personnages, une somme délirante d'informations à l'image, les premières destructions). Le cap est ensuite tenu, mais l'intérêt a tendance à fléchir. D'un point de vue "géopolitique", c'est aussi très intéressant.
Les Chambres rouges (17/01/2024) (Plante) 7
Je chercherais la formule lapidaire, je dirais que David Fincher a un petit frère québécois. C'est clinique, remarquablement exécuté, d'une certaine force expressionniste quand il le faut, prenant jusqu'au bout... mais sur le fond, ça laisse un petit goût incertain dans la bouche.
May December (24/01/2024) (Haynes) 4,5
Je le remets, la note n'a pas été prise en compte la dernière fois : Déception majeure, dans la mesure où je suis un client habituel du cinéma de Todd Haynes, dans son élégance ou sa retenue. Sauf que là, j'ai trouvé ça un peu épais (la séquence finale de tournage, quelle horreur), très limité dans les enjeux (je trouve que le récit lui-même repose sur un puritanisme très anglo-saxon qui ne me touche que très peu), et assez régulièrement surjoué par les deux actrices.
A Man (31/01/2024) (Ishikawa) 5
J'ai été bien pris par le début, jusqu'à la révélation de l'imposture. Le choix de suivre l'enquête m'a ensuite gêné : d'une part, les personnages auxquels on s'était jusqu'alors attachés sont abandonnés ; d'autre part, la manière de la conduire manque d'ossature (j'ai plusieurs fois pensé au Vase de sable de Nomura, et la comparaison était douloureuse).
Sans jamais nous connaître (14/02/2024) (Haigh) 6
Si je reconnais au film une grande délicatesse, une forme de mélancolie spectrale portée par deux comédiens remarquables, je suis malheureusement émotionnellement resté un peu trop à distance.
Bis Repetita (20/03/2024) (Noblet) 4,5
Un point de départ amusant, mais le dispositif tourne assez vite un peu court. L'écriture est un peu légère.
Pas de vagues (27/03/2024) (Lussi-Modeste) 4,5
Un film-dossier qui fait plus dans l'efficacité (quitte à enfiler de gros sabots) que dans la subtilité. Je n'ai pas vu passer le temps, mais ça manque un peu de cinéma.
Les trois fantastiques (15/05/2024) (Dichter) 5,5
J'ai adoré le début, dans le registre de la chronique adolescente estivale. La suite se complaît malheureusement un peu trop dans le registre tragique social.
Memory (29/05/2024) (Franco) 6
Formellement, le film est superbe, et je retiendrai probablement une très grande scène, à la fin du premier tiers. Je trouve toutefois la deuxième moitié un peu répétitive, et les personnages évoluent peu.
Kinds of Kindness (28/06/2024) (Lanthimos) 4
Ok, Lanthimos préfère les animaux (cette fois, les chiens) aux humains, ces créatures immondes obsédées par la violence, le sexe et le contrôle. Mais est-ce que ça méritait vraiment trois épisodes et 2h40 de cynisme froid ? Le type est doué, il fait faire ce qu'il veut à des Rolls de comédiens, mais ça manque quand même de cadre...
Les Fantômes (03/07/2024) (Millet) 5
Le sujet et l'actualité m'ont a priori laissé croire que c'était gagné d'avance, mais je suis malheureusement resté un peu en dehors ; le traitement et la conduction de la narration m'ont semblé manquer de la tension requise.
Megalopolis (25/09/2024) (Coppola) 6
C'est bien difficile à noter ; j'ai le sentiment d'être passé à côté de plein de choses, j'ai parfois été stupéfait par l'ambition et décontenancé par la naïveté, mais, sans aucun doute, j'ai vu du cinéma pendant deux heures.
The Apprentice (09/10/2024) (Abbasi) 7,5
Beaucoup d'énergie (dans la bande-son, le montage) et d'inventivité (l'évolution progressive de la texture de l'image, du grain 70s à la texture télévisuelle de la fin des années 80) pour décrire la naissance du phénomène Trump, dont il est aujourd'hui plus que jamais difficile de se foutre. Loin d'être bêtement à charge (et on sait, concernant la bête, que c'est totalement contreproductif), le film lie son parcours à la renaissance de la ville de New York, et chope quelque chose de la parfaite adéquation entre l'homme et son cadre, spatial comme temporel. J'ai été captivé.
Flow, le chat qui n’avait plus peur de l’eau (30/10/2024) (Zilbalodis) 7,5
Beaucoup de pureté dans ce petit film, qui fait une entière confiance au langage cinématographique pour susciter rires, frissons, larmes et distiller ses modestes leçons de vie. L'animation n'est pas parfaite, c'est sûr, mais c'est très beau.
Anora (30/10/2024) (Baker) 6,5
J'ai passé un bon tiers à me dire que j'étais devenu trop vieux pour ces conneries... et puis à partir du mariage (et de l'arrivée de Youri Borissov), j'ai été emporté par l'énergie de drôlerie et de tristesse mêlées. J'ai donc passé un bon moment, même si la Palme d'Or me semble excessive pour ce que c'est.
Here – Les plus belles années de notre vie (06/11/2024) (Zemeckis) 5,5
Robert Zemeckis reste un inventeur de formes, mais le dispositif constitue une grande partie de l'intérêt du film (parce que sinon...) comme sa principale limite.
Heretic (27/11/2024) (Beck & Woods) 4
J'ai été un temps amusé par le discours sur les religions, porté par l'espièglerie d'Hugh Grant, mais c'est beaucoup de poudre de perlimpinpin pour cacher la vacuité du fond et l'incurie de la forme.
Conclave (04/12/2024) (Berger) 5,5
Le film a l'habileté de soulever de passionnantes questions théologiques sous les habits du thriller. Sa principale faiblesse reste sa structure (l'élimination successive des candidats menant on sait très vite où), d'autant que son ultime rebondissement est un peu grotesque.
Vingt dieux (11/12/2024) (Courvoisier) 6,5
Louise Courvoisier serait la fille de Bruno Dumont et de Ken Loach ayant déménagé en Franche-Comté. Elle déploie une belle énergie pour insuffler de la légèreté et de la sensibilité à un cadre socialement pesant, quitte à ce que l'écriture cède à quelques facilités.
Me, I don't talk much... I just cut the hair


- douane eddy
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2024
Sans jamais nous connaître (Andrew Haigh) : 7,5 / 10
My sunshine (Hiroshi Okuyama) : 7 / 10
Conclave (Edward Berger) : 7 / 10
Anzu, chat-fantôme (Yôko Kuno, Nobuhiro Yamashita) : 6,5 / 10
Vingt dieux (Louise Courvoisier) : 6,5 / 10
La plus précieuse des marchandises (Michel Hazanavicius) : 6 / 10
Grand tour (Miguel Gomes) : 6 / 10
Sarah Bernhardt, la divine (Guillaume Nicloux) : 5 / 10
Oh, Canada (Paul Shrader) : 5 / 10
Le seigneur des anneaux : La guerre des Rohirrim (Kenji Kamiyama) : 4 / 10
Heretic (Scott Beck, Bryan Woods) : 3,5 / 10
Venom : The last dance (Kelly Marcel) : 3 / 10
My sunshine (Hiroshi Okuyama) : 7 / 10
Conclave (Edward Berger) : 7 / 10
Anzu, chat-fantôme (Yôko Kuno, Nobuhiro Yamashita) : 6,5 / 10
Vingt dieux (Louise Courvoisier) : 6,5 / 10
La plus précieuse des marchandises (Michel Hazanavicius) : 6 / 10
Grand tour (Miguel Gomes) : 6 / 10
Sarah Bernhardt, la divine (Guillaume Nicloux) : 5 / 10
Oh, Canada (Paul Shrader) : 5 / 10
Le seigneur des anneaux : La guerre des Rohirrim (Kenji Kamiyama) : 4 / 10
Heretic (Scott Beck, Bryan Woods) : 3,5 / 10
Venom : The last dance (Kelly Marcel) : 3 / 10
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2024
-Red one:
Comme beaucoup de film sf ou fantastiques toujours ces mêmes décors numériques hideux, mais un bestiaire réussi et une intrigue qui fonctionne assez bien si on aime comme moi l'esprit de noël, franchement on a vu bien pire ces dernières années avec Dwayne Johnson.
5,5/10
Comme beaucoup de film sf ou fantastiques toujours ces mêmes décors numériques hideux, mais un bestiaire réussi et une intrigue qui fonctionne assez bien si on aime comme moi l'esprit de noël, franchement on a vu bien pire ces dernières années avec Dwayne Johnson.
5,5/10
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2024
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2024
Sans aller jusqu’à dire que j’ai été agréablement surpris, comme tu dis on a vu pire. 1er bon point, comparé à d’autres productions à grand spectacle, ça ne dégouline pas trop de CGI, le film ayant même recours au détour d’une séquence dans le repaire de lord Krampus à de très chouettes maquillages à l’ancienne. Autre atout, et non des moindres, la présence de Chris Evans qui face au monolithe Dwayne Johnson, sans surprise cantonné à un rôle de distributeur de bourre-pifs peu expressif, rend ce Red One beaucoup plus supportable à regarder. Enfin, s’il ne révolutionnera pas le petit monde des films de Noël, j’ai trouvé que le long-métrage proposait ici & là quelques idées vraiment sympas concernant la tournée de Santa Claus autour du globe. Du coup, même note qu’Addis et Magik.Addis-Abeba a écrit : ↑1 janv. 25, 17:32 -Red one:
Comme beaucoup de film sf ou fantastiques toujours ces mêmes décors numériques hideux, mais un bestiaire réussi et une intrigue qui fonctionne assez bien si on aime comme moi l'esprit de noël, franchement on a vu bien pire ces dernières années avec Dwayne Johnson.
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Re: Classement des sorties Cinéma/VOD 2024
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« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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