G.T.O a écrit : ↑28 oct. 24, 11:19Beetlejuice Beetlejuice 2/10
Film de fossoyeur au carré. RIP Burton !
The Substance 3/10
Entre la grammaire de Fight Club et la fable sur la plasticité du corps à la Society, par l'une des cancres marchant dans les pas de l'exécrable Titane. Attention, film con.
The Wild Robot 4/10
Morale VS esthétique: 2/1; Chris Sanders nous avait habitué à mieux.
Encore et toujours la fête du cinéma chez G.T.O.
J’attends pour parfaire ce joli marathon ciné, de découvrir l’opus magnum de Coppola.
Le Robot Sauvage - Chris Sanders : 7/10 La petite vadrouille – Bruno Podalydès : 6/10 Le Deuxième acte - Quentin Dupieux : 6/10 Speak no Evil – James Watkins : 6/10 Caddo lake – Celine Held et Logan George : 6/10 Kaizen, 1 an pour gravir l’Everest : 5/10 Wolfs – John Watts : 4/10 Marcello mio - Christophe Honoré : 4/10 La salle de profs – Ilker çatak : 4/10 Mother Land – Alexandre Aja : 4/10 Beetlejuice Beetlejuice - Tim Burton : 3/10 The Killer (2024) - John Woo : 3/10 Deadpool & Wolverine – Tim Miller : 2/10
L'ombre rebelle (The Shadow Strays) (Netflix) :7/10
Comme a son habitude Timo Tjahjanto est généreux, trop généreux parfois surtout sur la durée qui est sa plus mauvaise habitude, c'est comme tout le temps ultra généreux et baston en tout genre, en sang qui gicle en grosses gerbes sur la caméra. Le scénario n'est qu'un pretexte a 2h20 de baston non stop. Mais alors qu'est ce que c'est bon.
« Quand des hommes, même s’ils s’ignorent, doivent se retrouver un jour, tout peut arriver à chacun d’entre eux, et ils peuvent suivre des chemins divergents, au jour dit, inexorablement, ils seront réunis dans le cercle rouge. »
Chroniques Chinoises (Lou Ye) : 5/10
- Histoire de deux évènements exceptionnelles : celui de la découverte dans un disque-dur interne d'un film inachevé, genre film d'amour interdit dans la Chine des années 2010, et l'arrivée d'une chose invisible mais qui rend les corps HS, le Covid-19, dans la région du Wuhan. Lou Ye utilise des dispositifs formels dans un maelstrom qui manque étrangement de trouble, là ou il avait matière à créer un Tiers-Cinéma dans sa recherche formaliste et narrative. On se retrouve donc à être autant embarqué dans une aventure et désarmer par une structure trop théorique. En fait, Lou Ye, geste de cinéma noble, mais autant y aller brut , c'est-à-dire oublier le récit et faire un cinéma poétique et politique ... ce qui n'est pas complètement le cas.
L'ombre rebelle (The Shadow Strays) (Netflix) :7/10
Comme a son habitude Timo Tjahjanto est généreux, trop généreux parfois surtout sur la durée qui est sa plus mauvaise habitude, c'est comme tout le temps ultra généreux et baston en tout genre, en sang qui gicle en grosses gerbes sur la caméra. Le scénario n'est qu'un pretexte a 2h20 de baston non stop. Mais alors qu'est ce que c'est bon.
Je viens de voir d'ailleurs que les deux films qui me manque en plus de celui-là (The big 4, May The Devil Take You) sont aussi sur Netflix
J'avais du linge à plier et l'envie de regarder quelque chose de facile, mais je ne sais pas comment j'ai atterri sur ça.
C'est absolument fascinant de nullité. Pourtant le début se tient plutôt correctement, mais la suite du film est bouleversante de connerie. Le film a eu beau faire 2 millions d'entrées, je ne sais même pas à qui il peut s'adresser à part des plus de 65 ans qui votent à droite. (ce qui doit bien faire 2 millions de personnes).
C'est presque un cas d'école et je recommanderai presque de voir ce film tellement il atteint les abysses de la nullité.
Joshua Baskin a écrit : ↑29 oct. 24, 16:47Cocorico : 2/10
J'avais du linge à plier et l'envie de regarder quelque chose de facile, mais je ne sais pas comment j'ai atterri sur ça.
C'est absolument fascinant de nullité. Pourtant le début se tient plutôt correctement, mais la suite du film est bouleversante de connerie. Le film a eu beau faire 2 millions d'entrées, je ne sais même pas à qui il peut s'adresser à part des plus de 65 ans qui votent à droite. (ce qui doit bien faire 2 millions de personnes).
C'est presque un cas d'école et je recommanderai presque de voir ce film tellement il atteint les abysses de la nullité.
Est ce que c'est pire que Mystere a Saint Tropez ?
« Quand des hommes, même s’ils s’ignorent, doivent se retrouver un jour, tout peut arriver à chacun d’entre eux, et ils peuvent suivre des chemins divergents, au jour dit, inexorablement, ils seront réunis dans le cercle rouge. »