La série "Alien" (1979-1997)

[Dunn]

Enfin vu ce Romulus.
Alors q
J'ai lu tous vos avis après avoir vu ce film.
Je partage certains reproches (manque d'originalité piochant dans de nombreux opus, les persos aux caractères peu luisants, Ash bis etc..) et pourtant j'ai beaucoup aimé.
J'ai été pris par le suspense ( je me suis surpris plusieurs fois à faire des bonds et m'exclamer ma surprise ), par le caractère design absolument sublime et par tout de même l'histoire.
Difficile de passer après les 4 films originaux et d'innover. Cela étant j'ai vraiment passer un très bon moment en plus d'une très bonne projection (son au top).
Hâte de le revoir en 4k hdr steelbook format ultime.
En revanche, je me demande d'où vienne tous ces aliens car ok y'a 36 facehuggers mais où sont et qui sont les hôtes ?
J'ai adoré le vaisseau aussi et sa gestion de l'espace. Le réalisateur a assuré pour ma part et je partais peu confiant.
Je mets un bon 7,5/10

[Shin Cyberlapinou]

https://www.theverge.com/2024/10/20/242 ... lease-date

HDR 4K et tutti quanti? Peuh! L'avenir c'est la VHS pan & scan.

[Fire walk with me]

https://www.theverge.com/2024/10/20/242 ... lease-date

HDR 4K et tutti quanti? Peuh! L'avenir c'est la VHS pan & scan.

Et je fais quoi de mon lecteur Betamax ?

[Mosin-Nagant]

Je pense qu'on est sur un niveau ultime de troll. Le meilleur visuel (Matt Furgeson oblige) pour la sortie vidéo de ce film se trouve être réservé à une VHS... Quelle époque sensas !

[Dunn]

Prix de cette blague?

[odelay]

80 millions de dollars.

[Fire walk with me]

80 millions de dollars.

Ca fait cher la VHS quand même.

[Dunn]

J'en prendrai pour 1 dollar !

[shubby]

Enfin vu ce Alien Cubitus. Une bonne grosse daube pour ma part. Dans l'espace, personne ne vous entendra déféquer en apesanteur chantait Calogero. Le film n'a rien à raconter et le raconte mal. Les persos sont nuls et mal joués, les concepts, nouveaux ou recyclés au sein d'un scénario inexistant s'enchaînent sans liant ni enjeu... Après un remake d'Evil Dead que j'avais déjà trouvé passablement piteux, Alvarez persiste et signe dans le registre du Grand Rien. Voila à ce jour le pire film de la franchise et de loin. Faut dire, d'emblée la faute de raccord énaurme sur la tête de la héroïne qui se lève de son lit donne le ton : la médiocrité sera de mise. Gros plan sur sa tete penchée à droite, puis plan rapprochée paf à gauche. On s'en fout, ça passe, plan suivant hop. Un des pires sous Alien ever, une vraie arnaque. Et c'est d'une bêtise stratosphérique ! Dire du mal, globalement j'aime pas, mais là pas de pitié, c'est ni fait ni à faire et la note d'intention est évidente. Zéro prise de risque pour prise de pognon maximale. Ça marche, ils auraient tort de se priver. Après Sos fantômes 12, j'enchaîne les franchises moisies.

[Dunn]

Je te conseille l'excellent The Predator si tu ne l'as pas vu.

[Fire walk with me]

Je te conseille l'excellent The Predator si tu ne l'as pas vu.

Pour guider ainsi tes petits camarades, tu dois vraiment avoir le cœur sur la main et un poignard dans l'autre.

[shubby]

Je te conseille l'excellent The Predator si tu ne l'as pas vu.

La fin est naze, mais on trouve à manger dans çui-là, si.

[tchi-tcha]

Je trouve la note de shubby un poil sévère mais je suis globalement d'accord avec son ressenti : c'est de l'anti-Ridley Scott avec zéro prise de risques. Et comme shubby apprécie le furoncle Covenant, son rejet du dernier doudou Disney est parfaitement logique.

J'en profite néanmoins pour recaser ici une petite vanne dont je suis assez fier sur Romulus :
Le meilleur rôle de Ian Holm depuis son décès

[shubby]

Je trouve la note de shubby un poil sévère mais je suis globalement d'accord avec son ressenti : c'est de l'anti-Ridley Scott avec zéro prise de risques. Et comme shubby apprécie le furoncle Covenant, son rejet du dernier doudou Disney est parfaitement logique.

J'en profite néanmoins pour recaser ici une petite vanne dont je suis assez fier sur Romulus :
Le meilleur rôle de Ian Holm depuis son décès

Holm My God, la belle bleue.

Visionné juste après Prometheus, Covenant devient aussi jouissif et sadique que Cartel. Personnage central l'androïde, son évolution est fascinante. J'adore ce diptyque, yep. Et la planète décrite ds Covenant est super originale. Et Katherine Waterston que j'apprécie bcp.

[Demi-Lune]

Enfin vu ce Alien Cubitus. Une bonne grosse daube pour ma part. Dans l'espace, personne ne vous entendra déféquer en apesanteur chantait Calogero. Le film n'a rien à raconter et le raconte mal. Les persos sont nuls et mal joués, les concepts, nouveaux ou recyclés au sein d'un scénario inexistant s'enchaînent sans liant ni enjeu... Après un remake d'Evil Dead que j'avais déjà trouvé passablement piteux, Alvarez persiste et signe dans le registre du Grand Rien. Voila à ce jour le pire film de la franchise et de loin. Faut dire, d'emblée la faute de raccord énaurme sur la tête de la héroïne qui se lève de son lit donne le ton : la médiocrité sera de mise. Gros plan sur sa tete penchée à droite, puis plan rapprochée paf à gauche. On s'en fout, ça passe, plan suivant hop. Un des pires sous Alien ever, une vraie arnaque. Et c'est d'une bêtise stratosphérique ! Dire du mal, globalement j'aime pas, mais là pas de pitié, c'est ni fait ni à faire et la note d'intention est évidente. Zéro prise de risque pour prise de pognon maximale. Ça marche, ils auraient tort de se priver. Après Sos fantômes 12, j'enchaîne les franchises moisies.

Pas mieux. Vu hier soir et c'est fascinant à quel point il ne m'en reste déjà rien, si ce n'est mes moments de consternation et de colère face au fan-service éhonté de ce bousin. Vraiment le degré terminal de l'absence de créativité et de cynisme hollywoodiens. Alors oui, c'est joliment emballé. Mais les efforts accomplis sur la direction artistique et les éclairages ne sauvent en aucun cas la nullité de ce casting ni le menu maxi best-of de la saga pour millenials TikTok. Truc qui m'a sauté aux yeux aussi, le delta entre les intentions respectueuses d'Alvarez vis-à-vis des constructions millimétrées des deux premiers épisodes, et le résultat. Revenir à une forme d'économie et de gestion du tempo très patient, en apnée, pour monter en pression peu à peu... pour finalement délivrer un machin sursaturé de péripéties pour pas que les djeuns s'ennuient, où les plans ne s'attardent jamais vraiment sur rien, et donc ne créent rien qui dépasse le stade illustratif. Une atmosphère purement artificielle qui plaque le décorum du chef-d’œuvre de 1979 à la manière de JarJar Abrams sur Le réveil de la force, sans point de vue ni compréhension de ses ressorts psychanalytiques et sexuels originels, et des images qui s’enchaînent mécaniquement, incapables de déployer quoi que ce soit de l'ordre de l'angoisse, du mystère terrifiant de cette forme de vie extraterrestre, et de l'inextricabilité anxiogène de l'isolement spatial.
Poubelle.