Commentaires à propos de votre film du mois

[Lohmann]

2. Kairat (Darezhan Omirbaev)

Celui là je vais essayer de le voir lors de l’ouverture du cycle Omirbaev à la cinémathèque.

[nunu]

Je me dis on est en fin de mois, Killer Joe va rester mon film du mois de Septembre, mais une insomnie en a décidé autrement. Après avoir écouté Jesus was a Capricorn en hommage a Kris Kristofferson j'ai regardé celui qui va finir en tant que film du mois


1.RRR-S. S. Rajamouli 2022



J'avais trois heures devant moi et bien m'en a pris. Une grosse claque, toutes les chansons sont géniales, les scènes d'action sont folles pour la plupart.3

2. Killer Joe -William Friedkin

3. Pixote la Loi du plus Faible-Hector Babenco

[cinephage]

Bon, vu que ce soir, j'ai répète, je ne verrai plus de nouveau film. L'étrange Festival m'aura fait découvrir mes films du mois, même si j'ai vu plein d'autres choses passionnantes (et que le premier est depuis sorti en salle).

Mon film du mois de septembre sera donc Riverboom, de Claude Baechtold (2024).

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J'ai pris le temps en ces pages de dire tout le bien que je pense du film, de son style original, de son approche de son sujet à la fois instructive et ludique.

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En numéro deux, mon nouveau film préféré de Roger Corman, The Intruder (1962), celui dont l'échec commercial lui a fait admettre qu'il ne fallait pas mettre de politique ou de message dans un film, si on veut qu'il marche. Et pourtant, c'est un film d'une pertinence, d'une actualité redoutable, que j'ai découvert avec saisissement.

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Escape From the 21st Century / Cong 21 Shi Ji an Quan Che Li, de Li Yang (2024) est un film chinois de SF pop, inspiré par l'animation japonaise et hyper-rythmé, dont le style ne plaira pas à tout le monde. Pourtant, sous couvert de SF (ça se passe sur un autre monde, donc rien à voir avec le notre, bien sur), qui aurait pensé voir, dans un film chinois un jeune homme en colère détruire les bureaux d'une entreprise dont les patrons l'exploitent, sous l'air tonitruant de Here's to you de Joan Baez ? Même le récit, dans lequel de riches contemporains veult tirer littéralement leur pouvoir actuel de l'exploitation des générations passées comporte un sous-texte qui vise la Chine contemporaine. Et le film est sacrément divertissement malgré tout. Une jolie découverte.

[Alibabass]

Bon, encore une fois, sa vie son œuvre : Chantal Akerman, avec Les Rendez-Vous avec Anna.

Surement la séance la plus troublante. Les plans d'une saisissante beauté des gares et des hôtels, droit carré et minimaliste. La mort rode souvent dans les chambres d’hôtels d'ailleurs. Chaque personnage est un microcosme de la cinéaste, ce qui fait que le trouble, venant de son suicide en 2015 arrive en pleine face à la fin, ou le répondeur répond en dernier face à une Anna marqué par l'obscurité. Et pourtant, le film possède plein de vie (la séquence avec sa mère). Une errance hors du temps.

[Jack Carter]

Dans ta gueule le Jack



La Poupée brisée (Kôzaburô Yoshimura, 1963)

[MJ]

2. Kairat (Darezhan Omirbaev)

Celui là je vais essayer de le voir lors de l’ouverture du cycle Omirbaev à la cinémathèque.

Vu sur YT - sans s-ts si ma mémoire ne me trompe pas... connaissant une autre langue slave, les dialogues se devinaient (il y en a bien peu, de tt façon). D'une pureté assez saisissante, je devrais m'intéresser à sa filmo de manière plus exhaustive. N'hésite donc pas à récapituler si tu en vois plusieurs à la Thèque!

[Lohmann]

Celui là je vais essayer de le voir lors de l’ouverture du cycle Omirbaev à la cinémathèque.

Vu sur YT - sans s-ts si ma mémoire ne me trompe pas... connaissant une autre langue slave, les dialogues se devinaient (il y en a bien peu, de tt façon). D'une pureté assez saisissante, je devrais m'intéresser à sa filmo de manière plus exhaustive. N'hésite donc pas à récapituler si tu en vois plusieurs à la Thèque!

Je voudrai mais pas sûr de réussir à en caser plusieurs. Les dialogues sont donc uniquement en russe et pas du tout en ouzbek ?

[Thaddeus]

** Han vazy les pseudo-cinéphiles qui regardent des films-ouzbèks-de-quatre-heures-en-noir-et-blanc-non-sous-titrés ** Kevin-985769

[Demi-Lune]

** Han vazy les pseudo-cinéphiles qui regardent des films-ouzbèks-de-quatre-heures-en-noir-et-blanc-non-sous-titrés ** Kevin-985769

C'est moche pour Kevin-95

[MJ]

Les dialogues sont donc uniquement en russe et pas du tout en ouzbek ?

Imdb ne signale que du kazakh (c'est pas en Ouzbékistan), de quoi je déduis que ça reste très russisé comme parler dans les faits.

[Lohmann]

Les dialogues sont donc uniquement en russe et pas du tout en ouzbek ?

Imdb ne signale que du kazakh (c'est pas en Ouzbékistan), de quoi je déduis que ça reste très russisé comme parler dans les faits.

Le kazakh vient du turc, ça ne parlait donc qu’en russe

[Jack Carter]

Le Top du mois de Septembre







La Poupée brisée (Kôzaburô Yoshimura, 1963)
Bona (Lino Brocka, 1980)
A son image (Thierry De Peretti, 2024)
Le Toit (Vittorio De Sica, 1956)

et





Rock Hudson's Home Movies (Mark Rappaport, 1992)
From the Journals of Jean Seberg (Mark Rappaport, 1995)
Debra Paget, for example (Mark Rappaport, 2016)

[-magik-]

Bilan du mois : 53 films vus, et un top dominé par une petite claque d'à peine 45 minutes.

1. FILM DU MOIS : Chime (Kiyoshi Kurosawa - 2024)



2. Tueurs de flics The Onion field (Harold Becker - 1980)



3. Police Python 357 (Alain Corneau - 1976)



4. Border Line La Llegada (Alejandro Rojas & Juan Sebastián Vasquez - 2024)



5. Le Prêteur sur gages The Pawnbroker (Sidney Lumet - 1965)



6. Kill (Nikhil Nagesh Bhat - 2024)



Et aussi, par ordre alphabétique :

L'Arme à l'œil Eye of the needle (Richard Marquand - 1981)
Beetlejuice Beetlejuice (Tim Burton - 2024)
Horizon : une saga américaine, chapitre 1 Horizon : an american saga – Chapter 1 (Kevin Costner - 2024)
La Porte du diable Devil's doorway (Anthony Mann - 1950)
Première Affaire (Victoria Musiedlak - 2024)
Le Prix de l'exploit American flyers (John Badham - 1987)
Le Tableau volé (Pascal Bonitzer - 2024)
Une affaire de principe (Antoine Raimbault - 2024)

[Lohmann]

Septembre 2024

1. Juvenile Court (Frederick Wiseman, 1973)


2. News from Home (Chantal Akerman, 1977)


3. Yojimbo (Akira Kurosawa, 1961)


4. Entre le ciel et l'enfer (Akira Kurosawa, 1963)


5. De la veine à revendre (Andrzej Munk, 1960)

[Jeremy Fox]

32 films dont voici le quarté gagnant











Résumé

* Air Force : Howard Hawks 1943 : 8/10
* La Rivière Rouge (Red River) : Howard Hawks 1948 : 8/10
* La Prisonnière : Henri-Georges Clouzot 1968 : 8/10
* En corps : Cedric Klapisch 2022 : 8/10
* Les Passagers de la nuit : Mikhaël Hers 2022 : 8/10
* Hors-saison : Stéphane Brizé 2024 : 8/10

* Papillon : Franklin J. Schaffner 1973 : 7.5/10
* Une étrange affaire : Pierre Granier-Deferre 1981 : 7.5/10

* La Veuve Couderc : Pierre Granier-Deferre 1971 : 7/10
* Omar Gatlato : Merzak Allouache 1977 : 7/10
* Une femme libre (An Unmarried Woman) : Paul Mazursky 1978 : 7/10

* Rafles sur la ville : Pierre Chenal 1957 : 6.5/10
* Le Saut de l'ange : Yves Boisset 1971 : 6.5/10
* Le Gitan : José Giovanni 1975 : 6.5/10
* L'amour nu : Yannick Bellon 1981 : 6.5/10
* Pour la peau d'un flic : Alain Delon 1981 : 6.5/10
* La Fiancée qui venait du froid : Charles Nemes 1983 : 6.5/10
* The Sweet East : Sean Price Williams 2024 : 6.5/10

* Elena et les hommes : Jean Renoir 1956 : 6/10
* Le Battant : Alain Delon 1982 : 6/10
* Tout simplement noir : Jean-Pascal Zadi & John Wax 2020 : 6/10

* Spécial Police : Michel Vianey 1985 : 5.5/10
* Flag : Jacques Santi 1987 : 5.5/10

* L'étoile du Nord : Pierre Granier-Deferre 1982 : 5.5/10
* L'union sacrée : Alexandre Arcady 1989 : 5/10
* Los Delicuentes : Rodrigo Moreno 2024 : 5/10
* Dans la peau de Blanche Houellebecq : Guillaume Nicloux 2024 : 5/10

* Ho! Robert Enrico 1968 : 4.5/10

* Le Tueur : Denys de la Patellière 1972 : 3.5/10
* Feux Rouges : Cedric Kahn 2004 : 3.5/10

* Effraction : Daniel Duval 1983 : 3/10

* Jusqu'au bout du monde (The Dead Don't Hurt) : Viggo Mortensen 2024 : 2.5/10