THE MUTATIONS - Jack Cardiff (1974) : 7/10 002 OPERAZIONE LUNA - Lucio Fulci (1965) : Franco & Ciccio/10 X - Ti West (2022) : 7/10 NEL NOME DEL PADRE - Marco Bellocchio (1972) : 8/10 RETOUR EN FORCE - Jean-Marie Poiré (1980) : 7/10 PEARL - Ti West (2022) : 7.5/10 JEANNE DIELMAN, 23 QUAI DU COMMERCE, 1080 BRUXELLES - Chantal Akerman (1975) : 9.5/10 NATIONAL LAMPOON'S CHRISTMAS VACATION - Jeremiah S. Chechik (1989) : 6.5/10 MAXXXINE - Ti West (2024) : Hollywood Night/10 OUT OF ROSENHEIM - Percy Adlon (1987) : 6.5/10 THE GLASS KEY - Stuart Heisler (1942) : 7.5/10 VEGAS VACATION - Stephen Kessler (1997) : 5.5/10 THX 1138 - George Lucas (1971) : 8.5/10 ANDREA CHÉNIER - Clemente Fracassi (1955) : 6/10 JEFF PANACLOC : À LA POURSUITE DE JEAN-MARC - Pierre-François Martin-Laval (2023) : 3/10 PINK FLAMINGOS - John Waters (1972) : Filthy/10 THE SURVIVOR - David Hemmings (1981) : 7/10 DOGMAN - Matteo Garrone (2018) : 8/10 CRONACA DI UN AMORE - Michelangelo Antonioni (1950) : 8/10 CEMETERY HIGH - Gorman Bechard (1988) : 5/10 POISON - Todd Haynes (1991) : 7.5/10 SIDEWALK STORIES - Charles Lane (1989) : 7.5/10 L'HOMME DE MYKONOS - René Gainville (1966) : 6/10 GODZILLA - Gareth Edwards (2014) : 7/10 LE JOUR D'APRÈS - Hong Sang-soo (2017) : 6.5/10 LISA FRANKENSTEIN - Zelda Williams (2024) : 4.5/10 CHRISTINE - Pierre Gaspard-Huit (1958) : 6.5/10 TENDER COMRADE - Edward Dmytryk (1943) : 7/10 THE AMERICANS / Saison 06 - Chris Long, Matthew Rhys, Daniel Attias, Roxann Dawson, Thomas Schlamme, Kevin Bray, Stefan Schwartz, Sylvain White (2018) : 8.5/10 KONG : SKULL ISLAND - Jordan Vogt-Roberts (2017) : 6.5/10 TEENAGE DOLL - Roger Corman (1957) : 6/10 THINNER - Tom Holland (1996) : 6/10 PARADIS PERDU - Abel Gance (1939) : 8.5/10 GODZILLA : KING OF THE MONSTERS - Michael Dougherty (2019) : 5.5/10 RABBIT-PROOF FENCE - Phillip Noyce (2002) : 7.5/10 FEMALE TROUBLE - John Waters (1974) : 8/10 ONE DARK NIGHT - Tom McLoughlin (1982) : 6/10 WEST COAST - Benjamin Weill (2016) : 5/10
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
Kevin95 a écrit : ↑2 sept. 24, 10:34
En bonus, mention spéciale pour la dernière saison (et plus globalement la série) sinistre mais prenante de The Americans.
Dans le top 10 des meilleures séries.
L'élite de ce pays permet de faire et défaire les modes, suivant la maxime qui proclame : « Je pense, donc tu suis. » Pierre Desproges Ma Collection - Mon Planning Achats
cinephage a écrit : ↑2 sept. 24, 11:25FILMS DECOUVERTS: Et là-bas, quelle heure est-il ? de Tsai Ming-Liang (2001) 7,5/10 - Malgré ses lenteurs, le film interroge sur la transmission, les correspondances, la mort et les fantômes. Et surtout, comme son titre l'indique, le temps. Je craignais l'ennui, mais je me suis pris au jeu.
J'ai vu Days, le dernier.
Je craignais l'ennui, je l'ai eu.
Mais j'ai bien aimé Tsai Ming liang, jadis et avAit loupé celui dont tu parles, je crois..
Dernière modification par Alexandre Angel le 2 sept. 24, 16:35, modifié 1 fois.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
cinephage a écrit : ↑2 sept. 24, 11:25FILMS DECOUVERTS: Et là-bas, quelle heure est-il ? de Tsai Ming-Liang (2001) 7,5/10 - Malgré ses lenteurs, le film interroge sur la transmission, les correspondances, la mort et les fantômes. Et surtout, comme son titre l'indique, le temps. Je craignais l'ennui, mais je me suis pris au jeu.
J'ai vu Days, le dernier.
Je craignais l'ennui, je l'ai eu.
Mais j'ai bien aimé Tsai Ming liang, jadis et avAit loupé celui dont tu parles, je crois..
Moi c'est un peu l'inverse, j'y vais prudemment, mais de temps en temps je tombe sur un truc qui me plait, comme ici... La saveur de la pastèque a fait forte impression autour de moi, aussi...
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
De Tsai Ming-Liang je vous conseil la trilogie Walker, dont une analyse est disponible dans Marcher au cinéma, lignes d'existences de Corinne Maury. C'est bluffant, hypnotique, et ça va au-delà du cinéma.
Virtuosité technique de dingue, géniale utilisation de la couleur, la découverte de Elisabeth Wiener (aussi belle que talentueuse) et une réflexion passionnante sur le voyeurisme, la perversion, le mal... en même temps qu'une lyrique histoire d'amour avec l'utilisation aussi splendide de Malher que le fera Visconti 3 ans plus tard. Encore un immense Clouzot et un gros coup de cœur qui entre dans mon top 100 cinéma français.
Kevin95 a écrit : ↑2 sept. 24, 10:34
En bonus, mention spéciale pour la dernière saison (et plus globalement la série) sinistre mais prenante de The Americans.
Dans le top 10 des meilleures séries.
Peut etre pas Top 10 mais pas loin en tout cas. Une série qui monte en puissance au fil du temps. je me souviens avoir tenté a l'époque de la diffusion sans avoir accroché plus que ca et quand je m'y suis remis j'ai avalé les 5 saisons a la suite. Incroyable sensation d'etre happé dans quelque chose. Je crois qu'en DVD il n'est sorti en France que les deux premières saisons (en tout cas j'ai jamais trouvé plus loin)
« Quand des hommes, même s’ils s’ignorent, doivent se retrouver un jour, tout peut arriver à chacun d’entre eux, et ils peuvent suivre des chemins divergents, au jour dit, inexorablement, ils seront réunis dans le cercle rouge. »
Charles Aznavour, David Bowie et tant d'autres accompagnent cette famille québécoise des années 60 à 80. C'est drôle, pertinent, émouvant.
Le film est diffusé actuellement sur Ciné+ Festival, je le recommande vivement.
Enorme coup de coeur.
Flavia a écrit : ↑9 sept. 24, 16:22
Charles Aznavour, David Bowie et tant d'autres accompagnent cette famille québécoise des années 60 à 80. C'est drôle, pertinent, émouvant.
Le film est diffusé actuellement sur Ciné+ Festival, je le recommande vivement.
Enorme coup de coeur.