Commentaires à propos de votre film du mois

[MJ]

3. Ghost Dog, la voie du samouraï (Jim Jarmusch, 1999)

Son plus beau film, je trouve.
Quelle B.O... en plus de donner d'excellentes idées de lectures.

[John Holden]

Janvier 2024 :

Gioventù perduta - Pietro Germi (1948)



Nueve Reinas - Fabián Bielinsky (2000)



Le Capitaine Fracasse - Abel Gance (1943)



Dekalog, cztery - Krzysztof Kieslowski (1988)



Wives Under Suspicion - James Whale (1932)

[Ender]

Films du mois de janvier :



1. The Love Eterne • Li Han-hsiang (1963)

Sa séquence musicale centrale, la voir pour la croire.



2. La Rose de Pushui aka Romance of the Western Chamber • Hou Yao (1927)

Cinq des dix bobines de ce film sont miraculeusement préservées ; l'autre miracle, c'est sa lumière d'aurore, sa fraicheur de matin du cinéma.



3. Grey Gardens • David & Albert Maysles (1975)

Le voir pour le croire, 2 : le réalisme gothique.



4. Et vogue le navire • Federico Fellini, 1983

Pina Bausch présente à l'enterrement du cinéma italien : preuve de plus qu'il était beau.



5. Suzhou River • Lou Ye, 2000

Maniéré. Je ne sais pas résister aux variations Vertigo.

[Lohmann]

3. Ghost Dog, la voie du samouraï (Jim Jarmusch, 1999)

Son plus beau film, je trouve.
Quelle B.O... en plus de donner d'excellentes idées de lectures.

Je continue à lui préférer Paterson, dont je n'attendais d'ailleurs pas qu'il communiquent autant avec Ghost Dog. J'avais beaucoup aimé Dead Man à sa sortie, jamais revu depuis, je me demande si je l'apprécierai toujours autant...

[origan42]

Gioventù perduta - Pietro Germi (1948)

[Kevin95]

Les découvertes de janvier...

IL TERRORISTA - Gianfranco De Bosio (1963)



CE SOIR OU JAMAIS - Michel Deville (1961)



SMOG - Franco Rossi (1962)



STAR TREK VI : THE UNDISCOVERED COUNTRY - Nicholas Meyer (1991)



IT FOLLOWS - David Robert Mitchell (2014)



Le tout...

Spoiler (cliquez pour afficher)

Janvier 2024

Bonjour / Rediff / Bonus

WACO - R.G. Springsteen (1966) : 7.5/10
TAPIE - Tristan Séguéla (2023) : 8/10
THE VEILS OF BAGDAD - George Sherman (1953) : 5.5/10
ANIMAL CRACKERS - Victor Heerman (1930) : 8/10
UNIVERSAL SOLDIER : DAY OF RECKONING - John Hyams (2012) : 6.5/10
IL BIDONE - Federico Fellini (1955) : 8.5/10
YOU'RE NEXT - Adam Wingard (2011) : 4.5/10
PÊCHEUR D'ISLANDE - Jacques de Baroncelli (1924) : 7/10
CE SOIR OU JAMAIS - Michel Deville (1961) : 8/10
STAR TREK V : THE FINAL FRONTIER - William Shatner (1989) : 6.5/10
SMOG - Franco Rossi (1962) : 8/10
FAST X - Louis Leterrier (2023) : 4/10
MAX ET LES FERRAILLEURS - Claude Sautet (1971) : 9.5/10
LE CHEVALIER DE PARDAILLAN - Bernard Borderie (1962) : 6/10
HARDI PARDAILLAN ! - Bernard Borderie (1964) : 7/10
IL FEDERALE - Luciano Salce (1961) : 8/10
LES CHIENS - Alain Jessua (1979) : 8/10
SISU - Jalmari Helander (2022) : 4.5/10
MISSION : IMPOSSIBLE - DEAD RECKONING PART ONE - Christopher McQuarrie (2023) : 8/10
IL TERRORISTA - Gianfranco De Bosio (1963) : 8.5/10
SPY HARD - Rick Friedberg (1996) : Madeleine/10
L'HOMME EN COLÈRE - Claude Pinoteau (1979) : 6.5/10
STAR TREK VI : THE UNDISCOVERED COUNTRY - Nicholas Meyer (1991) : 8/10
LA VENDETTA DI AQUILA NERA - Riccardo Freda (1951) : 7/10
BAD DAY AT BLACK ROCK - John Sturges (1955) : 9.5/10
NÉS EN 68 - Olivier Ducastel & Jacques Martineau (2008) : 4.5/10
GRADUATION DAY - Herb Freed (1981) : 5.5/10
LES TROIS FRÈRES, LE RETOUR - Didier Bourdon, Bernard Campan & Pascal Légitimus (2014) : 5.5/10
IT FOLLOWS - David Robert Mitchell (2014) : 8/10
LES ÉGOUTS DU PARADIS - José Giovanni (1979) : 7/10
WORLD WAR Z - Marc Forster (2013) : 5/10
DODGE CITY - Michael Curtiz (1939) : 8/10
DEATH IN BRUNSWICK - John Ruane (1990) : 7.5/10
A STAR IS BORN - Bradley Cooper (2018) : 6/10
MIA MADRE - Nanni Moretti (2015) : 8/10
BLOW-UP - Michelangelo Antonioni (1966) : 10/10
SHAZAM ! FURY OF THE GODS - David F. Sandberg (2023) : 3/10

[Profondo Rosso]

En réponse à Vic qui avait mis Comrade Almost a love story de Peter Chan en film du mois et dont j'ai effacé le post par inadvertance

Vraiment un des mélos hongkongais ultime, Maggie Cheung sublime dedans, et d'ailleurs si tu veux la voir dans une sorte de rôle jumeau et miroir de celui-là il y a un très beau film antérieur A Fishy Story qui offre aussi un mélo flamboyant sur fond de migration, d'exil et d'identité chinoise. Et en mélo 90's ultime de cette période Tempting Heart de Sylvia Chang est à voir absolument aussi !

[Jeremy Fox]

Comment ai-je pu passer à côté d'une telle merveille ! A ranger aux côtés de Les Enfants des autres de Rebecca Zlotowski ou Pupille de Jeanne Herry, tout aussi réussi que ces deux titres ayant été un peu plus mis en lumière : un film bouleversant sur le thème des familles d'accueil et la difficulté ensuite de devoir se séparer de l'enfant qui a passé toute sa prime enfance au sein de ce foyer. La direction d'acteurs est magnifique, que ce soit avec les trois enfants étonnants de naturels qu'avec le couple constitué par Mélanie Thierry (qui ne pourra pas ne pas vous faire verser des larmes durant les 10 dernières minutes) et un inoubliable Lyes Salem. Belle mise en scène, photographie lumineuse et musique aussi touchante que le récit.




Je m'en vais visionner le premier film de Gorgeart la semaine prochaine qui a d'aussi bons retours

[Beule]

En réponse à Vic qui avait mis Comrade Almost a love story de Peter Chan en film du mois et dont j'ai effacé le post par inadvertance

Déjà qu'il n'est plus guère présent, le Viking, si tu lui supprimes ses interventions mensuelles...

De mémoire, car j'ai eu le temps de voir son post, il y avait le Peter Chan loin devant L'innocence(à moins que ce soit Les Bonnes étoiles ? ) et There's Always Tomorrow (mais qu'il avait probablement déjà vu, lui-même ne sait plus trop). Et un autre titre intercalé, mais pour celui-là, plus moyen de m'en souvenir.
Voilà, et Vic clamait même son amour (pour le moins inattendu) d'un soir pour Teresa Teng.

Donc cadeau, rien que pour Vic :

[Jeremy Fox]

IT FOLLOWS - David Robert Mitchell (2014)

Bienvenue au club Et c'est un non-amateur de fantastique/horreur qui te dit ça

[Alexandre Angel]

Comment ai-je pu passer à côté d'une telle merveille ! A ranger aux côtés de Les Enfants des autres de Rebecca Zlotowski ou Pupille de Jeanne Herry, tout aussi réussi que ces deux titres ayant été un peu plus mis en lumière : un film bouleversant sur le thème des familles d'accueil et la difficulté ensuite de devoir se séparer de l'enfant qui a passé toute sa prime enfance au sein de ce foyer. La direction d'acteurs est magnifique, que ce soit avec les trois enfants étonnants de naturels qu'avec le couple constitué par Mélanie Thierry (qui ne pourra pas ne pas vous faire verser des larmes durant les 10 dernières minutes) et un inoubliable Lyes Salem. Belle mise en scène, photographie lumineuse et musique aussi touchante que le récit.




Je m'en vais visionner le premier film de Gorgeart la semaine prochaine qui a d'aussi bons retours

J'ai fini par remarquer (ça fait quand même un bon bout de temps) que tu cultives un engouement tout particulier pour une certaine tendance contemporaine du cinéma français qui tourne autour des déchirures de la famille, du couple, de la rupture des liens affectifs, tous pourvus d'une certaine intensité émotionnelle.
Un corpus français "Jeremy Fox approved" est dans la place. Me trompe-je ?

[Jeremy Fox]

Comment ai-je pu passer à côté d'une telle merveille ! A ranger aux côtés de Les Enfants des autres de Rebecca Zlotowski ou Pupille de Jeanne Herry, tout aussi réussi que ces deux titres ayant été un peu plus mis en lumière : un film bouleversant sur le thème des familles d'accueil et la difficulté ensuite de devoir se séparer de l'enfant qui a passé toute sa prime enfance au sein de ce foyer. La direction d'acteurs est magnifique, que ce soit avec les trois enfants étonnants de naturels qu'avec le couple constitué par Mélanie Thierry (qui ne pourra pas ne pas vous faire verser des larmes durant les 10 dernières minutes) et un inoubliable Lyes Salem. Belle mise en scène, photographie lumineuse et musique aussi touchante que le récit.




Je m'en vais visionner le premier film de Gorgeart la semaine prochaine qui a d'aussi bons retours

J'ai fini par remarquer (ça fait quand même un bon bout de temps) que tu cultives un engouement tout particulier pour une certaine tendance contemporaine du cinéma français qui tourne autour des déchirures de la famille, du couple, de la rupture des liens affectifs, tous pourvus d'une certaine intensité émotionnelle.
Un corpus français "Jeremy Fox approved" est dans la place. Me trompe-je ?

Pas faux : mais j'ai de tout temps été assez attiré par ces thématiques finalement toutes simples ; c'est pour ça que, aussi dans notre cinéma même plus ancien (les Grangier adaptés de Simenon par exemple), les films de Ozu, Kore-Eda et bien d'autres me touchent beaucoup. Mais cependant, je suis loin de tout apprécier ; encore faut-il que je trouve que la mise en scène, l'interprétation et le scénario soient à la hauteur. En fait oui ; j'aime assez le cinéma qui nous parle de la (notre) vie de tous les jours alors que beaucoup s'en éloignent parce que ça ne les fait pas assez rêver.

[cinéfile]

TOP JANVIER 2024

DECOUVERTES :


La Femme au portrait (Lang, 1944)


House by the river (Lang, 1950)


Adosados (Camus, 1996)


Une Affaire privée (Nicloux, 2001)


Los desafios (Erice/Guerín/Egea, 1968)


LE COURT DU MOIS :


La République (Pariser, 2009)


LE MAUVAIS (MAIS RIGOLO) FILM DU MOIS :


Brocéliande (Headline, 2003)

[manuma]

2 films et 2 séries dans mon top de janvier :

1. KAIBUTSU - Hirokazu Kore-eda (2023)


2. JUSTIFIED: CITY PRIMEVAL / Saison 1 - Michael Dinner, Jon Avnet, Gwyneth Horder-Payton, Kevin Rodney Sullivan, Sylvain White, Katrelle N. Kindred TV)(2023)


3. FARGO / Saison 3 - Noah Hawley, Michael Uppendahl, John Cameron, Dearbhla Walsh, Mike Barker, Keith Gordon (TV)(2017)


4. CRIMEN - Mario Camerini (1960)

[vic]

Bah, donc, à la demande générale...

Le Film du mois (janvier 2024) est bien Comerades: almost a love story de Peter Chan (1996). Vu le samedi 13, au petit matin, après à peine quelques heures de sommeil, réveillé par je ne sais plus quelle connerie. D'où le sentiment de rêve éveillé que j'évoquais dans un post qui n'existe pas.
Mais c'est le film lui-même qui m'a mit peu à peu dans un état second avec son final à la fois mélancolique et échevelé, et m'a laissé euphorique devant ce qui m'apparut comme le mélo parfait, comme un idéal concrétisé. Que ça tienne ou pas lors d'une future vision m'a pas grande importance, c'était le bon film au bon moment. Je soulignais aussi, outre la performance enchanteresse de Maggie Cheung, la justesse de ton inattendue (pour moi, du moins) de Leon Lai et Eric Tsang. Quant à Terasa Teng, c'est surtout que j'ai enfin compris, et un peu partagé, l'engouement qu'elle suscite chez les chinois (mais pas que) de toutes les latitudes.
Je n'ai pas vu Tempting Heart, du moins le synopsis de j'ai trouvé n'évoque rien à ma mémoire. Et A fishy story m'avait laissé sur ma faim, surtout pas convaincu par Kenny Bee que je n'apprécie guère, de toute façon.

Donc, loin devant :
L'Innocence (Hirokazu Kore-eda, 2023), Pauvres mais beaux (Dino Risi, 1956), There's always tomorrow (Douglas Sirk, 1956) et Les Indociles (Pascal Arnold & Jean-Marc Barr, 2023).

Spoiler (cliquez pour afficher)

les indociles (pascal arnold & jean-marc barr, 2023) 7/10
the soong sisters (mabel cheung, 1997) 5/10
sign of the pagan (douglas sirk, 1954) 6/10
captain lightfoot (douglas sirk, 1955) 7/10
(re) full contact (ringo lam, 1992) 7/10
pauvres mais beaux (dino risi, 1956) 7.5/10
(re ?) there's always tomorrow (douglas sirk, 1956) 7/10
(re) all that heaven allows (douglas sirk, 1955) 8/10
comerades: almost a love story (peter chan, 1996) 9/10
(re) shinobu no shu (kazuo mori, 1970) 7/10
never say goodbye (jerry hopper, 1956) 5/10
(re) written on the wind (douglas sirk, 1956) 8/10
l'innocence (hirokazu kore-eda, 2023) 8/10
(re ?) les mystères de paris (andré hunebelle, 1962) 5/10