Vos découvertes naphtas 2023

[Thesix]

Moi je laisse tomber, je n'aurai jamais le temps de voir tout ça, surtout depuis que la retraite se carapate devant moi.

Et je déclare forfait pour les prochains quizz ; tout bien pesé, je crois bien que je n'ai aucune chance de gagner...

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[John Holden]

Alors je préviens tout de suite, j'ai bien dit par séquences.

[Jack Carter]

Alors je préviens tout de suite, j'ai bien dit par séquences.

[Père Jules]

Ajout d'un Borzage centenaire, The Valley of Silent Men (1922), qui contient en germe de nombreux éléments récurrents à son oeuvre, notamment cette force régénérative si singulière, s'exprimant ici au sein des massifs montagneux d'Alaska. Une mise en scène magnifiée par la photo expressive de l'opérateur attitré du réalisateur, Chester A.Lyons, donnant aux panoramas des cimes, un relief grandiose qui n'est pas sans évoquer, par séquences, L'Enfer blanc du Piz Palü de Pabst.

Je vois qu'on s'abreuve au même puits ; je viens tout juste de le récupérer.

[AtCloseRange]

Quelques films en vrac

Passions Juvéniles (Nakahira)
La Prison du Viol (Michael Miller)
Le Chagrin et La Pitié (Ophüls)
La Grande Lessive (Mocky)
Nothing But a Man (Roemer)
The Idle Class (Chaplin)
Le Pirate (Minnelli)
Une Femme dont On Parle (Mizoguchi)

[vic]

Panique année zéro - Ray Milland
Je voulais voir à la base "Terre brulée" mais je n'en ai jamais eu l'occasion (je ne me souviens plus comment j'en ai entendu parler). Par ricochet, je suis tombé sur cette discussion qui m'a aiguillé sur ce Panique année Zero, je connaissais juste Ray Milland comme acteur et je ne savais pas qu'il avait été également réalisateur.

Oui, Ray Milland y a aussi le role principal. Tout petit budget, n&b, sorte de "survival" politique et post-apo totalement atypique. Y est posé de manière radicale la question de la responsabilité individuelle et du vieil adage "la fin justifie les moyens"... Je n'en dis pas plus, il faut le voir.
Le film a eu, je pense, une influence sur le Cornel Wilde de No Blade of Grass (aka Terre Brulée)

Ca s'est du repéchage au tréfond des archives de champion, camarade.
Bon, pas l'impression d'avoir dit trop de conneries sur un film que j'aime beaucoup, donc content que ça t'ait bien aiguillé.
Tu as écrit queqchose sur le film queqpart ?
J'espère que tu auras l'occasion de voir le magnifique Terre Brulée un jour.
Et très chouette palmarès 2023, Naruse et Fellini en tête + un de mes Wilder préférés (ce qui ne veut rien dire, j'adore Wilder).


Beule : Mazette, j'ai encore du boulot...

(Re)DÉCOUVERTES MAJEURES
Pauvres humains et ballons de papier (Sadao Yamanaka)
La Victime (Basil Dearden)
L'Impasse maudite (Hugo Fregonese)
Le Cœur d'une épouse (Mikio Naruse)
Leo the Last (John Boorman)
Marketa Lazarova (Frantisek Vlacil)
L'Hôpital (Arthur Hiller)

Ravi que tout ça t'ait plu (Yamanaka en particulier, évidemment).
Leo the last, découverte ou redécouverte ?

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• Shaolin Intruders (San chuang Shao Lin, 1983) Tang Chia

• Shaolin Prince (Shao Lin chuan ren, 1982) Tang Chia

• Les Quatre de l'apocalypse (I quattro dell'apocalisse, 1975) Lucio Fulci

Sans déc' ?!
Nan mais, t'es désespérant, tu sais, quand tu t'y mets...

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[Beule]

Leo the last, découverte ou redécouverte ?

Re.

Je me souviens avoir découvert le Boorman du temps où j'étais étudiant à Marseille, sur ma toute petite TV. C'est dire si ça remonte à loin
Je ne crois pas l'avoir revu entre-temps. Ou alors j'ai oublié, car il ne m'en restait que quelques réminiscences fascinées. Enfin retrouvé à l'occasion de sa diffusion sur TCM, sauf erreur.

[frédéric]

Tempête sur les Mauvents

Joli drame montagnard avec une histoire plutôt réussie et pas mal de surprises le tout filmé dans un très beau décor en noir et blanc. On retrouve Charles Vanel excellent et la surprise la jolie Andrée Debar, à découvrir.

[cinéfile]

Par ordre alphabétique, (sans ordre de notation) :

125 Rue Montmartre (Grangier, 1959)
Adua et ses compagnes (Pietrangeli, 1960)
Ames Perdues (Risi, 1977)
Avanti! (Wilder, 1972)
Bandera, La (Duvivier, 1965)
Biches, Les (Chabrol, 1968)
Brillante Porvenir(Aranda/Gubern, 1965)
Chantage (Hitchcock, 1929)
Charme discret de la bourgeoisie, Le (Buñuel, 1972)
Croisière du Navigator, La (Crisp/Keaton, 1925)
Dame de Shanghai, La (Welles, 1947)
Divorce à l’italienne (Germi, 1961)
Dos au mur, Le (Molinaro, 1958)
Etrange monsieur Victor, L’ (Grémillon, 1938)
Franc-tireur, Le (Causse, 1972)
Fiancée de Frankenstein, La (Whale, 1935)
Furtivos (Borau, 1975)
Mort de Belle, La (Molinaro, 1960)
Paris qui dort (Clair, 1924)
Phase IV (Bass, 1974)
Plaisir, Le (Ophuls, 1952)
Plaisirs Cachés (E. De La Iglesia, 1977)
Poursuite Impitoyable, La (Penn, 1966)
Remorques (Grémillon, 1941)
Sorcerer (Friedkin, 1977)
Stress es tres, tres (Saura, 1968)
Témoin, Le (Mocky, 1978)
Tueur à gages (Tuttle, 1942)
Vrai Crime d'Amour, un (Comencini, 1974)

[Jack Carter]

Plaisirs Cachés (E. De La Iglesia, 1977)

c'est Los placeres occultos ?
Si oui

[cinéfile]

Plaisirs Cachés (E. De La Iglesia, 1977)

c'est Los placeres occultos ?
Si oui

Oui !

[MJ]

9 Variations on a dance theme (Hilary Harris)
Agent X27 (Josef Von Sternberg)
Association criminelle (Joseph H. Lewis)
Autumn Leaves (Robert Aldrich)
Bande de Flics (Robert Aldrich)
La berceuse de la grande terre (Yasuzo Masumura)
Il Bidone (Federico Fellini)
Les Chevaux de Feu (Sergueï Paradjanov)
Le Démon des Armes (Joseph H. Lewis)
Le Démon des Femmes (Robert Aldrich)
L'Etrange Incident (William Wellman)
France/tour/détour/deux/enfants (Jean-Luc Godard)
L'homme à l'affût (Edward Dmytryk)
L'homme invisible (James Whale)
The Last Command (Josef Von Sternberg)
La Lumière Bleue (Leni Riefensthal)
Mr. Freedom (William Klein)
Muhammad Ali, the Greatest (William Klein)
Numéro Deux (Jean-Luc Godard)
Le Quartier du Corbeau (Bo Widerberg)
The Salvation Hunters (Josef Von Sternberg)
Sayat Nova (Sergueï Paradjanov)
Solo (Jean-Pierre Mocky) (oublié que La machine à découdre n'est pas un naphta, d'où absence dans la récap' contemporaine)
Spring Night Summer Night (Joseph L. Anderson)
Les Visiteurs (Elia Kazan)

[nobody smith]

Le Guépard – Luchino Visconti (1963)
La Rivière rouge – Howard Hawks (1948)
Le dossier 51 – Michel Deville (1978)
Voici le temps des assassins - Julien Duvivier (1956)
L’important c’est d’aimer – Andrzej Zulawski (1975)
Contes cruels de la jeunesse – Nagisa Oshima (1960)
Silence – Masahiro Shinoda (1971)
Bigamie – Ida Lupino (1953)
La Lame Diabolique – Kenji Misumi (1965)
Avant de t’aimer – Elmer Clifton et Ida Lupino (1949)
Le voyage de la peur – Ida Lupino (1953)
Un inspecteur vous demande – Guy Hamilton (1954)
Saladin – Youssef Chahine (1963)
Le joueur d’échecs – Raymond Bernard (1927)
Canal Zone – Frederick Wiseman (1977)
L’esprit de la ruche – Victor Erice (1973)
Ciel d’enfer – Youssef Chahine (1954)
Cleopatra – Osamu Tezuka et Eiichi Yamamoto (1970)
L’ouragan de la vengeance – Monte Hellman (1966)
Seule contre la mafia – Damiano Damiani (1970)
Adieu Philippine – Jacques Rozier (1962)

[MJ]

Seule contre la mafia – Damiano Damiani (1970)

Il était aux portes, celui-là...

[Velvet]

-Le goût du saké, Ozu (bien envie de m'acheter l'intégrale et le beau livre qui vient de sortir)
-Gaslight, G Cukor