Classement des sorties Cinéma/VOD 2023 [clos]

[Karras]

Influencer (VOD) : 5/10

[tchi-tcha]

Ice cream de tous les dieux, lapô compris :

The Marvels (Nia DaCosta) 3/10
(N'ayant pas vu les séries où apparaissent les deux nouvelles coéquipières de Captain Marvel, ne sachant pas quels sont leurs talents respectifs, j'étais passablement paumé lorsque les trois héroïnes échangeaient leurs pouvoirs lors des bastons (j'ai juste compris que quand les Young Marvels débarqueront au cinéma, ce ne sera pas pour moi). Les objectifs de la grande méchante de service ne sont pas très clairs, les tonnes de dialogues explicatifs et de charabia scientifique n'aident pas non plus à les rendre digestes (en gros, comme d'hab il s'agit de réparer une boulette). On a beau lui coller un trauma familial pour l'humaniser, elle a beau froncer les sourcils pour montrer qu'elle a du caractère, Brie Larson reste l'héroïne du MCU la plus insipide, cette fille est un mystère pour moi. Bref, j'étais largué la plupart du temps devant cet épisode 100% girly (pour ne rien arranger - même si ça c'était plutôt sympa).
Du peu que j'en ai saisi, c'est un space opera pas trop mal (bien que gavé de batailles et de destructions de planètes qui m'échappent), loin des plus mauvais Marvel mais routinier et anecdotique, où j'ai réussi à trouver le temps long malgré sa durée pour une fois raisonnable (faut dire que même 1h45, quand on y pige que dalle, c'est pas évident). Et dans la grande tradition de la maison, le film lui-même ne sert qu'à précéder la scène post-générique qui fera hurler tous les fans en promettant un truc énorme pour la suite (SPOILER : cette fois-ci c'est la relance de la franchise X-Men). À voir néanmoins pour deux bizarreries : une planète où tout le monde chante et une séquence frappadingue avec des chatons. Là non plus j'ai pas tout compris, mais pour le coup c'était normal. N'empêche, vivement que ça s'arrête.)

[nunu]

La tour Guillaume Nicloux (ni vis) : 4/10

Trop bancal et j'ai trouvé l'élement fantastique du film trop peu expolité. Si c'est pour filmer un immeuble avec ses bandes, des clans ses trafics, pourquoi mettre un élement fantastique pour finalement t'en servir assez peu

[Alibabass]

Il y a pas d’éléments fantastique dans La Tour. Elle est invisible. C'est plus une affaire de mythologie, et la fin justifie ce moyen.

[G.T.O]

The Killer: 4,5/10

Dangereux surplace de Fincher avec cette énième réitération de la figure du tueur à gage qui, au programme d’exécution, voudrait substituer celui d’un vague dérèglement (passion vengeresse), voire d'une critique -paresseuse- du consumérisme, à la Fight Club. Mais plutôt que d'en faire le creuset d'un quelconque vertige existentiel, Fincher choisit la voie de l'illustration glacée, et du sardonique, abandonnant toute évolution ou questionnement esthétique.
Après la croûte d'époque Mank, on espérait mieux que cette coquille vide qui interroge autant l'avenir du talent de Fincher à l'intérieur du contrat moisi le liant à Netflix que du statut de celle-ci, à être ce lieu de perdition, d'où les auteurs commettent quasiment leurs pires films.

[Alexandre Angel]

The Killer: 4,5/10

Dangereux surplace de Fincher avec cette énième réitération de la figure du tueur à gage qui, au programme d’exécution, voudrait substituer celui d’un vague dérèglement (passion vengeresse), voire d'une critique -paresseuse- du consumérisme, à la Fight Club. Mais plutôt que d'en faire le creuset d'un quelconque vertige existentiel, Fincher choisit la voie de l'illustration glacée, et du sardonique, abandonnant toute évolution ou questionnement esthétique.
Après la croûte d'époque Mank, on espérait mieux que cette coquille vide qui interroge autant l'avenir du talent de Fincher à l'intérieur du contrat moisi le liant à Netflix que du statut de celle-ci, à être ce lieu de perdition, d'où les auteurs commettent quasiment leurs pires films.

Au fait, tu as vu le Scorsese ?

[Watkinssien]

The Killer: 4,5/10

Dangereux surplace de Fincher avec cette énième réitération de la figure du tueur à gage qui, au programme d’exécution, voudrait substituer celui d’un vague dérèglement (passion vengeresse), voire d'une critique -paresseuse- du consumérisme, à la Fight Club. Mais plutôt que d'en faire le creuset d'un quelconque vertige existentiel, Fincher choisit la voie de l'illustration glacée, et du sardonique, abandonnant toute évolution ou questionnement esthétique.
Après la croûte d'époque Mank, on espérait mieux que cette coquille vide qui interroge autant l'avenir du talent de Fincher à l'intérieur du contrat moisi le liant à Netflix que du statut de celle-ci, à être ce lieu de perdition, d'où les auteurs commettent quasiment leurs pires films.

Au fait, tu as vu le Scorsese ?

Une autre croûte d'époque?

Oui, je suis un gros défenseur de Mank!

[Alexandre Angel]

J'avais trouvé ça bien mais un peu froid.

[G.T.O]

The Killer: 4,5/10

Dangereux surplace de Fincher avec cette énième réitération de la figure du tueur à gage qui, au programme d’exécution, voudrait substituer celui d’un vague dérèglement (passion vengeresse), voire d'une critique -paresseuse- du consumérisme, à la Fight Club. Mais plutôt que d'en faire le creuset d'un quelconque vertige existentiel, Fincher choisit la voie de l'illustration glacée, et du sardonique, abandonnant toute évolution ou questionnement esthétique.
Après la croûte d'époque Mank, on espérait mieux que cette coquille vide qui interroge autant l'avenir du talent de Fincher à l'intérieur du contrat moisi le liant à Netflix que du statut de celle-ci, à être ce lieu de perdition, d'où les auteurs commettent quasiment leurs pires films.

Au fait, tu as vu le Scorsese ?

Toujours pas osé, je me remets à peine de la pantalonnade gériatrique the Irishman

[Alexandre Angel]

Je l'ai cherché

[mannhunter]

The Killer: 4,5/10

Dangereux surplace de Fincher avec cette énième réitération de la figure du tueur à gage qui, au programme d’exécution, voudrait substituer celui d’un vague dérèglement (passion vengeresse), voire d'une critique -paresseuse- du consumérisme, à la Fight Club. Mais plutôt que d'en faire le creuset d'un quelconque vertige existentiel, Fincher choisit la voie de l'illustration glacée, et du sardonique, abandonnant toute évolution ou questionnement esthétique.
Après la croûte d'époque Mank, on espérait mieux que cette coquille vide qui interroge autant l'avenir du talent de Fincher à l'intérieur du contrat moisi le liant à Netflix que du statut de celle-ci, à être ce lieu de perdition, d'où les auteurs commettent quasiment leurs pires films.

Au fait, tu as vu le Scorsese ?

tu veux l'achever là, avoue..

[Alexandre Angel]

Ah non, je pense sincèrement (et sans doute naïvement), concernant G.T.O., que c'est jouable tant ce qui a déçu chez les uns pourrait ne pas lui déplaire!
Mais faut qu'il y aille pour qu'on soit fixés .

[santiago]

Fingernails: 5,5/10
Ça tourne à Séoul : 6/10

[Watkinssien]

Au fait, tu as vu le Scorsese ?

Toujours pas osé, je me remets à peine de la pantalonnade gériatrique the Irishman

Et en plus il se "halfordise"!

[Karras]

The Creator (6/10)