Joshua Baskin a écrit : ↑22 oct. 23, 10:04
L'enlèvement (Marco Bellochio) : 8,5/10
Va falloir que je crée un topic.
Ah oui Mr, Ah OUI OUI
Sinon,
Mal Viver (João Canijo) : 4/10
- Dieu que c'est beau esthétiquement (comme si les tableaux d'Edward Hopper était vivants). Dieu que c'est misanthrope, genre de Sick Of Myself à perdre la raison. Tant mieux, à la fin, la fâcheuse misanthropie de la mère est fatal.
Les Feuilles Mortes (Aki Kaurismaki) : 7/10
- La science du cadre et de la mise en scène au service de l'émotion. Fluide, simple, pince-sans-rire, son monde est dans un ailleurs. Et plaisant de voir que la base de son univers arrive à être modéliser sans être dans le copier/coller dans
Dirty, Difficult, Dangerous de Wissam Charaf et surtout
Blackbird Blackberry de Elene Naveriani, dont j'espère une sortie l'année prochaine en France, car, encore une fois, son dernier film peux trouver son public.
Lost Country (Vladimir Perisic) : 7,5/10
- Dans l'idée chère à Godard de faire politiquement des films, Lost Country filme une Yougoslavie dans sa fin inévitable, et chez son personnage une inévitable fin. Entre du Rossellini et Louis Malle, un film sec et rugueux, filmé dans un 16mm au clair obscur.