Heat (Michael Mann - 1995)
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Re: Heat (Michael Mann - 1995)
Dévoré le roman en 2 semaines dans les transports (c'est un vrai page turner auquel je reprocherai juste un final qui, malgré un très gros morceau en terme de tension, m'a paru expédié un peu trop rapidement), je suis chaud-bouillant pour sa transposition sur grand écran qui se précise apparemment : Mann serait en train de plancher sur le développement du projet chez Warner Bros. et Adam Driver est en pourparlers avec le réal' pour incarner le rôle de McCauley jeune. L'acteur est le seul véritablement attaché au projet pour l'instant, le nom de Ana de Armas circulant pour interpréter Elisa tandis que Pacino reprendrait son rôle pour la partie se déroulant en 2000.
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Re: Heat (Michael Mann - 1995)
Je ne vois pas comment Pacino pourrait être crédible pour un rôle ou il est censé avoir 23 ans de moins même avec le meilleur des dé-aging, ne serait-ce qu'en termes de scènes d'actions. (comme pour Harrison Ford d'ailleursTheGentlemanBat a écrit : ↑17 avr. 23, 22:17 Dévoré le roman en 2 semaines dans les transports (c'est un vrai page turner auquel je reprocherai juste un final qui, malgré un très gros morceau en terme de tension, m'a paru expédié un peu trop rapidement), je suis chaud-bouillant pour sa transposition sur grand écran qui se précise apparemment : Mann serait en train de plancher sur le développement du projet chez Warner Bros. et Adam Driver est en pourparlers avec le réal' pour incarner le rôle de McCauley jeune. L'acteur est le seul véritablement attaché au projet pour l'instant, le nom de Ana de Armas circulant pour interpréter Elisa tandis que Pacino reprendrait son rôle pour la partie se déroulant en 2000.

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Re: Heat (Michael Mann - 1995)
oui ça paraît compliqué, à priori. De futures scènes d'action à la Bobby De Niro dans l'avant-dernier Scorsese?
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Re: Heat (Michael Mann - 1995)
Je pensais exactement à cette scènemannhunter a écrit : ↑18 avr. 23, 11:29oui ça paraît compliqué, à priori. De futures scènes d'action à la Bobby De Niro dans l'avant-dernier Scorsese?
Oui

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Re: Heat (Michael Mann - 1995)
Tuck pendleton a écrit : ↑26 oct. 03, 13:46je pense pareilJordan White a écrit : Michael Mann est largement meilleur avec Revelations ou Ali.

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Re: Heat (Michael Mann - 1995)
Je l'avais revu depuis l'écriture de cet avis (à la con...et il y a 20 ans !) et j'avais bien sûr adoré.
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Re: Heat (Michael Mann - 1995)
Page turner, non. J'ai pausé qq semaines avant de finir. Des trucs fonctionnent, mais c'est assez mauvais dans l'ensemble. Il faut imaginer un doublon de Waingro bien putassier qui viendrait titiller Pacino et la bande à De Niro avant et après le film, c'est très lourd et même assez con. Ambiance home-jacking à répétition pour drainer la ménagère, beurk. Le perso de Kilmer, dont on voit bien l'extension ds Hacker, est épisodiquement intéressant, celui de Pacino aussi, sorte de Harry Bosh sous amphet', mais faut se tartiner tout le long de la redondance, du remake caché et du gros capilotractage ds le scénario. Plutôt bof. A déconseiller aussi à ceux qui n'aiment pas trop la fin de Heat, car le perso de De Niro devient carrément un gros loser, c'est naze. Prolongation dommageable à ignorer.TheGentlemanBat a écrit : ↑17 avr. 23, 22:17 Dévoré le roman en 2 semaines dans les transports (c'est un vrai page turner auquel je reprocherai juste un final qui, malgré un très gros morceau en terme de tension, m'a paru expédié un peu trop rapidement), je suis chaud-bouillant pour sa transposition sur grand écran qui se précise apparemment : Mann serait en train de plancher sur le développement du projet chez Warner Bros. et Adam Driver est en pourparlers avec le réal' pour incarner le rôle de McCauley jeune. L'acteur est le seul véritablement attaché au projet pour l'instant, le nom de Ana de Armas circulant pour interpréter Elisa tandis que Pacino reprendrait son rôle pour la partie se déroulant en 2000.
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Re: Heat (Michael Mann - 1995)
Plus Team Nazario9 /TheGentlemanBat que Shubby!
Lu ou plutôt dévoré le livre Heat 2, j'ai trouvé cette suite parfaite en l'état (sous forme de livre donc), même si on reste peu surpris par certains aspects, quand on connait la filmographie de Michael Mann. Préquelle et suite du film, le bouquin permet de revivre une histoire auprès de Neil McCauley, Vincent Hanna et Chris Shiherlis, sans jamais rencontrer l'ennui, ni perdre le rythme et la tension.
Il y a un arc pour chaque personnage, et celui de McCauley est sans doute le moins intéressant, à la fois parce que le film et son interprète avaient "presque" raconté cette histoire qu'on découvre ("tout quitter en 30s - mais Neil a-t-il tjs été comme ça?). Et même si elle n'est pas clairement explicitée dans le film, Mann et De Niro donnent suffisamment au spectateur pour comprendre McCauley et sa philosophie donc. Pour autant, le plaisir de revivre des instants avec ce personnage de l'explorer, et bien… et bien ça n'a pas de prix! Y compris en suivant Vincent Hanna, Pacino saute aux yeux à chaque page pour notre plus grand bonheur. C'est Chris Shiherlis qui bénéficie le plus de cette suite littéraire. Présent dans l'intrigue pré et post film, Chris est tiraillé entre son passé (Charlene) et un avenir qui s'écrit dans le crime organisé, mais à l'échelle mondiale (fascinant et efficace, belle idée de faire un upgrade dans la criminalité) avec des éléments qu'on croirait sortir de Miam Vice ou Hacker. Au milieu de tout ça une véritable intrigue de polar, un peu dégueulasse, sur laquelle on pourrait reprocher quelques facilités, mais bon sang que c'est bon quand même. Un pourri de la pire espèce qu'on aime détester et dont on redoute les échappées, pour n'attendre que son coup de grâce!
J'ai passé un excellent moment, le livre est captivant et prenant, dans un style très descriptif et documenté (il y a même de quoi se faire une playlist en cours de lecture), ça ne demande pas beaucoup de travail à être adapté, juste une belle enveloppe. Pour autant je redoute une adaptation, même si je privilégierai toujours un film de plus de Mann que son absence. Le casting du film est trop fort dans mon esprit pour accepter un casting différent. Même si je trouve l'idée d'un Austin Butler assez séduisante (Chris) et qu'Adam Driver est un bon choix (mais surtout par pitié pas de Chalamet).
Lu ou plutôt dévoré le livre Heat 2, j'ai trouvé cette suite parfaite en l'état (sous forme de livre donc), même si on reste peu surpris par certains aspects, quand on connait la filmographie de Michael Mann. Préquelle et suite du film, le bouquin permet de revivre une histoire auprès de Neil McCauley, Vincent Hanna et Chris Shiherlis, sans jamais rencontrer l'ennui, ni perdre le rythme et la tension.
Il y a un arc pour chaque personnage, et celui de McCauley est sans doute le moins intéressant, à la fois parce que le film et son interprète avaient "presque" raconté cette histoire qu'on découvre ("tout quitter en 30s - mais Neil a-t-il tjs été comme ça?). Et même si elle n'est pas clairement explicitée dans le film, Mann et De Niro donnent suffisamment au spectateur pour comprendre McCauley et sa philosophie donc. Pour autant, le plaisir de revivre des instants avec ce personnage de l'explorer, et bien… et bien ça n'a pas de prix! Y compris en suivant Vincent Hanna, Pacino saute aux yeux à chaque page pour notre plus grand bonheur. C'est Chris Shiherlis qui bénéficie le plus de cette suite littéraire. Présent dans l'intrigue pré et post film, Chris est tiraillé entre son passé (Charlene) et un avenir qui s'écrit dans le crime organisé, mais à l'échelle mondiale (fascinant et efficace, belle idée de faire un upgrade dans la criminalité) avec des éléments qu'on croirait sortir de Miam Vice ou Hacker. Au milieu de tout ça une véritable intrigue de polar, un peu dégueulasse, sur laquelle on pourrait reprocher quelques facilités, mais bon sang que c'est bon quand même. Un pourri de la pire espèce qu'on aime détester et dont on redoute les échappées, pour n'attendre que son coup de grâce!
J'ai passé un excellent moment, le livre est captivant et prenant, dans un style très descriptif et documenté (il y a même de quoi se faire une playlist en cours de lecture), ça ne demande pas beaucoup de travail à être adapté, juste une belle enveloppe. Pour autant je redoute une adaptation, même si je privilégierai toujours un film de plus de Mann que son absence. Le casting du film est trop fort dans mon esprit pour accepter un casting différent. Même si je trouve l'idée d'un Austin Butler assez séduisante (Chris) et qu'Adam Driver est un bon choix (mais surtout par pitié pas de Chalamet).
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Re: Heat (Michael Mann - 1995)
Sinon, il se murmure que dans une dimension parallèle, un odieux individu aurait remonté Heat, proposant un fancut raccourci d'une bonne heure pour dégager le superflu. Je... je... crzzzflpuuukzzzz...
Dernière modification par shubby le 12 sept. 23, 18:35, modifié 2 fois.
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Re: Heat (Michael Mann - 1995)
Je suis tombé sur la page du fan cut, je vois de qui tu veux parler 

- Coxwell
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Re: Heat (Michael Mann - 1995)
En parlant de Fan cut, je suis tombé par hasard sur ce "Modern trailer" fait par un fan. Plutôt chouette :
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Re: Heat (Michael Mann - 1995)
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Re: Heat (Michael Mann - 1995)
Drôle d'hommage dans le show Netflix "Everybody's in L.A." : le personnage de Waingro fait du stand-up!
https://x.com/mulaney/status/1792248839 ... 74?lang=bg
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You said it, man. Nobody fucks with the Jesus.
https://www.rayonvertcinema.org/
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Re: Heat (Michael Mann - 1995)
30 ans après...des difficultés de production pour la suite/préquelle (?) de "Heat"..:
https://www.worldofreel.com/blog/2025/3/11/heat-2
https://www.worldofreel.com/blog/2025/3/11/heat-2
- Shin Cyberlapinou
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Re: Heat (Michael Mann - 1995)
A mettre en parallèle avec un article évoquant un rachat de Warner comme pour la Fox si Superman se plante. Un polar dur et vraisemblablement ample porté par un cinéaste culte mais vieillissant et pas vraiment mainstream, des acteurs montants mais pas des valeurs sûres, un studio en moyenne forme financière, franchement je comprends que Warner ait des doutes.With “Joker: Folie a Deux,” which cost $200M, having bombed theatrically, and “Mickey 17” standing to lose well over $100M, Warners still has a slew of upcoming auteur-driven productions on its schedule, we’re talking new films from Paul Thomas Anderson ($140M), Maggie Gyllenhaal ($100M), Ryan Coogler ($100M), David Robert Mitchell ($90M), and Alejandro Gonzalez Inarritu ($120M+).