1950 : Pour l'amour du ciel (È più facile che un cammello…) de Luigi Zampa
1951 : Son dernier verdict (L'ultima sentenza) de Mario Bonnard
1952 : Adorables Créatures de Christian-Jaque
1952 : È arrivato l'accordatore de Duilio Coletti
1952 : Le Manteau (Il cappotto) d'Alberto Lattuada
1952 : Les enfants ne sont pas à vendre (I figli non si vendono) de Mario Bonnard
1952 : Histoires interdites (Tre storie proibite) de Augusto Genina
1952 : Prisonnière des ténèbres (La cieca di Sorrento) de Giacomo Gentilomo
1953 : The Story of William Tell de Jack Cardiff (court métrage)
1953 : Pardonne-moi (Perdonami!) de Mario Costa
1953 : Canzoni, canzoni, canzoni de Domenico Paolella
1953 : La Fille du régiment (Die Tochter der Kompanie) de Géza von Bolváry
1954 : La Chronique des pauvres amants (Cronache di poveri amanti) de Carlo Lizzani
1954 : Amours d'une moitié de siècle (Amori di mezzo secolo) épisode Napoli 43 de Roberto Rossellini
1954 : Pitié pour celle qui tombe (Pietà per chi cade) de Mario Costa
1954 : Repris de justice (Avanzi di galera) de Vittorio Cottafavi
1954 : À toi... toujours (Casta Diva) de Carmine Gallone
1954 : Le Rouge et le Noir de Claude Autant-Lara
1955 : Les Amoureux (Gli Innamorati) de Mauro Bolognini
1955 : Le Souffle de la liberté (Andrea Chenier) de Clemente Fracassi
1956 : Nos plus belles années (I giorni più belli) de Mario Mattoli
1957 : Pères et fils (Padri e figli) de Mario Monicelli
1957 : Méfiez-vous fillettes d'Yves Allégret
1958 : Les Jeunes Maris (Giovanni mariti) de Mauro Bolognini
1958 : Le ciel brûle (Il cielo brucia) de Giuseppe Masini
1958 : Mon coquin de père de Georges Lacombe
1958 : Une vie de Alexandre Astruc
1958 : Polikouschka (Polikuschaka) de Carmine Gallone
1959 : Délit de fuite de Bernard Borderie
1959 : J'irai cracher sur vos tombes de Michel Gast et Christian Marquand
1959 : Les Garçons (La notte brava) de Mauro Bolognini
1959 : Match contre la mort de Claude Bernard-Aubert
1959 : À double tour de Claude Chabrol
1960 : Les Dauphins (I delfini) de Francesco Maselli
1960 : Je cherche une maman (Appuntamento a Ischia) de Mario Mattoli
1960 : La Rue des amours faciles (Via Margutta) de Mario Camerini
1961 : Les Mongols (I mongoli) d'André de Toth et Leopoldo Savona
1962 : Le Désordre (Il disordine) de Franco Brusati
1962 : Les Titans (Arrivano i titani) de Duccio Tessari
1963 : Le Jour le plus court (Il giorno piu corto) de Bruno Corbucci
1964 : Les Possédées du démon (Delitto allo specchio) de Jean Josipovici et Ambrogio Molteni
1964 : La coda del diavolo de Moraldo Rossi (it)
1964 : Amore mio de Raffaello Matarazzo
1964 : Le Repas des fauves de Christian-Jaque
1964 : Parlons femmes (Se permettete parliamo di donne) de Ettore Scola
1964 : Les Cent Cavaliers (I cento cavalieri) de Vittorio Cottafavi
1963 : L'Enfant du cirque (Il figlio del circo) de Sergio Grieco
1966 : Surcouf, le tigre des sept mers (Surcouf, l'eroe dei sette mari) de Sergio Bergonzelli et Roy Rowland
1966 : Comment séduire un play-boy en l'an 2000 (Bel Ami 2000 oder Wie verführt man einen Playboy?) de Michael Pfleghar
1966 : Tonnerre sur l'océan Indien (Il Grando colpo di Surcouf) de Sergio Bergonzelli et Roy Rowland
1968 : Columna de Mircea Drăgan
1974 : Vincent, François, Paul... et les autres de Claude Sautet
1985 : Une épine dans le cœur d'Alberto Lattuada
1989 : Diritto di vivere de Edmund Purdom
1992 : Tous les hommes de Sara (Tutti gli uomini di Sara), de Gianpolo Tescari
1994 : Néfertiti, la fille du soleil (Nefertiti, figlia del sole) de Guy Gilles
2010 : La bella società de Gian Paolo Cugno
C'est marrant, je sens que le Commissaire Juve va intervenir
C'est assurément réducteur, mais je ne sais pourquoi j'associe spontanément Antonella Lualdi à une flopée de films consacrés aux vicissitudes des jeunes adultes, autant de portraits de groupe microcosmiques où je n'ai (le plus souvent) d'yeux que pour elle. Sa beauté altière mais sans ostentation, son regard profond pouvant virer en un battement de cil de l'adorable suspension languide à la braise la plus incandescente lui avaient permis d'intégrer mon panthéon des plus belles actrices italiennes des années 50 et du début des sixties, aux côtés d'une Eleonora Rossi Drago ou d'une Cosetta Greco.
Merveilleuse avec Gérard Blain en actrice sans succès, porte-parole de la condition féminine italienne, dans Via Margutta de Camerini et sublime de retenue dans Les Dauphins de Maselli, où cette fois Blain est son frère.
Mais elle n'a pas joué que Les Cordier quand même. Et le Rouge et le Noir ? Et Vincent, François, Paul et et les Autres, où face à Montand, Piccoli, Reggiani et Depardieu, l'ensemble féminin composé de la belle Italienne, de Stéphane Audran, Marie Dubois et Ludmila Mikaël ne pâlissait pas, loin de là et existait avec force même si Sautet les avait mises en retrait (une idées idiote !).
Antonella Lualdi a aussi tourné avec Chabrol et a joué dans un film italien l'histoire d'André Chenier. Enfin, pour la télé elle a aussi été une belle Milady face à Dominique Paturel, mort lui aussi l'année dernière, je crois. Et La Chronique des Pauvres Amants donc ?
Une jolie carrière pour cette actrice ravissante qui n'avait rien à envier aux Claudia, Sophia et Gina, sinon une plus grande discrétion. Mais quel charme pour une comédienne qui en valait beaucoup d'autres...
RIP Antonella
Franchement je n'ai vu aucun film avec elle donc pour moi elle est Madame Cordier. Désolé.
« Quand des hommes, même s’ils s’ignorent, doivent se retrouver un jour, tout peut arriver à chacun d’entre eux, et ils peuvent suivre des chemins divergents, au jour dit, inexorablement, ils seront réunis dans le cercle rouge. »
Cette bourde de Thoret me fait penser à un (ancien) ami qui s'était fait tailler un short,
un jour, à l'oral d'agrégation pour avoir dit :
Un certain Mozart...
Il avait cité un autre compositeur, mais je ne voudrais pas que ce post lui tombe sous les yeux
un jour ! (le "un certain" lui avait même valu les honneurs du bêtisier de l'agrég dans la revue
Historiens & Géographes)
PS : Cornel Wilde n'est pas à proprement parler un "Mozart" de sa profession, mais je me comprends.
Alexandre Angel a écrit : ↑10 août 23, 16:53
C'est marrant, je sens que le Commissaire Juve va intervenir
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
Je ne l'ai vue que dans Rolling thunder (où elle était très bien) mais elle quitta le métier en 1980. Ambitions déçues, ou simple perte d'intérêt, dommage qu'on ne l'ai pas plus vue...
Major Dundee a écrit : ↑12 août 23, 20:40
Je me trompe peut-être mais je n'ai pas l'impression qu'on en ait parlé :
Linda Haynes (4-11-47/ 17-7-23)
R.I.P.
Cute girl dans son jeune temps. Visage familier, en plus.
Et... et... je vois que je ne l'ai vue que dans :
- Brubaker (1980)
- La Toile d'araignée (1975)
Autrement dit : je dois la confondre avec quelqu'un d'autre.
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...