Oui...et j'en suis le premier déçu. Je m'attendais à un torrent de larmes de ma part. Mais j'ai trouvé que le film avait super mal vieilli et j'ai eu un gros problème pendant tout le film : j'ai eu beaucoup de mal à croire au couple de vieillards incarnés par des acteurs d'une cinquantaine d'années, volontairement vieillis.
Le hasard a fait que j'ai enchainé 2 jours après Vortex dont le sujet est très similaire mais avec un traitement tout autre.
Bon j'avais laissé pisser mais, puisque tu as réagi c'est vrai que Place aux jeunes m'a toujours semblé être un des plus beaux films des années 30, une œuvre qui ne vieillit pas d'un iota et qui aborde avec lucidité et une grande sensibilité le thème universel du vieillissement des parents, et du vieillissement tout court.
Un grand chef d'œuvre pour moi.
Je compte d'ailleurs me le payer upgrade.
Alexandre Angel a écrit : ↑15 mars 23, 12:39
Bon j'avais laissé pisser mais, puisque tu as réagi c'est vrai que Place aux jeunes m'a toujours semblé être un des plus beaux films des années 30, une œuvre qui ne vieillit pas d'un iota et qui aborde avec lucidité et une grande sensibilité le thème universel du vieillissement des parents, et du vieillissement tout court.
Un grand chef d'œuvre pour moi.
Je compte d'ailleurs me le payer upgrade.
Une œuvre majeure, qui me bouleverse, sans oublier la maîtrise de la mise en scène et de l'interprétation.
Et heureusement que je n'ai pas eu l'idée de le comparer avec Vortex lorsque j'avais vu ce dernier en salles!
John Holden a écrit : ↑15 mars 23, 18:18
Père Jules voulait sans doute évoquer le film de Shinoda non ?
Y a de fortes chances.
Mais un doute subsiste. Peut-être PJ s'est-il fourvoyé sur le titre français et qu'il pointe en fait vers karami-ai/ L'Héritage de Kobayashi sorti la même année (si, si ça arrive ).
John Holden a écrit : ↑15 mars 23, 18:18
Père Jules voulait sans doute évoquer le film de Shinoda non ?
Y a de fortes chances.
Mais un doute subsiste. Peut-être PJ s'est-il fourvoyé sur le titre français et qu'il pointe en fait vers karami-ai/ L'Héritage de Kobayashi sorti la même année (si, si ça arrive ).
Mais une erreur bénéfique puisque je me note le Kobayashi
Père Jules a écrit : ↑16 mars 23, 09:52
Mais une erreur bénéfique puisque je me note le Kobayashi
À toutes fins utiles, je préfère tout de même préciser que le Shinoda et le Kobayashi n'entretiennent aucun, mais alors aucun rapport, hein.
John Holden a écrit : ↑1 mars 23, 07:01Otoko wa tsurai yo: Torajirō komoriuta (C'est dur d'être un homme : La Maladie d'amour)...Yōji Yamada (1974) : 7/10
Tu avais vu le premier au moins, John ?
Parce que sinon le choix de ce 13ème film pour aborder la série me laisse un tant soit peu perplexe...
... attendu que tu choisis comme porte d'entrée un épisode dont la particularité est justement de faire revenir l'un des amours déçus de Torajirô (Sayuri Yoshinaga et Seiji Miyaguchi - le père- reprenant leurs rôles du 9ème opus Mon cher quartier). Ces exemples ne sont pas légion. Mais tu me diras, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?
John Holden a écrit : ↑1 mars 23, 07:01Otoko wa tsurai yo: Torajirō komoriuta (C'est dur d'être un homme : La Maladie d'amour)...Yōji Yamada (1974) : 7/10
Tu avais vu le premier au moins, John ?
Parce que sinon le choix de ce 13ème film pour aborder la série me laisse un tant soit peu perplexe...
... attendu que tu choisis comme porte d'entrée un épisode dont la particularité est justement de faire revenir l'un des amours déçus de Torajirô (Sayuri Yoshinaga et Seiji Miyaguchi - le père- reprenant leurs rôles du 9ème opus Mon cher quartier). Ces exemples ne sont pas légion. Mais tu me diras, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?
Non.
Je t'avoue que je ne connaissais pas du tout et n'ai pas ta culture cinématographique nippone, ni celle de Vic ("grâce" à qui je vais découvrir prochainement certains films de Sadao Yamanaka). Je me suis surtout laissé emporter au gré des découvertes de certains films de la série (après avoir beaucoup apprécié Les mouchoirs jaunes du bonheur) selon leur disponibilité en vostfr. J'ai déjà noté les opus précédents qui, pour l'essentiel, ne disposent "que" de sta. 48 films il faut admettre que c'est intimidant !
Edit : Wikipedia indique par ailleurs qu'il s'agit du 14ème titre de la série, mais ce n'est que Wikipedia.
"Il y a des gens qui parlent, qui parlent - jusqu'à ce qu'ils aient enfin trouvé quelque chose à dire." Sacha Guitry (Mon père avait raison, 1936)
"Il y a des gens qui cherchent, qui cherchent - jusqu'à ce qu'ils aient enfin trouvé la capture." Rick Blaine
Non.
Je t'avoue que je ne connaissais pas du tout et n'ai pas ta culture cinématographique nippone, ni celle de Vic ("grâce" à qui je vais découvrir prochainement certains films de Sadao Yamanaka).
S'il est question du même Vic, c'est mon Sensei aussi
John Holden a écrit : ↑18 mars 23, 07:45
Je me suis surtout laissé emporter au gré des découvertes de certains films de la série (après avoir beaucoup apprécié Les mouchoirs jaunes du bonheur) selon leur disponibilité en vostfr. J'ai déjà noté les opus précédents qui, pour l'essentiel, ne disposent "que" de sta. 48 films il faut admettre que c'est intimidant !
Je comprends un peu mieux
John Holden a écrit : ↑18 mars 23, 07:45
Edit : Wikipedia indique par ailleurs qu'il s'agit du 14ème titre de la série, mais ce n'est que Wikipedia.
Ah oui, je m'étais fié au titre français. Mais alors c'est plutôt les Lullaby / Les Affres de la paternité (avec l'infirmière Yukiyo Toake et la chorale) que tu as vu ?
Ce que je disais d'un choix malheureux n'a plus lieu d'être. Même si commencer par le 1er me paraît tout de même souhaitable pour appréhender les origines de Torajiro et Sakura à travers leurs retrouvailles.
Beule a écrit : ↑18 mars 23, 14:12
S'il est question du même Vic, c'est mon Sensei aussi
Oui, pardon pour l'involontaire confusion avec Vic Vega.
John Holden a écrit : ↑18 mars 23, 07:45
Edit : Wikipedia indique par ailleurs qu'il s'agit du 14ème titre de la série, mais ce n'est que Wikipedia.
Beule a écrit : ↑18 mars 23, 14:12
Ah oui, je m'étais fié au titre français. Mais alors c'est plutôt les Lullaby / Les Affres de la paternité (avec l'infirmière Yukiyo Toake et la chorale) que tu as vu ?
Ce que je disais d'un choix malheureux n'a plus lieu d'être. Même si commencer par le 1er me paraît tout de même souhaitable pour appréhender les origines de Torajiro et Sakura à travers leurs retrouvailles.
Oui c'est bien de celui ci dont il s'agit.
Merci de m'avoir spoilé le 13ème !
Je me programme le 1er tout vite.
"Il y a des gens qui parlent, qui parlent - jusqu'à ce qu'ils aient enfin trouvé quelque chose à dire." Sacha Guitry (Mon père avait raison, 1936)
"Il y a des gens qui cherchent, qui cherchent - jusqu'à ce qu'ils aient enfin trouvé la capture." Rick Blaine
John Holden a écrit : ↑18 mars 23, 14:23
Merci de m'avoir spoilé le 13ème !
Je me programme le 1er tout vite.
J'ai rien spoilé du 13. Juste précisé qu'il valait mieux avoir vu le 9ème (Mon cher quartier) avant de s'embarquer sur le 13ème vol.
Comme il est préférable de découvrir dans l'ordre chronologique les films dans lesquels Tora-san croise le personnage essentiel de Lily (Ruriko Asaoka):
11 - Élégie du vagabondage
15 - Un parapluie pour deux
25 - Okinawa mon amour
48 - Tora-san à la rescousse (bon, j'en suis pas encore là)
John Holden a écrit : ↑18 mars 23, 14:23
Merci de m'avoir spoilé le 13ème !
Je me programme le 1er tout vite.
J'ai rien spoilé du 13. Juste précisé qu'il valait mieux avoir vu le 9ème (Mon cher quartier) avant de s'embarquer sur le 13ème vol.
Comme il est préférable de découvrir dans l'ordre chronologique les films dans lesquels Tora-san croise le personnage essentiel de Lily (Ruriko Asaoka):
11 - Élégie du vagabondage
15 - Un parapluie pour deux
25 - Okinawa mon amour
48 - Tora-san à la rescousse (bon, j'en suis pas encore là)
Bien Monsieur.
N'empêche, sans présumer hâtivement de la valeur de l'ensemble, quelle filmo ce Yamada quand même !
"Il y a des gens qui parlent, qui parlent - jusqu'à ce qu'ils aient enfin trouvé quelque chose à dire." Sacha Guitry (Mon père avait raison, 1936)
"Il y a des gens qui cherchent, qui cherchent - jusqu'à ce qu'ils aient enfin trouvé la capture." Rick Blaine