Classement des sorties Cinéma/VOD 2023

[Flol]

Cocaine Bear : 3/10

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Bon dieu ce que je peux détester ce genre de films. Ça aimerait tellement être un nanar délirant, ça force de tous les côtés avec son pitch trop lol ("Alors voilà, c'est l'histoire d'un ours qui a sniffé trop de coke et qui du coup fout le bordel dans une forêt ! Hihihi !...et en plus, c'est basé sur une histoire vraie !") et ses comédiens en roue libre (à quel moment les faiseurs de comédies US contemporaines vont comprendre que ça ne sert à rien de parler TOUT LE FUCKING TEMPS ??), tout ça pour un résultat totalement inverse : on obtient un produit très peu drôle, très peu gore (la majorité des plans sanglants est hors-champ), parfaitement conscient de lui-même et persuadé d'être extrêmement malin. Soit le pire genre de films.

Formellement, c'est la dèche totale tant la mise en scène est d'une pauvreté à pleurer, n'exploitant jamais la débilité potentielle du projet. Je sauverais juste la séquence de l'ambulance, où l'on sent que Banks a enfin saisi dans quelle direction il fallait que son film parte...avant un retour à la normale désespérément long, mou et mal branlé, avec des trafiquants de drogue (dont un Ray Liotta tout bouffi avec sa coupe au carré...oui, il aura donc fini sa carrière comme ça) dont on n'a que foutre, des petits gamins plus malins que tout le monde donc insupportables, et évidemment le petit moment de "FEMALE EMPOWERMENT" bien lourdaud, parce que c'est aujourd'hui un prérequis dans tout bon film hollywoodien qui se respecte.

Je vais le dire comme je le pense : les gens qui vont s'amuser devant ce machin sont forcément de tristes sirs (ou des enfants de 12 ans et demi).
Bref. Si vous pensiez voir du fun : fuyez.

[odelay]

Pourtant ça avait l'air si bien sur le papier : la réalisatrice de dernier Charlie Angels qui veut faire un film Z conscient de son statut avec du fric.

[Flol]

Oui, pourtant une très grande cinéaste Elizabeth Banks. Quelle déception de sa part...

[Alibabass]

Merci Flol pour ce retour illi-coco-presto : pour un retour à la normal, je vais plutôt écouter les aventures de Pusha T ^^.

Sinon, révélation d'un cinéaste dont j'avais jamais vu un seul de ses films : Clément Cogitore.
Goutte d'Or : 7/10

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- La croyance au cinéma comme révélateur de réparer les vivants joue ici l'ambigüité dans le quartier de la Goutte d'Or, regardé dans une tension communautaire bien retranscrite (la compétition des marabouts, ou chaque communauté ne doit pas prendre les clients des autres, et ou tout se règle avec des billets). L'introduction joue en cela comme une image manquante : Ce medium (irradiant Karim Leklou) joue sur les croyances de l’au-delà, de la magie que les morts regardent les vivants. Quand l'image manquante arrive, l'arnaque prend racine : c'est via les codes des portables de ses clients qu'il va espionner leurs profils FB, et qu'il crée une histoire qui tiens à du faux. Dans tout les cas, la parole ici prend sens, elle alimente un manque. C'est par cette liaison et l'apport d'un talisman du mage/medium volé dans sa cave par un ado que le film va déployer son étrangeté, sa folie douce (peux-être un doux problème) et le déraisonnement du personnage, embarqué dans une aventure nocturne (image magnétique jouant sur les lumières de la ville) et sournoise avec des jeunes migrants. Révélation d'un regard, pour un film qui a du corps, bravo Clément Cogitore.

[-Kaonashi-]

Empire of Light : 5

[Alexandre Angel]

Cocaine Bear : 3/10

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Bon dieu ce que je peux détester ce genre de films. Ça aimerait tellement être un nanar délirant, ça force de tous les côtés avec son pitch trop lol ("Alors voilà, c'est l'histoire d'un ours qui a sniffé trop de coke et qui du coup fout le bordel dans une forêt ! Hihihi !...et en plus, c'est basé sur une histoire vraie !") et ses comédiens en roue libre (à quel moment les faiseurs de comédies US contemporaines vont comprendre que ça ne sert à rien de parler TOUT LE FUCKING TEMPS ??), tout ça pour un résultat totalement inverse : on obtient un produit très peu drôle, très peu gore (la majorité des plans sanglants est hors-champ), parfaitement conscient de lui-même et persuadé d'être extrêmement malin. Soit le pire genre de films.

Formellement, c'est la dèche totale tant la mise en scène est d'une pauvreté à pleurer, n'exploitant jamais la débilité potentielle du projet. Je sauverais juste la séquence de l'ambulance, où l'on sent que Banks a enfin saisi dans quelle direction il fallait que son film parte...avant un retour à la normale désespérément long, mou et mal branlé, avec des trafiquants de drogue (dont un Ray Liotta tout bouffi avec sa coupe au carré...oui, il aura donc fini sa carrière comme ça) dont on n'a que foutre, des petits gamins plus malins que tout le monde donc insupportables, et évidemment le petit moment de "FEMALE EMPOWERMENT" bien lourdaud, parce que c'est aujourd'hui un prérequis dans tout bon film hollywoodien qui se respecte.

Je vais le dire comme je le pense : les gens qui vont s'amuser devant ce machin sont forcément de tristes sirs (ou des enfants de 12 ans et demi).
Bref. Si vous pensiez voir du fun : fuyez.

Bien je n'irai pas le voir.

[AtCloseRange]

Le distributeur est en train de pourrir Flol sur Twitter.

[TheGentlemanBat]

Cocaine Bear : 3/10

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Bon dieu ce que je peux détester ce genre de films. Ça aimerait tellement être un nanar délirant, ça force de tous les côtés avec son pitch trop lol ("Alors voilà, c'est l'histoire d'un ours qui a sniffé trop de coke et qui du coup fout le bordel dans une forêt ! Hihihi !...et en plus, c'est basé sur une histoire vraie !") et ses comédiens en roue libre (à quel moment les faiseurs de comédies US contemporaines vont comprendre que ça ne sert à rien de parler TOUT LE FUCKING TEMPS ??), tout ça pour un résultat totalement inverse : on obtient un produit très peu drôle, très peu gore (la majorité des plans sanglants est hors-champ), parfaitement conscient de lui-même et persuadé d'être extrêmement malin. Soit le pire genre de films.

Formellement, c'est la dèche totale tant la mise en scène est d'une pauvreté à pleurer, n'exploitant jamais la débilité potentielle du projet. Je sauverais juste la séquence de l'ambulance, où l'on sent que Banks a enfin saisi dans quelle direction il fallait que son film parte...avant un retour à la normale désespérément long, mou et mal branlé, avec des trafiquants de drogue (dont un Ray Liotta tout bouffi avec sa coupe au carré...oui, il aura donc fini sa carrière comme ça) dont on n'a que foutre, des petits gamins plus malins que tout le monde donc insupportables, et évidemment le petit moment de "FEMALE EMPOWERMENT" bien lourdaud, parce que c'est aujourd'hui un prérequis dans tout bon film hollywoodien qui se respecte.

Je vais le dire comme je le pense : les gens qui vont s'amuser devant ce machin sont forcément de tristes sirs (ou des enfants de 12 ans et demi).
Bref. Si vous pensiez voir du fun : fuyez.

Et merdeeeuuu ! N'ayant pas vu grand chose dernièrement en salle (malgré les retours plus qu'enthousiastes ici pour The Fabelmans, je n'arrive pas à me motiver et pareil, The Whale j'ai de moins en moins envie de tenter le coup après l'expérience Mother!), je me disais justement que j'allais enfin pouvoir me faire un film un peu fun cette semaine. Bon après je peux toujours aller vérifier si c'est aussi mauvais que ça (je ne savais pas que c'était la réal' qui était responsable du reboot tout moisi de Charlie's Angels, ça déclenche du coup un gros signal d'alerte) mais vu que ta mise en garde concernant Project Wolf Hunting s'est vérifiée, la voix de la raison aurait tendance à me dire de ne pas répéter la même connerie

[tenia]

Qui l'eut cru lustrucru, encore un film vendu comme par certains aux US comme le sauveur Hollywood de la dèche imaginaire, et en fait c'est juste un DTV friqué supra chiant.

[Spongebob]

Cocaine Bear : 3/10

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Bon dieu ce que je peux détester ce genre de films. Ça aimerait tellement être un nanar délirant, ça force de tous les côtés avec son pitch trop lol ("Alors voilà, c'est l'histoire d'un ours qui a sniffé trop de coke et qui du coup fout le bordel dans une forêt ! Hihihi !...et en plus, c'est basé sur une histoire vraie !") et ses comédiens en roue libre (à quel moment les faiseurs de comédies US contemporaines vont comprendre que ça ne sert à rien de parler TOUT LE FUCKING TEMPS ??), tout ça pour un résultat totalement inverse : on obtient un produit très peu drôle, très peu gore (la majorité des plans sanglants est hors-champ), parfaitement conscient de lui-même et persuadé d'être extrêmement malin. Soit le pire genre de films.

Formellement, c'est la dèche totale tant la mise en scène est d'une pauvreté à pleurer, n'exploitant jamais la débilité potentielle du projet. Je sauverais juste la séquence de l'ambulance, où l'on sent que Banks a enfin saisi dans quelle direction il fallait que son film parte...avant un retour à la normale désespérément long, mou et mal branlé, avec des trafiquants de drogue (dont un Ray Liotta tout bouffi avec sa coupe au carré...oui, il aura donc fini sa carrière comme ça) dont on n'a que foutre, des petits gamins plus malins que tout le monde donc insupportables, et évidemment le petit moment de "FEMALE EMPOWERMENT" bien lourdaud, parce que c'est aujourd'hui un prérequis dans tout bon film hollywoodien qui se respecte.

Je vais le dire comme je le pense : les gens qui vont s'amuser devant ce machin sont forcément de tristes sirs (ou des enfants de 12 ans et demi).
Bref. Si vous pensiez voir du fun : fuyez.

"par Flol » mer. mars 15, 2023 10:34 am"

Tu t'es levé aux aurores pour aller voir ce truc ?

[Watkinssien]

Cocaine Bear = 0.5/10...

Scream VI = 3/10...

[Flol]

Tu t'es levé aux aurores pour aller voir ce truc ?

Je connais l'ouvreuse.

[tchi-tcha]

Tu t'es levé aux aurores pour aller voir ce truc ?

Je connais l'ouvreuse.

Quand Flol dit qu'il connaît des gens dans le milieu du cinéma, il ne plaisante pas

[tenia]

En fait, Flol, c'est Simon Jérémi.

[zemat]

Et merdeeeuuu ! N'ayant pas vu grand chose dernièrement en salle (malgré les retours plus qu'enthousiastes ici pour The Fabelmans, je n'arrive pas à me motiver et pareil, The Whale j'ai de moins en moins envie de tenter le coup après l'expérience Mother!)(...)

Honnêtement "mother!" fut un supplice, "The Whale" n'a absolument rien à voir.