Commentaires à propos de votre film du mois

[Papus]

Bon, bah arrêté au bout d'une 1h, après la castagne entre frangins. Ça m'a gonflé.

Un copain que j'avais invité à diner avait apporté le dvd Wild Side du film pour qu'on se le mate après le repas. C'était en 2004, ce qui veut dire que j'étais encore dans l'émerveillement de découvrir ou redécouvrir des tas de films dans de belles copies comme on avait l'impression d'en avoir jamais vu sur un écran TV (émerveillement que je sais entretenir mais qui était encore frais et nouveau à l'époque).
Je ne devrais pas le dire mais j'avoue avoir vu Keoma complètement bourré, mais dans un registre euphorique, pas du tout somnolent et j'avais bien halluciné.
Par contre, je n'ai rien capté à ce qui se passait.

Ah bon pourquoi ? C'est genre "irrespectueux envers une oeuvre de l'aborder sans les pleins moyens de ses capacités"?
En tout cas ouais je comprends pourquoi t'as dû halluciner. Visuellement c'est pas mal, et encore il me manque 40 minutes de métrage donc j'ai pas tout vu mais justement ça avait l'air de monter crescendo (j'ai fais des avances rapides pour voir ce que j'allais rater).
Mais cette foutue Castafiore, même si l'arrangement est super, c'est pas possible.
Franco Nero avec sa tignasse et son haut de pyj crado laissant apparaître son torse poilu dans une volonté de classe déglingue j'ai pas adhéré, j'y arrive avec Terrence Hill dans les Trinita pourtant mais là je sais pas, ça a pas pris. Y a même Woody Strode sur le papier le film a plein de trucs pour me plaire mais non.
Enfin je retenterais un jour, j'étais peut être pas dans les bonnes dispos.
Faudrait que je le revois bourré ptêtre

[Jeremy Fox]

Et bien, pareil pour moi !

pareil pour moi !

Carton plein pour ce film de Heynemann !

[Alexandre Angel]

Ah bon pourquoi ? C'est genre "irrespectueux envers une oeuvre de l'aborder sans les pleins moyens de ses capacités"?

C'est surtout irrespectueux vis-à-vis de soi-même. Et puis on ne publicise pas l'alcoolisation sur un forum.
Je vais te dire un truc : j'ai eu plein de bons moments d'état éthylique devant des films, toujours en humeur d'euphorie et il fallait que ce soit devant un certain type de films. Maintenant c'est fini. Passé l'âge. On perd évidemment du sens et autant choisir le chemin le plus direct entre soi et l'œuvre.

[Papus]

Je sais pas si on en perd, je vois ça comme "aborder les choses sous un autre angle", dés lors que le spectateur s'approprie une oeuvre en la regardant, l'objet échappe quoiqu'il arrive à son créateur puisque sujet à l'interprétation de l'autre. Le sens d'un film est aussi pluriel que la somme des gens qui le regardent et qui ont chacun une réalité singulière.
Bien sûr on s'accorde, on se rend bien compte qu'il peu y avoir sens commun. Mais quelqu'un qui ramène justement une expérience d'un visionnage passé au crible d'un regard différent, qu'il soit enivré ou non, m'intéresse toujours. Et je trouve dommage d'y voir publicisation et de regretter de ne pas s'être censuré.
Enfin, je comprends ce que tu veux dire hein, et le respecte

[Papus]

Encore une tarte hier avec Caché de Haneke. Réussir à traiter du post colonialisme algérien au travers de ce drame familial qui nous embarque dans une ambiance oxygène dont seul Haneke a le secret, c'est très très fort. Excellents Auteuil et Binoche, grandiose Maurice Bénichou.
Le genre de film qui nous hante.

[Boubakar]

Mon classement des films du mois :

1 - Babylon (Damien Chazelle)



2 - Julie (en 12 chapitres) (Joachim Trier)



3 - Cris et chuchotements (Ingmar Bergman)



4 - Jeux d'été (Ingmar Bergman)



5 - Haut les coeurs ! (Solveig Anspach)

[Beule]

Janvier 2023

Énorme coup de cœur du mois pour Red Dust, production taïwano-hongkongaise de Yim Ho (qui se met d'ailleurs en scène puisqu'il y tient le rôle du petit-ami de Maggie Cheung). À vrai dire, coup de cœur en deux temps puisque je ne l'ai d'abord découvert que par le biais d'une copie recadrée et largement défraîchie, en cela conforme à ce que proposait le vieux DVD HK. C'était suffisant pour appréhender d'emblée l'intelligence de l'écriture, et en particulier l'efficacité de son va-et-vient aussi métronomique que discret entre le vécu de son héroïne et l'imaginaire littéraire qu'il nourrit par bribes tantôt enjouées, tantôt ténébreuses ; pour soupçonner même les brillantes trouvailles du découpage permettant de fluidifier cette articulation narrative audacieuse, a priori si susceptible de diluer la fibre romanesque du récit. Mais il m'aura fallu mettre la main sur une inespérée copie HD (light) pour me laisser enfin ensorceler par sa splendeur racée et gracile, atypique pour une fresque sur fond d'occupation et de collaboration mais qui fait corps avec la prestation à fleur de peau d'une inattendue Brigitte Lin. Resserrée (le film dure à peine plus d'1h30) mais d'une fluidité imparable, regorgeant d'idées de mise en scène et de montage qui sont un constant pied de nez à l'académisme sclérosant régulièrement ce genre de productions, exempte de tout manichéisme dans son propos, somptueusement éclairée et portée par une interprétation de très grande classe (palpable et merveilleuse connivence des deux amies Brigitte Lin et Maggie Cheung dans toutes les séquences qu'elles partagent), que voilà une fresque intimiste de la plus belle eau.
À ce jour sans conteste l'un de mes films "chinois" préférés. Si Spectrum ou un autre éditeur pouvait se pencher sur son cas, maintenant que le film a été restauré...
Par ailleurs, si les connaisseurs du cinéma HK ont d'autre films de Yim Ho à conseiller, je suis preneur.

• La crème du mois:

RED DUST (Yim Ho - 1990)
- Film du mois -


KARNAL (Marilou Diaz-Abaya - 1983)


LÉGER COMME UN COUP DE VENT (Yôji Yamada - 1968)


NOMAD (Patrick Tam - 1982)


THE SOONG SISTERS (Mabel Cheung - 1997)

• Les autres découvertes remarquables:

Spoiler (cliquez pour afficher)

A SPECK IN THE WATER (Ishmael Bernal - 1976)


LE CRIME DE GIOVANNI EPISCOPO (Alberto Lattuada - 1947)


HAPPY END (Oldrich Lipsky - 1967)


BORIS GODOUNOV (Andrzej Zulawski - 1989)

[Profondo Rosso]

Janvier 2023

Énorme coup de cœur du mois pour Red Dust, production taïwano-hongkongaise de Yim Ho (qui se met d'ailleurs en scène puisqu'il y tient le rôle du petit-ami de Maggie Cheung). À vrai dire, coup de cœur en deux temps puisque je ne l'ai d'abord découvert que par le biais d'une copie recadrée et largement défraîchie, en cela conforme à ce que proposait le vieux DVD HK. C'était suffisant pour appréhender d'emblée l'intelligence de l'écriture, et en particulier l'efficacité de son va-et-vient aussi métronomique que discret entre le vécu de son héroïne et l'imaginaire littéraire qu'il nourrit par bribes tantôt enjouées, tantôt ténébreuses ; pour soupçonner même les brillantes trouvailles du découpage permettant de fluidifier cette articulation narrative audacieuse, a priori si susceptible de diluer la fibre romanesque du récit. Mais il m'aura fallu mettre la main sur une inespérée copie HD (light) pour me laisser enfin ensorceler par sa splendeur racée et gracile, atypique pour une fresque sur fond d'occupation et de collaboration mais qui fait corps avec la prestation à fleur de peau d'une inattendue Brigitte Lin. Resserrée (le film dure à peine plus d'1h30) mais d'une fluidité imparable, regorgeant d'idées de mise en scène et de montage qui sont un constant pied de nez à l'académisme sclérosant régulièrement ce genre de productions, exempte de tout manichéisme dans son propos, somptueusement éclairée et portée par une interprétation de très grande classe (palpable et merveilleuse connivence des deux amies Brigitte Lin et Maggie Cheung dans toutes les séquences qu'elles partagent), que voilà une fresque intimiste de la plus belle eau.
À ce jour sans conteste l'un de mes films "chinois" préférés. Si Spectrum ou un autre éditeur pouvait se pencher sur son cas, maintenant que le film a été restauré...
Par ailleurs, si les connaisseurs du cinéma HK ont d'autre films de Yim Ho à conseiller, je suis preneur.

• La crème du mois:

RED DUST (Yim Ho - 1990)
- Film du mois -


NOMAD (Patrick Tam - 1982)


THE SOONG SISTERS (Mabel Cheung - 1997)

Très beau mois HK que tu t'es fait avec ceux-là. J'aime beaucoup Red Dust aussi (même parcours que toi vu et adoré dans une copie dégueux il y a quelques années et redécouvert avec ce fichier restauré HD), c'est le seul Yim Ho que j'ai vu aussi donc je ne pourrais pas t'en recommander d'autres sorry

Sinon pour moi ça donne ça

Film du mois

Babylon de Damien Chazelle



2 La Proie de l'homme de Hideo Gosha



3 Paris, Texas de Wim Wenders



4 Haru de Yoshimitsu Morita



5 La Foire des ténèbres de Jack Clayton



6 Yokihiro, le royaume des geisha de Hideo Gosha



Et mention spéciale pour La Main de Wong Kar Wai, exceptionnel troisième sketch du film collectif Eros.

[Flavia]

Top 3 de Janvier



La Ciociara (1960 - Vittorio De Sica)



L'année dernière à Marienbad (1961 - Alain Resnais)



Ténor (2022 - Claude Zidi Jr.)

[cinéfile]

TOP JANVIER 2023

TOP DECOUVERTES :

Atlantic City (Malle, 1980)

Spoiler (cliquez pour afficher)

La mujer del ministro (E. De La Iglesia, 1981)

Spoiler (cliquez pour afficher)

Contes du hasard et autres fantaisies (Hamaguchi, 2022)

Spoiler (cliquez pour afficher)

125, rue Montmartre (Grangier, 1959)

Spoiler (cliquez pour afficher)

La Mort de Belle (Molinaro, 1961)

Spoiler (cliquez pour afficher)

MENTIONS HONORABLES :

Mademoiselle (Lioret, 2001)

Spoiler (cliquez pour afficher)

La muchacha de las bragas de oro (Aranda, 1980)

Spoiler (cliquez pour afficher)

TOP REVISION :

Le Souffle au Coeur (Malle, 1971)

Spoiler (cliquez pour afficher)

[Flol]

Je ne sais pas ce que Castellari avait bouffé à ce moment-là, mais c’était de la bonne.

Sous la vidéo, il y a un commentaire typique de ce que je déteste le plus :
"Je sais pas ou il achète sa cam le mec qu'à réalisé le film, mais à priori c'est de la super bonne ! ! !"

Attention Flol.

Alors oui mais alors non, ce n'est pas du tout utilisé dans le même sens, là.
Explication de texte :
Ce qui m'énerve, c'est lorsque les gens disent ça dès qu'ils tombent sur un objet filmique un peu étrange, qui les sort de leurs charentaises bien confortables.
Tandis que moi, je l'utilisais dans le sens où Castellari ne m'avait jusqu'à présent pas trop habitué à ce genre de films aussi impressionnants.
Mais bon...il n'empêche que...

Bon, bah arrêté au bout d'une 1h, après la castagne entre frangins. Ça m'a gonflé.

...je suis meurtri.
Pour la peine, je développe un peu plus mon avis (puisque ça reste quand même mon film du mois, et probablement un de mes tops 5 de 2023, je l'annonce) :

Spoiler (cliquez pour afficher)

Alors je ne sais pas ce qu'avait bouffé Castellari au moment de s'attaquer à ce film, mais ça devait être de la bonne. Parce que réussir un tel sommet du western spaghetti, alors que le genre était pourtant quasi mort et enterré depuis quelques années, c'est un bel exploit.

Et alors je ne sais pas ce qui s'est passé chez Castellari, mais je n'avais encore jamais vu chez lui une telle recherche formelle de tous les instants. C'est bien simple : il y a une idée (minimum) par plan. Et quand en plus, la majorité de ces idées consiste à iconiser à mort son personnage principal (immense Franco Nero, tout en regard minéral et choucroute sur la tête), c'est véritablement un régal de chaque instant.

Tout y est dément, du début à la fin c'est un festival d'inventivité formelle et de paysages écrasants de beauté. Il y a ici une recherche et un sens du cadre qui m'ont laissé sur le cul. Et puis comme d'habitude chez Castellari, AKA le Peckinpah transalpin, on y trouve ces ralentis magnifiques, donnant à ses séquences de violences des allures de ballets sanglants, quasi opératiques.
On n'oublie pas non plus cette BO assez incroyable, car outre le score composé par les frères De Angelis, on y entend régulièrement une chanson aux paroles aussi illustratives que sombres et désespérées, et qui agit ici telle une sorte de choeur antique, commentant les actions des personnages et anticipant leur sombre destinée.

Et puis rien que le titre claque comme un coup de fouet : KEOMA ! Non vraiment, j'adore tout dans ce film. À un tel point que je pense carrément me faire la même tête que Franco Nero.

[John Holden]

Janvier 2023

Énorme coup de cœur du mois pour Red Dust, production taïwano-hongkongaise de Yim Ho (qui se met d'ailleurs en scène puisqu'il y tient le rôle du petit-ami de Maggie Cheung). À vrai dire, coup de cœur en deux temps puisque je ne l'ai d'abord découvert que par le biais d'une copie recadrée et largement défraîchie, en cela conforme à ce que proposait le vieux DVD HK. C'était suffisant pour appréhender d'emblée l'intelligence de l'écriture, et en particulier l'efficacité de son va-et-vient aussi métronomique que discret entre le vécu de son héroïne et l'imaginaire littéraire qu'il nourrit par bribes tantôt enjouées, tantôt ténébreuses ; pour soupçonner même les brillantes trouvailles du découpage permettant de fluidifier cette articulation narrative audacieuse, a priori si susceptible de diluer la fibre romanesque du récit. Mais il m'aura fallu mettre la main sur une inespérée copie HD (light) pour me laisser enfin ensorceler par sa splendeur racée et gracile, atypique pour une fresque sur fond d'occupation et de collaboration mais qui fait corps avec la prestation à fleur de peau d'une inattendue Brigitte Lin. Resserrée (le film dure à peine plus d'1h30) mais d'une fluidité imparable, regorgeant d'idées de mise en scène et de montage qui sont un constant pied de nez à l'académisme sclérosant régulièrement ce genre de productions, exempte de tout manichéisme dans son propos, somptueusement éclairée et portée par une interprétation de très grande classe (palpable et merveilleuse connivence des deux amies Brigitte Lin et Maggie Cheung dans toutes les séquences qu'elles partagent), que voilà une fresque intimiste de la plus belle eau.
À ce jour sans conteste l'un de mes films "chinois" préférés. Si Spectrum ou un autre éditeur pouvait se pencher sur son cas, maintenant que le film a été restauré...
Par ailleurs, si les connaisseurs du cinéma HK ont d'autre films de Yim Ho à conseiller, je suis preneur.

[MJ]

1. Association criminelle (Joseph H. Lewis)



2. The Salvation Hunters (Josef von Sternberg)



3. The Last Command (Josef von Sternberg)



4. Le Démon des armes (Joseph H. Lewis)



5. Guilty of Romance (Sono Sion)

[Jeremy Fox]

41 films, 5 coups de cœur dont le magnifique film d'espionnage de Laurent Heynemann survolant le tout.













Le résumé

* Fenêtre sur cour (Rear Window) : Alfred Hitchcock 1954 : 9/10

* Le Convoi des Braves (Wagonmaster) : John Ford 1950 : 8.5/10
* Sueurs froides (Vertigo) : Alfred Hitchcock 1958 : 8.5/10
* Il faut tuer Birgitt Haas : Laurent Heynemann 1981 : 8.5/10

* L'Homme aux colts d'or (Warlock) : Edward Dmytryk 1959 : 7.5/10
* Outrages (Casualties of War) : Brian De Palma 1989 : 7.5/10
* Smoking : Alain resnais 1993 : 7.5/10
* No Smoking : Alain resnais 1993 : 7.5/10
* C.R.A.Z.Y. : Jean-Marc Vallée 2005 : 7.5/10
* Quai d'Orsay : Bertrand Tavernier 2013 : 7.5/10

* Cinquième colonne (Saboteur) : Alfred Hitchcock 1942 : 7/10
* L'amour avec des si : Claude Lelouch 1962 : 7/10
* Pas de printemps pour Marnie (Marnie) : Alfred Hitchcock 1964 : 7/10
* Phantom of the Paradise : Brian De Palma 1974 : 7/10
* La Guerre des polices : Robin Davis 1979 : 7/10
* L'Impasse (Carlito's Way) : Brian De Palma 1993 : 7/10
* Love, etc. : Marion Vernoux 1996 : 7/10
* Drôles de dames saison 4 : 7/10

* Bigamie (The Bigamist) : Ida Lupino 1953 : 6.5/10
* Six chevaux dans la plaine (Six Black Horses) : Harry Keller 1962 : 6.5/10
* Grégoire Moulin contre l'humanité : Artus de Penguern 2001 : 6.5/10

* Voyage à deux (Two for the Road) : Stanley Donen 1967 : 6/10
* La Guerre des étoiles (Star Wars) : George Lucas 1977 : 6/10
* Sauve qui peut (la vie) : Jean-Luc Godard 1979 : 6/10
* Haut les cœurs ! : Sólveig Anspach 1999 : 6/10
* Contes du hasard et autres fantaisies (Gūzen to sōzō?) : Ryūsuke Hamaguchi 2021 : 6/10

* Le Signe de Zorro (The Mark of Zorro) : Rouben Mamoulian 1940 : 5.5/10
* Par-dessus les moulins (La bella mugnaia) : Mario Camerini 1955 : 5.5/10
* Drôle de frimousse (Funny Face) : Stanley Donen 1957 : 5.5/10
* Les Sept chemins du couchant (Seven Ways from Sundown) : Harry Keller 1960 : 5.5/10
* Gorky Park : Michael Apted 1983 : 5.5/10

* Arènes sanglantes (Blood and Sand) : Rouben Mamoulian : 5/10

* L'Emmerdeur : Edouard Molinaro 1973 : 4.5/10
* Undercover, une histoire vraie (White Boy Rick) : Yann Demange 2018 : 4.5/10
* White Noise : Noah Baumbach 2022 : 4.5/10

* Tammy tell me truth : Harry Keller 1961 : 4/10
* Mystery Train : Jim Jarmusch 1989 : 4/10
* La Nouvelle Eve : Catherine Corsini 1999 : 4/10
* Les Banshees d'Inisherin : Martin McDonagh 2022 : 4/10

* Emmène moi : Michel Spinosa 1995 : 3/10
* Le Dernier Train pour Frisco (One More Train to Rob) : Andrew V. McLaglen 1971 : 3/10

* La Vieille qui marchait dans la mer : Laurent Heynemann 1991 : 1.5/10

[The Eye Of Doom]

1. Association criminelle (Joseph H. Lewis)



2. The Salvation Hunters (Josef von Sternberg)



3. The Last Command (Josef von Sternberg)



4. Le Démon des armes (Joseph H. Lewis)



5. Guilty of Romance (Sono Sion)

Waou… ! Des decouvertes ou des revoyures ?
Je me rejouie bien sur particulièrement pour les deux Sternberg bien sur. Quoique The big combo et Guilty of Romance est aussi leurs charmes (pas les memes ! )