Alibabass a écrit : ↑25 oct. 22, 11:42
En tout cas, EO, tout comme
Il Buco, recèle une chose précieuse au cinéma : la politiques des regards, celle imaginatif et lucide au service du cinéma, au contraire de celui, anecdotique, de
Sans Filtre.
La phrase n'est pas entièrement claire mais je crois comprendre l'idée.

Personnellement j'ai été un petit peu déçue par
EO : les critiques de la presse sont trop bonnes, créant des attentes difficiles à satisfaire ; de plus j'ai revu
Au hasard Balthazar la veille pour "réviser" et la comparaison avec un tel chef-d'œuvre est forcément rude... Je me suis quand même prise au jeu au bout d'une bonne moitié du film, et de mémoire j'ai donné 6,5/10 - alors que j'avais donné 8 ou 9 à
Il Buco, qui m'avait sidérée d'autant plus que, cette fois, je n'avais pas un horizon d'attente particulièrement haut. En tout cas la comparaison avec les films de Frammartino me semble pertinente,
Le quattro volte surtout.