Classement des sorties Cinéma/VOD/DTV 2022 [clos]

[Brody]

Athena (Romain Gavras) : 4/10

[-magik-]

J’adore ce que vous faites : 4/10
Bullet train : 4,5/10
Bruno Reidal : 6/10
Les Passagers de la nuit : 7,5/10
Un autre monde : 9/10

[Outerlimits]

Don't worry darling : 6,5/10

[Bogus]

Les enfants des autres 6,5/10

[Karras]

The Exorcism of God (VOD) (3/10)

[Ballard73]

Sans filtre : 7,5 / 10
Au delà du message politique caricatural, j'ai pris un vrai plaisir en salle, et à en juger par les rires/gloussements des autres spectateurs, je n'étais pas le seul. L'humour du film vient d'ailleurs beaucoup du montage et de la mise en scène, je ne sais pas si la palme d'or est justifiée, mais en tous cas elle me paraît bien moins incompréhensible que celle de Ducournau l"année précédente.

[origan42]

Vous ne désirez que moi : 6/10

[Jack Burns]

Petite solange 7/10

[Sigur-Cinéma]

Smile (Finn) : 2/10
X (West) : 7/10 (sortie le 2 novembre)

[-magik-]

Mad god : 5/10

[santiago]

Don’t worry darling : 5/10

[tchi-tcha]

Don't Worry Darling (Olivia Wilde) 6/10
(Même si je ne l'avais pas grillé dès la bande-annonce (wé, ch'suis fortiche), le twist de Don't Worry Darling est facile à éventer. La vraie surprise est ailleurs : je n'aurais jamais cru que la fille qui jouait Numéro Treize dans Dr House et se foutait à poil dans tous les trucs pas terribles qu'elle a fait ensuite s'affirmerait comme une jeune réalisatrice aussi ambitieuse. Si elle possède déjà la maîtrise technique, il lui reste encore à gagner en souplesse et en subtilité. La dernière ligne droite du film s'emballe et perd l'équilibre - il est symptomatique que ce soit Olivia Wilde elle-même qui incarne la voisine venant à l'arrache expliquer à toute vitesse à l'héroïne les règles du jeu (pour littéralement l'éveiller à la prise de conscience de la masculinité toxique de l'environnement dans lequel elle baigne).
Une autre surprise, vous le saviez, vous, que Harry Styles pouvait être bon comédien ? Ben moi pas. Par contre Chris Pine* reste à chier, heureusement il y a tout de même certaines choses qui ne changent pas.)

* Vous n'imaginez pas à quel point j'ai du mal à me retenir de dire que cette grosse tête de bite de Chris Pine joue comme un gland, mouarf mouarf mouarf trop LOL.

[joe-ernst]

Triangle of Sadness, de Ruben Oestlund : 7,5/10

[ShadowOfAngelus]

Escape From Mogadishu : 6.5/10

Pas encore listé : https://www.allocine.fr/film/fichefilm_ ... 93232.html

Quelques petits mots dessus, c'est possible ? (je pensais que tu l'avais vu via les dimanches en Corée organisé par le cinéma Publicis mais c'est le week-end prochain qu'il est programmé, je n'ai donc pas zappé l'évènement, ouf !).

Oulà, désolé pour le délai, je m'étais pas connecté depuis un moment et j'ai juste lu en diagonale hors connexion.

J'en attendais rien / n'en savais rien, ça a été un blind buy total ==> Il était rangé à côté de " The Innocents" que je voulais prendre et j'ai vu que c'était le même éditeur que je ne connaissais pas du tout... et que la note moyenne sur senscritique était plutôt très bonne, je me suis dis allez, on va prendre les deux ^^!
Au final, après visionnage, j'ai trouvé ça bien, et si le résultat de la scène d'action finale m'avais paru plus cohérent/réaliste, j'aurais mis 7.

Le tournage en "décor naturel" est sympa, on a une belle photo de jour comme de nuit. Ça fait du bien de ne pas avoir du full CGI comme dans de très nombreux films occidentaux actuels.
J'ai trouvé dommage qu'on ne s’intéresse pas vraiment au point de vue Somalien mais je pense pas que c'était le but du réalisateur.
Les rares scènes d'actions sont bien fichues.
La petite phase comédie d'espionnage du début fonctionne bien selon moi.
Le moment "rassemblement" des 2 ambassades fonctionne moins bien, à aucun moment j'y ait cru, ça sonne faux.
Ça me donnerait presque envie de revoir Battleship Island que j'ai complètement oublié ^^ (bon, j'ai du le voir fatigué et en VF, ça a pas aidé).

Et pour rester dans le thème du topic:
The Innocents : 7/10

[TheGentlemanBat]

Don't Worry Darling : 6/10

Après des prémices plutôt engageantes, ou tout du moins un début de film qui suscite une certaine curiosité, l'intérêt se délite pas mal au bout d'une petite heure. Comme le dit tchi-tcha, il est en effet assez facile de deviner où va nous mener cette histoire digne d'un épisode trop long de Black Mirror meets Mad Men. J'aurais d'ailleurs juré que la BO, qui de singulière finit par devenir un peu trop sursignifiante (dans le genre on sort l'artillerie lourde, le final se pose là), était l'oeuvre de Cristobal Tapia De Veer, aux commandes (entre autres) justement de celle de l'épisode Black Museum de la saison 4 de BM. Et sinon j'ai beau bien aimer Florence Pugh d'ordinaire, là j'avoue que sur la longueur j'ai un peu saturé à force de l'entendre pleurer/geindre/hurler quasiment non-stop pendant la dernière demie heure.

Sans filtre / Triangle of Sadness : 7/10

Pas complètement embarqué par le nouveau bébé de Ruben Östlund qui m'avait davantage conquis avec The Square. Si la scène du casting servant de prologue au film est une très jolie entrée en matière et donne immédiatement le "La" de cette satire brocardant, entre autres, la vacuité de notre époque, la suite s'en s'avérer véritablement décevante génère un enthousiasme fluctuant je dirais. J'ai eu beau me régaler ainsi de certaines situations/dialogues durant la partie centrale sur le yatch (le fameux dîner mouvementé avec ses vomissements en cascade et son débordement de caca qui sonne le chaos à bord est marrant au début mais perd progressivement de son attrait du fait de sa durée un peu excessive je trouve), c'est surtout le dernier acte sur l'île où les rapports entre le petit personnel et les nantis sont inversés qui, malgré une fin trop abrupte, m'a finalement le plus plu je crois et a permis in fine au métrage d'atteindre cette note.

Petite demande autrement : le revisionnage ayant porté ses fruits, est-ce que tu pourrais Karras faire passer ma note de The Northman de 7.5 (de mémoire) à 8 ? Merci d'avance.

PS : même si décalé, merci pour le retour ShadowOfAngelus