Shin Cyberlapinou a écrit : ↑11 sept. 22, 08:59Cyril Hanouna ce grand leader d'opinion a qualifié la réalisatrice d'imbécile et d'irresponsable, nul doute que ça a ouvert les vannes pour certaines critiques assassines d'usagers accusant le film "d'encourager chez les jeunes des pratiques illégales et dangereuses" (j'ai été allé vérifier) alors que ça reste un petit film d'auteur appelé à connaître un succès relativement confidentiel.
Le rodéo urbain : le sujet qui agite et divise la France en 2022.
Il va faire froid cet hiver.
"Personne ici ne prend MJ ou GTO par exemple pour des spectateurs de blockbusters moyennement cultivés." Strum
Tina Quintero a écrit : ↑10 sept. 22, 13:19
* C'est la première fois que je lis ce bandeau sur AlloCiné : « AVERTISSEMENT - Nous invitons les spectateurs à noter et/ou commenter le film pour ce qu'il est et pour son contenu réel et objectif, et pas sur des a priori ni dans une volonté de dégrader sa note, ni pour alimenter une polémique hors cinéma. » (https://www.allocine.fr/film/fichefilm_ ... 98736.html)
Cyril Hanouna ce grand leader d'opinion a qualifié la réalisatrice d'imbécile et d'irresponsable, nul doute que ça a ouvert les vannes pour certaines critiques assassines d'usagers accusant le film "d'encourager chez les jeunes des pratiques illégales et dangereuses" (j'ai été allé vérifier) alors que ça reste un petit film d'auteur appelé à connaître un succès relativement confidentiel. Du review bombing classique que je vois tout à fait revenir au prochain métrage vaguement polémique, que ce soit en tant qu'oeuvre de facho zemmouriste ou étron de "gauchiasse" vendu à l'idéologie LGBT. Et je vois tout à fait Allociné continuer à balancer des disclaimers-modes d'emploi pour calmer le jeu et/ou apaiser des producteurs qui doivent l'avoir mauvaise.
Si seulement il en avait fait autant pour cette honte qu’est le film Les Segpa (qui stigmatise bien comme il faut des élèves qui n’ont pas besoin de ça pour être déjà montrés du doigt). Ah bah non il ne pouvait pas, c’est lui qui le produisait…
Spongebob a écrit : ↑9 sept. 22, 10:13Everything everywhere all at once : 6/10
On ne peut pas retirer au film son audace et son originalité mais le trop plein et le rythme épileptique ont rapidement eu raison de mon intérêt.
Pas mieux Everything everywhere all at once : 6/10
C'est d'autant plus frustrant que j'y allais avec enthousiasme et rapidement l'ennui est arrivé. Trop long pour ce que c'est avec un étirement trop fréquent des bonnes idées (les pierres). Mais c'est quand même drôle et original. Un bon one shot!
Shin Cyberlapinou a écrit : ↑11 sept. 22, 08:59Cyril Hanouna ce grand leader d'opinion a qualifié la réalisatrice d'imbécile et d'irresponsable, nul doute que ça a ouvert les vannes pour certaines critiques assassines d'usagers accusant le film "d'encourager chez les jeunes des pratiques illégales et dangereuses" (j'ai été allé vérifier) alors que ça reste un petit film d'auteur appelé à connaître un succès relativement confidentiel.
Le rodéo urbain : le sujet qui agite et divise la France en 2022.
Il va faire froid cet hiver.
Et il n'y aura plus de pétrole ou d'électricité pour faire tourner les engins, donc les rodéos se feront de nouveau à l'ancienne. Veuillez applaudir le grand retour de Jolly Jumper !
Kompromat 6,5/10
Je ne connaissais pas cette histoire,les moyens déployés par le FSB pour un seul homme sont impressionnants en regard de ce qu'il aurait commis;niveau crédibilité il n'y a qu'une scène qui m'a dérangé,sans spoiler:le gars a le FSB à ses trousses mais trouve le temps de tirer son coup
Revoir Paris 5,5/10
Trop scolaire, trop écrit, trop joué, bref laborieux, souvent lourdingue. Reste quand même parfois intéressant sur le thème de la mémoire, et j'ai trouvé la dernière scène émouvante.
L'Amour c’est mieux que la vie
Les lecons persannes
Municipale
White Snake
I want you back
Maison de Retraite
Blacklight
Soy Libre
Kung-Fu Zohra
Murder Party
Black Crab
Icare
Mad God
Le Monde après nous
Les Sans-dents
Sentinelle sud
Le Roi cerf
La Ruche
En décalage (Tres)
Dodo
Esther 2 : Les Origines
Le Visiteur du futur
Quel ennui. Le début fait illusion, avec cette dilatation temporelle à la Interstellar qui apporte une mélancolie bienvenue et rappelant celle de la fantastique intro de Up.
Pour le reste : on sent que Pixar est en pilotage automatique avec un manque flagrant d'imagination. On nage en terrain connu du début à la fin, que ce soit l'univers dépeint ou les personnages tous hyper caricaturaux (l'équipe de bras cassés évidemment maladroite au début, mais évidemment courageuse et évidemment efficace à la fin).
Sans oublier le petit chat robot. Déjà, faut arrêter avec les chats dans les films d'animation. C'est une facilité qui commence sérieusement à me gonfler, un truc opportuniste et rarement drôle tout juste bon à faire fondre automatiquement les amateurs de félins - et ils sont (trop) nombreux.
Et ici, en plus de tout ça, ce petit chat sert régulièrement de Deus Ex Machina bien pratique pour des scénaristes visiblement en galère.
Donc Pixar, à un moment donné va falloir songer à vous bouger le fion. Certes on a eu Soul (inabouti mais indéniablement original), mais en dehors de ça, c'est vraiment devenu une usine à produire des films à la chaîne sans la moindre prise de risque ni inventivité.
Une bonne base, avec du potentiel, mais des pistes finalement peu suivies pour surtout s'intéresser à un drame de chambre. Dommage malgré une forme intéressante et une bonne musique.
"Un film n'est pas une envie de faire pipi" (Cinéphage, août 2021)