Encore un petit caca made in Netflix, où 2-3 scènes d'action un peu sympas pourraient presque faire illusion, mais qui reste gangrené par une écriture catastrophique (Dave Franco le sidekick pas drôle qui sert principalement à exposer LITTÉRALEMENT l'univers du film), un humour super gênant et des effets de mise en scène qui devraient être interdits par la Convention de Genève (les ralentis/accélérés et les persos qui avancent au ralenti en mode badass sur une musique trop badass, en 2022 c'est vraiment plus possible).
Et ce malgré un pitch qui aurait pu s'avérer intéressant, avec sa bureaucratie secrète et ses diverses espèces de vampires...mais tout ça pour nous pondre un énième buddy movie et tous les clichés qui vont avec.
Et je ne parle même pas des vampires qui deviennent instantanément des experts en arts martiaux et en contorsionnisme...
Donc c'est un grand non, Netflix. Encore un.
Last year, Netflix made Night Teeth – in which LA limo drivers were secret vampire slayers combatting a plan by an immortal fiend to take over the city. This year, here’s the premise again (but superficially different): LA pool cleaners are secret vampire slayers combatting a plan by an immortal fiend to take over the city. Both derive from Blade, though the title of this evokes the Russian Night Watch/Day Watch franchise. Of all these similar premises, Day Shift offers the blandest take. It’s too jokey to be scary and too broad to be funny – not content with giving Dave Franco two piss-his-pants scenes, he gets more head-falls-off gags than you can stand
Et pour évoquer Netflix...
Netflix is becoming the new Cannon – remember when they hired in Sylvester Stallone, Christopher Reeve/Superman and others in the 1980s and made bloated, awkward, just-not-as-good-as-even-Carolco nothingy star vehicles with them? Even their occasional art ventures feel like Golan and Globus backing Godard’s King Lear.
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
cinephage a écrit : ↑16 août 22, 17:03
Et pour évoquer Netflix...
Netflix is becoming the new Cannon – remember when they hired in Sylvester Stallone, Christopher Reeve/Superman and others in the 1980s and made bloated, awkward, just-not-as-good-as-even-Carolco nothingy star vehicles with them? Even their occasional art ventures feel like Golan and Globus backing Godard’s King Lear.
Bien vu !
Depuis le début 2022 je n'ai regardé que 17 programmes Netflix (film/série/doc) (en comparaison, j'en ai vu 68 en BR, 46 en salle, 44 sur C+,...) et le seul film de 2022 que j'ai vu à date reste "APOLLO 10 1/2"...
J'ajoute à ma liste les différents "blockbusters Netflix" que je vois passer, mais jamais très motivé d'en lancer un...
cinephage a écrit : ↑16 août 22, 17:03
Et pour évoquer Netflix...
Bien vu !
Depuis le début 2022 je n'ai regardé que 17 programmes Netflix (film/série/doc) (en comparaison, j'en ai vu 68 en BR, 46 en salle, 44 sur C+,...) et le seul film de 2022 que j'ai vu à date reste "APOLLO 10 1/2"...
J'ajoute à ma liste les différents "blockbusters Netflix" que je vois passer, mais jamais très motivé d'en lancer un...
C'est clair que c'est la meilleure description de Netflix vu dernièrement
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
cinephage a écrit : ↑16 août 22, 17:03
Et pour évoquer Netflix...
Netflix is becoming the new Cannon – remember when they hired in Sylvester Stallone, Christopher Reeve/Superman and others in the 1980s and made bloated, awkward, just-not-as-good-as-even-Carolco nothingy star vehicles with them? Even their occasional art ventures feel like Golan and Globus backing Godard’s King Lear.
Effectivement, il a visé juste avec sa comparaison.
Et merci pour le lien vers le site de Kim Newman, je l'aime bien lui (du moins dans ses analyses vidéos, je ne l'ai encore jamais lu).
Elvis 2/10
Boursouflé, mal joué, d’une laideur voisine des derniers Burton, maquillage ridicule (Tom Hanks, atrocement drôle) pour un biopic sans élan, qui se rêve en Amadeus. Bref, du Luhrmann pur jus, l’une des septs plaies de Hollywood.
G.T.O a écrit : ↑16 août 22, 22:13Elvis 2/10
Boursouflé, mal joué, d’une laideur voisine des derniers Burton, maquillage ridicule (Tom Hanks, atrocement drôle) pour un biopic sans élan, qui se rêve en Amadeus. Bref, du Luhrmann pur jus, l’une des septs plaies de Hollywood.
"- Il y avait un noir a Orly, un grand noir avec un loden vert. J'ai préféré un grand blond avec une chaussure noire a un grand noir avec un loden vert
- Dites-moi, mon petit vieux, pour faire de la littérature, attendez la retraite. Bonne appétit."
G.T.O a écrit : ↑16 août 22, 22:13Elvis 2/10
Boursouflé, mal joué, d’une laideur voisine des derniers Burton, maquillage ridicule (Tom Hanks, atrocement drôle) pour un biopic sans élan, qui se rêve en Amadeus. Bref, du Luhrmann pur jus, l’une des septs plaies de Hollywood.
Oui mais lui c'est normal, il a le droit.
Il paraît même qu'à la grande époque du forum, certains s''empressaient de créer un sujet sur un film qu'ils avaient aimé, de peur que ce soit G.T.O qui ouvre un topic pour le descendre