Mosin-Nagant a écrit : ↑25 juin 22, 21:25
Pour l'anecdote, j'ai été obligé d'engueuler 5 p'tits cons qui commençaient à foutre le bordel dans la salle. C'était juste la publicité mais j'ai préféré prendre les devants.
Ouh là, terrain miné!!
Ça m'est arrivé juste avant le West Side Story de Spielberg : deux jeunes beurettes qui parlaient comme si elles étaient chez Mémé. J'ai voulu prendre les devants. Comme elles m'ont mouché , c'est même pas la peine. Elles ne se sont pas laissées faire d'une force, arguant, à juste titre, que c'était les pubs et qu'elles comptaient se taire dès le début du film.
Du coup je ne prendrai plus jamais les devants
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Eh, pour le coup, ça a bien fonctionné : ils se sont calmés direct (j'ai même entendu l'un d'eux chuchoter à son groupe de potes "avec le coup de pression de l'autre, maintenant j'ose plus rien dire lol"). Et la jolie dame qui était installée à coté de moi, deux sièges plus loin, m'a même remercié quand je me suis rassis.
Après, ça peut très souvent mal se passer. C'est pour cette raison qu'il est préconisé d'avertir un employé du cinéma ou un agent de sécurité, si c'est autre chose que des gamins inoffensifs, pour éviter que ça dégénère...
You know my feelings: Every day is a gift. It's just, does it have to be a pair of socks?
Lohmann a écrit : ↑25 juin 22, 19:28Les Travaux et les Jours 7/10. (à voir de préférence après une bonne nuit de sommeil)
Tu as vu les trois à la suite ?
Malheureusement non, parce que j’aurai préféré débuter par une séance en matinée qu’à 14h. Première partie vendredi pm, les deux suivantes hier pm. Et un poil trop fatigué pour ne pas avoir à se battre un peu pour ne pas piquer du nez, il faut dire que le film ne se donne pas facilement, 8h sans quasiment aucune dramaturgie on se demande parfois quel ofni on a sous les yeux. Mais pour moi qui est plutôt moyennement apprécié Memoria et Il Buco, j’ai beaucoup plus été emporté par celui-ci , le travail sur le son n’a rien à envier aux deux autres et les personnages existent plus à mes yeux. A ceux qui auront le courage et le temps pour se lancer dedans, je recommande chaudement.
Respect Lohmann, et respect Capricci qui distribue ce film, il faut avoir la niak de sortir ça aujourd'hui au cinéma.
Question HS : tu as vu Variety de Bette Gordon, une des grandes reprises du cinéma US Indé en ce moment ?
Alibabass a écrit : ↑26 juin 22, 13:57
Respect Lohmann, et respect Capricci qui distribue ce film, il faut avoir la niak de sortir ça aujourd'hui au cinéma.
Question HS : tu as vu Variety de Bette Gordon, une des grandes reprises du cinéma US Indé en ce moment ?
Respect surtout à Capricci
Non pas vu Variety, je passe déjà pas mal de temps dans les salles pour les sorties actuelles, du coup je ne vois que peu de ressortie (ou sortie très tardive comme c’est le cas pour celui-ci).
Les goûts et les couleurs: 7/10 I’m your man: 7,5/10 Coupez!: 7:10 Maigret: 7/10 Red Rocket: 6,5/10 Une jeune fille qui va bien: 6/10 Enquête sur un scandale d’état: 7,5/10 The contractor: 5/10 De nos frères blessés: 6,5/10
Une histoire provisoire : 6.5/10
Même si la réalisation ne m'a pas marquée, j'ai pris du plaisir devant ce film suisse clairement impacté par la pandémie.