
Content de voir que mes conseils en chaînes YouTube sont suivis.

J'en profite pour dire qu'il y a beaucoup de choses intéressantes dans ses autres vidéos.

Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Toujours très intéressant à écouter. Je le rejoins sur presque tout sauf sur ce qu'il dit vers la fin: on ne peut pas faire le même film à 3 millions et à 500 000 euros. En tout cas, pas systématiquement.Dale Cooper a écrit : ↑12 juin 22, 03:10![]()
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J'en profite pour dire qu'il y a beaucoup de choses intéressantes dans ses autres vidéos.![]()
Oui merci, je trouve aussi.
Alors attends, je me suis justement réécouté récemment l'émission consacrée au Hamaguchi, et il ne le dézingue pas vraiment. Au contraire il en dit beaucoup de bien, il a juste quelques bémols, en particulier sur la fin (et ça tombe bien, j'ai les mêmes que lui).Alexandre Angel a écrit : ↑11 juin 22, 20:30 Pour donner des noms, je pensais plus à Drive my car qu'à Shining![]()
Je disais que c'était différent par rapport à Shining.
C'est aussi pour ce détail que je ne partage pas à 100% son avis.
Je ne pense pas qu'il dise que l'on peut faire les mêmes films avec des budgets 10 fois moins important. Juste que l'on peut malgré tout faire des films, bon voir très bons (d'ailleurs mon Top 2 de cette année - Qui a part nous ? et Municipales - n'ont pas du couter bien cher).AtCloseRange a écrit : ↑12 juin 22, 22:10 Toujours très intéressant à écouter. Je le rejoins sur presque tout sauf sur ce qu'il dit vers la fin: on ne peut pas faire le même film à 3 millions et à 500 000 euros. En tout cas, pas systématiquement.
S'il pense qu'on peut faire la Vie d'Adèle ou Van Gogh à ce prix-là...
Dans un monde qui survend en permanence, ça me semble sain.Alexandre Angel a écrit : ↑13 juin 22, 13:31Je disais que c'était différent par rapport à Shining.
Mais il me semblait que ça allait plus loin que quelques bémols. Le film est super jusqu'à un certain point et puis tout d'un coup, patatras, ça ne fonctionne plus. Et là je (moi Bégaudeau) vais vous en faire la démonstration. Je l'ai un peu ressenti comme ça.
C'est exactement ce qui m'avait agacé (pour rebondir sur notre échange plus haut), cette façon, non pas de contrebalancer un peu son enthousiasme ou d'émettre même de sérieuses réserves (ce qui est son droit le plus légitime), mais tout d'un coup, de nous amener à penser, démonstration à l'appui, que Drive my car, c'est pas si bien, en fait.
Le verre à moitié vide l'emporte sur des éléments négatifs qui prennent, pour le coup, une importance disproportionnée.
Oui mais justement ceux qui demandent (nécessairement) plus d'argent ne pourront plus se faire (ou ne se font déjà plus).Lohmann a écrit : ↑13 juin 22, 13:47C'est aussi pour ce détail que je ne partage pas à 100% son avis.![]()
Je ne pense pas qu'il dise que l'on peut faire les mêmes films avec des budgets 10 fois moins important. Juste que l'on peut malgré tout faire des films, bon voir très bons (d'ailleurs mon Top 2 de cette année - Qui a part nous ? et Municipales - n'ont pas du couter bien cher).AtCloseRange a écrit : ↑12 juin 22, 22:10 Toujours très intéressant à écouter. Je le rejoins sur presque tout sauf sur ce qu'il dit vers la fin: on ne peut pas faire le même film à 3 millions et à 500 000 euros. En tout cas, pas systématiquement.
S'il pense qu'on peut faire la Vie d'Adèle ou Van Gogh à ce prix-là...
Pleurer sur ce qui a été mais n'est/ne sera plus possible n'est sain pour personne, ni pour les artistes ni pour les spectateurs. Si à l'avenir il ne sera plus possible de faire des films gros budgets avec un minimum de fond, et bien que tous nous en prenions acte et regardons vers l'avenir. Ce n'est pas pour autant que l'art cinématographique est nécessairement mort. Et ce milieu ne peut et ne pourra pas faire l'économie d'une réflexion sur son impact écologique, comme tout autre secteur industriel.
Je t'ai déjà répondu là-dessus
En l'écrivant, j'ai effectivement eu une sensation de déjà vu.
Lohmann a écrit : ↑13 juin 22, 13:57Pleurer sur ce qui a été mais n'est/ne sera plus possible n'est sain pour personne, ni pour les artistes ni pour les spectateurs. Si à l'avenir il ne sera plus possible de faire des films gros budgets avec un minimum de fond, et bien que tous nous en prenions acte et regardons vers l'avenir. Ce n'est pas pour autant que l'art cinématographique est nécessairement mort. Et ce milieu ne peut et ne pourra pas faire l'économie d'une réflexion sur son impact écologique, comme tout autre secteur industriel.