Michael Bay
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Re: Michael Bay
Il doit confondre avec Michael Lindsay-Hogg.
Meilleur topic de l'univers
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Re: Michael Bay
Enfin!
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- Watkinssien
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Re: Michael Bay
Michael Bay est à la fois un grand kéké, un gamin de 14 ans et un vrai enthousiaste bas du front sur le cinéma qu'il fait.
Ce n'est pas forcément si passionnant que ça, mais il y a quelques anecdotes sympathiques (notamment celle avec Sean Connery).
Et définitivement de prouver à tchi-tcha que "l'Orson Welles du cinéma d'action" est une blague déjà surannée.
Ce n'est pas forcément si passionnant que ça, mais il y a quelques anecdotes sympathiques (notamment celle avec Sean Connery).
Et définitivement de prouver à tchi-tcha que "l'Orson Welles du cinéma d'action" est une blague déjà surannée.


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Re: Michael Bay
Passionnant
...même si beaucoup trop court
Trois films sont posés en évidence : Speed, Fast & Furious 9 et Citizen Kane. L'un des trois sera complètement zappé faute de temps, à votre avis lequel ?
Passionnant, mais beaucoup trop court, donc
Edit : grillé par un fan plus rapide
Et définitivement de prouver à certains que Michael Bay est un réalisateur MAJEUR, celui qui a le plus influencé le cinéma ces trente dernières années, comme il le reconnaît lui-même au détour d'une question sur FF9. Le Orson Welles du cinéma moderne, définitivement

...même si beaucoup trop court

Trois films sont posés en évidence : Speed, Fast & Furious 9 et Citizen Kane. L'un des trois sera complètement zappé faute de temps, à votre avis lequel ?
Passionnant, mais beaucoup trop court, donc

Edit : grillé par un fan plus rapide

Et définitivement de prouver à certains que Michael Bay est un réalisateur MAJEUR, celui qui a le plus influencé le cinéma ces trente dernières années, comme il le reconnaît lui-même au détour d'une question sur FF9. Le Orson Welles du cinéma moderne, définitivement

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Re: Michael Bay
Un passionnant bonhomme quand même, malgré nos différences de goûts assez... fortes, et qui a l'air hyper sympa. Mais cette teinture, c'est vraiment pas possible.
-
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Re: Michael Bay
En tout cas, j'aime beaucoup sa vanne sur Jan de Bont.
- tchi-tcha
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Re: Michael Bay
Je me demandais qui serait le premier à se moquer de la couleur de cheveux de Donal... de Michael.
Quand on ne peut pas attaquer un homme pour son talent, on l'attaque sur son physique
L'influence des frères Coen, l'influence un chouïa moins bien digérée de Heat sur Ambulance, des anecdotes sur Spielberg, une imitation de Sean Connery, son refus d'employer une seconde équipe pour les scènes d'action, une déclaration d'amour à West Side Story (l'original dont il est fan tout comme AtCloseRange), l'explication de la nervosité de ses montages (il monte court par manque d'argent, comme un Orson Welles sur Othello, en somme)... On a même droit à une mini-leçon de cinéma : pour lui, "inventivité" = "bouger la caméra très vite dans tous les sens" (encore une influence wellsienne, on y revient toujours).
Même s'il passe complètement à côté de certains classiques et de tout un pan du cinéma européen (probablement simplement par faute de temps et parce que le journaliste n'a même pas pensé à l'orienter dans cette direction), on a connu des épisodes nettement moins intéressants.
Ce qui me permet d'enchaîner sur mon Top Michael Bay (car oui, je commence à prendre goût à l'exercice des tops) :
C'est regardable et ça peut même se revoir avec un certain plaisir même pas coupable, voire avec un plaisir certain :
1. Bad Boys II (assurément LE monument de Michael Bay)
2. No Pain No Gain
3. Transformers
C'est pas parfait mais ça reste sympathique :
4. Bad Boys
5. The Island
C'est sympa quand y'a Sean Connery, mais moins fun quand Sean Connery n'est plus là :
- The Rock
C'est parfaitement insupportable, épuisant de bêtise crasse et irregardable :
- Armageddon (atroce, celui-ci)
- Transformers III
- Pearl Harbor
Oui il en manque, mais je fais ça de mémoire et vous n'allez pas m'obliger à revoir Transformers II, faut pas pousser.
Quant au petit dernier, je classerais Ambulance parmi les déceptions, pas aussi ludique qu'il voudrait, assez fatiguant et embarrassant de ringardise.
Mais je laisserai la parole à Torrente pour la défense, puisqu'à l'heure actuelle sa note doit au moins être montée à 17.



Quand on ne peut pas attaquer un homme pour son talent, on l'attaque sur son physique

L'influence des frères Coen, l'influence un chouïa moins bien digérée de Heat sur Ambulance, des anecdotes sur Spielberg, une imitation de Sean Connery, son refus d'employer une seconde équipe pour les scènes d'action, une déclaration d'amour à West Side Story (l'original dont il est fan tout comme AtCloseRange), l'explication de la nervosité de ses montages (il monte court par manque d'argent, comme un Orson Welles sur Othello, en somme)... On a même droit à une mini-leçon de cinéma : pour lui, "inventivité" = "bouger la caméra très vite dans tous les sens" (encore une influence wellsienne, on y revient toujours).
Même s'il passe complètement à côté de certains classiques et de tout un pan du cinéma européen (probablement simplement par faute de temps et parce que le journaliste n'a même pas pensé à l'orienter dans cette direction), on a connu des épisodes nettement moins intéressants.
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Ce qui me permet d'enchaîner sur mon Top Michael Bay (car oui, je commence à prendre goût à l'exercice des tops) :
C'est regardable et ça peut même se revoir avec un certain plaisir même pas coupable, voire avec un plaisir certain :
1. Bad Boys II (assurément LE monument de Michael Bay)
2. No Pain No Gain
3. Transformers
C'est pas parfait mais ça reste sympathique :
4. Bad Boys
5. The Island
C'est sympa quand y'a Sean Connery, mais moins fun quand Sean Connery n'est plus là :
- The Rock
C'est parfaitement insupportable, épuisant de bêtise crasse et irregardable :
- Armageddon (atroce, celui-ci)
- Transformers III
- Pearl Harbor
Oui il en manque, mais je fais ça de mémoire et vous n'allez pas m'obliger à revoir Transformers II, faut pas pousser.
Quant au petit dernier, je classerais Ambulance parmi les déceptions, pas aussi ludique qu'il voudrait, assez fatiguant et embarrassant de ringardise.
Mais je laisserai la parole à Torrente pour la défense, puisqu'à l'heure actuelle sa note doit au moins être montée à 17.



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Re: Michael Bay
Laissez-moi tranquille

Pour te parler franchement, je rejette tout ce que tu as dit sur Ambulance. S'il fallait qu'on en parle, il faudrait que ce soit de vive voix, autour d'un verre et je reprendrais chaque mot et chaque ponctuation donc ça prendrait du temps. Je préfère donc éviter ce genre de faux débat sans fin puisqu'ils sont assurément stériles (même si je me doute que je viens de mettre la pièce de trop dans la machine et que je vais réveiller les volcans malgré moi).
Ensuite, je ne pense pas que Bad Boys II soit le sommet de la carrière de son réalisateur.
Pour finir, je trouve que tu fais fausse route sur la réflexion de Bay à propos de son Pearl Harbor. Pour moi, justement, il le pointe clairement du doigt comme son film le moins réussi puisqu'il dit bien que la lumière fait tout (selon lui, hein, qui suis-je pour le contredire) et que sur ce film, la lumière est ratée. Là dessus, je ne lui donnerais pas tort, c'est de très loin son plus mauvais film (avec Bad boys et Transformers 2).
Concernant un Top, je dirais simplement que, pour moi, le meilleur Bay est son prochain et qu'ils sont peu nombreux dans ce cas donc je savoure et je me sens toujours chanceux devant l’œuvre (grande ou petite) de certains artistes (majeurs ou mineurs) qui partagent ce même point commun.
- tchi-tcha
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Re: Michael Bay
Trois films (plus un).
Bad Boys II
Par facilité ou par moquerie, on réduit souvent Bad Boys II à son côté "je pousse le bouchon trop loin à tous les étages", mais il a l'avantage d'être moins parasité par les relents patriotes militaristes qui me gênent par moment ailleurs (pas forcément conscients, Bay semble sincèrement tout simplement content d'avoir des potes dans l'armée qui lui permettent de filmer des gros jouets trop super), et de ne pas avoir de robots géants (donc un moindre recours contraignant aux effets numériques).
Et c'est un peu la profession de foi de Michael Bay. Si ça coince avec Welles, puis-je au moins faire un rapprochement entre Bay et Renny Harlin ? Les deux ont leurs différences (les deux sont aussi souvent catalogués comme de gros tâcherons bûcherons bourrins), mais il partagent ce même goût enfantin de faire péter plein de trucs à l'écran. Évidemment, cette profession de foi se traduit par des lâchers de cadavres dans les rues complètement gratuits, par les vannes autour de Martin Lawrence auquel Will Smith a troué le cul et par un filmage stroboscopique épileptique au-delà du bon goût. Mais si on l'accepte c'est très fun (et ça fait vraiment tout péter, jusqu'au méchant qui explose sur une mine au cas où la balle dans la tête ne suffirait pas).
Petit détail qui coince, Guantanamo = Amérique = liberté
No Pain No Gain
Si un film de Bay devait me poser problème, ce serait No Pain No Gain. Je n'arrive pas à décider jusqu'à quel point Michael Bay est conscient de ce qu'il fait et à partir de quel moment on se met à sur-interpréter ses intentions. Drôle d'objet quoi qu'il en soit.
Pearl Harbor
Pearl Harbor, c'est un peu La Couleur Pourpre de Michael Bay, sa façon de dire "hey, je fais pas que des blockbusters bruyants, je suis aussi un cinéaste, prenez-moi au sérieux."
Il croit réactiver le grand mélodrame classique en clonant David Lean, sauf que ça s'appelle Pearl Harbor et qu'on a un gros décor à faire péter, alors au bout de deux heures il craque (bon, il aura tenu plus longtemps qu'avec The Island, c'est déjà ça). Et son triangle amoureux trouve une résolution toute simple : "ok on est amoureux de la même fille, mais allons d'abord faire péter des japonais et on verra ça en rentrant."
Ce n'est pas son film le plus hystérique, mais ça reste celui dont le visionnage a été la plus grosse et la plus longue séance de torture.
Plus un : Ambulance
La discussion risquerait en effet d'être stérile pour une raison qui tient en deux mots : Jake Gyllenhaal. Il est supposé incarner un super-braqueur de banques à la De Niro, mais ça ne passe pas, ça me sort complètement du film, et c'est insurmontable.
Bad Boys II
Par facilité ou par moquerie, on réduit souvent Bad Boys II à son côté "je pousse le bouchon trop loin à tous les étages", mais il a l'avantage d'être moins parasité par les relents patriotes militaristes qui me gênent par moment ailleurs (pas forcément conscients, Bay semble sincèrement tout simplement content d'avoir des potes dans l'armée qui lui permettent de filmer des gros jouets trop super), et de ne pas avoir de robots géants (donc un moindre recours contraignant aux effets numériques).
Et c'est un peu la profession de foi de Michael Bay. Si ça coince avec Welles, puis-je au moins faire un rapprochement entre Bay et Renny Harlin ? Les deux ont leurs différences (les deux sont aussi souvent catalogués comme de gros tâcherons bûcherons bourrins), mais il partagent ce même goût enfantin de faire péter plein de trucs à l'écran. Évidemment, cette profession de foi se traduit par des lâchers de cadavres dans les rues complètement gratuits, par les vannes autour de Martin Lawrence auquel Will Smith a troué le cul et par un filmage stroboscopique épileptique au-delà du bon goût. Mais si on l'accepte c'est très fun (et ça fait vraiment tout péter, jusqu'au méchant qui explose sur une mine au cas où la balle dans la tête ne suffirait pas).
Petit détail qui coince, Guantanamo = Amérique = liberté

No Pain No Gain
Si un film de Bay devait me poser problème, ce serait No Pain No Gain. Je n'arrive pas à décider jusqu'à quel point Michael Bay est conscient de ce qu'il fait et à partir de quel moment on se met à sur-interpréter ses intentions. Drôle d'objet quoi qu'il en soit.
Pearl Harbor
Pearl Harbor, c'est un peu La Couleur Pourpre de Michael Bay, sa façon de dire "hey, je fais pas que des blockbusters bruyants, je suis aussi un cinéaste, prenez-moi au sérieux."
Il croit réactiver le grand mélodrame classique en clonant David Lean, sauf que ça s'appelle Pearl Harbor et qu'on a un gros décor à faire péter, alors au bout de deux heures il craque (bon, il aura tenu plus longtemps qu'avec The Island, c'est déjà ça). Et son triangle amoureux trouve une résolution toute simple : "ok on est amoureux de la même fille, mais allons d'abord faire péter des japonais et on verra ça en rentrant."
Ce n'est pas son film le plus hystérique, mais ça reste celui dont le visionnage a été la plus grosse et la plus longue séance de torture.
Plus un : Ambulance
La discussion risquerait en effet d'être stérile pour une raison qui tient en deux mots : Jake Gyllenhaal. Il est supposé incarner un super-braqueur de banques à la De Niro, mais ça ne passe pas, ça me sort complètement du film, et c'est insurmontable.
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Re: Michael Bay
Je pense comme toi mais je préciserai "cinéma américain". Ses films, sans pourtant en préciser un seul comme Welles (ils forment une sorte de bloc), ont autant influencé Hollywood ces 25 dernières années que Citizen Kane l'a fait sur les quarante années qui ont suivi sa sortie.tchi-tcha a écrit : ↑27 mars 22, 01:56
Et définitivement de prouver à certains que Michael Bay est un réalisateur MAJEUR, celui qui a le plus influencé le cinéma ces trente dernières années, comme il le reconnaît lui-même au détour d'une question sur FF9. Le Orson Welles du cinéma moderne, définitivement![]()
Après, Michael Bay arrive après Jean-Marie Poiré et Les visiteurs qui déjà donnait un avant-goût de cette nouvelle manière de filmer, monter, découper... Et je me pose la question si Bay n'avait pas déjà vu le cinéma de Poiré en voulant le pousser à ses derniers retranchements. Et que, en poussant la réflexion jusqu'au bout, si le cinéma de Bay est l'équivalent de Citizen Kane pour les années 2000, Les visiteurs en serait le A bout de souffle!
Et je précise que je suis à (demi) sérieux!
- Watkinssien
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Re: Michael Bay
Citizen Kane a influencé le cinéma mondial, je tiens à le repréciser avant d'aller gerber.

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Re: Michael Bay
Après, c'est vrai qu'il apparaît très sympa sur cette vidéo (un grand ado de près de 60 ans) et je le trouve presque old school lorsqu'il dit qu'il n'aime pas trop les CGI et préfère filmer le réel.
On va dire que le cinéma US actuel est l'héritier de Michael Bay pour le langage cinématographique et de George Lucas pour la technique.
Watkinssien a écrit : ↑27 mars 22, 11:05 Citizen Kane a influencé le cinéma mondial, je tiens à le repréciser avant d'aller gerber.

C'est vrai. Ceci-dit, le film de Welles a conduit le cinéma américain dans une sorte de maturité cinématographique (avec, en mode plus mineur, Stagecoach de Ford et Le faucon maltais de Huston).
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Re: Michael Bay
C'est un peu n’importe quoi, on parle de Michael Bay sans parlé d'une de ses rares réussite qui est 13 Hours, film très efficace, le seul que j'aime bien avec The rock.
Bad Boys 2 je veux bien retenter le coup, mais dans mon souvenir il est tout aussi lourd que le 1.
Bad Boys 2 je veux bien retenter le coup, mais dans mon souvenir il est tout aussi lourd que le 1.
- tenia
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Re: Michael Bay
Le 1 est surtout assez oubliable et quelconque, précédant globalement le "Bayhem".
Le 2 pêche surtout par sa longueur excessive (notamment son final en 2 temps), mais si on aime le style de Bay et son humour parpaing, c'est un certain concentré.
13 Hours, j'ai l'impression qu'il est étrangement assez peu connu par rapport au reste de la filmo de Bay (alors qu'effectivement, c'est un bon film qui n'en mérite pas tant).
Le 2 pêche surtout par sa longueur excessive (notamment son final en 2 temps), mais si on aime le style de Bay et son humour parpaing, c'est un certain concentré.
13 Hours, j'ai l'impression qu'il est étrangement assez peu connu par rapport au reste de la filmo de Bay (alors qu'effectivement, c'est un bon film qui n'en mérite pas tant).