Joe Dante

[Rick Deckard]

Garder son âme d’enfant… sauf que pour ce film, je n’ai pas pu le voir enfant!

(d’ailleurs je me rends compte que si c’est pas du naphta, au sens classikien, je n’ai pas pu le voir enfant)

[Barry Egan]

Small Soldiers

Pas vraiment pour les enfants, j'ai trouvé ça même effrayant par moments, tout ce plastique brûlé, ces puces micro-électroniques implantées dans des corps à moitié démembrés... L'ambiance quasi-totalement nocturne et la colorimétrie pas vraiment fraise tagada achèvent le travail. Heureusement qu'il y a un peu d'imagination et de tendresse parfois pour calmer un peu les choses mais dans l'ensemble, c'est un sacré cauchemar

"Nous sommes en guerre", qu'il disait. Et à la fin, on distribuera des chèques, pour apaiser tout le monde face aux dégâts.

[manuma]

Les retours sur ce titre de Dante (que j'avais beaucoup apprécié à l'époque, plus que Homecoming) sont rares, il me semble. Je le range au chaud ici...

Hier soir, j'ai (re)découvert The Screwfly Solution (La Guerre des Sexes en VF - 2006) qui reste certainement ce que j'ai vu de moins abouti chez Joe Dante. J'avais gardé un chouette souvenir du bouquin d'Alice Sheldon (agent de la CIA reconvertie dans l'écriture de nouvelles SF), conseillée par ma prof' d'anglais au lycée et adaptée ici par Mick Garris qui ne peut pas s'empêcher d'abîmer tout ce qu'il touche. On ne reconnaît en rien la Dante touch, c'est plan-plan, mal fichu, mal joué (malgré la présence d'Elliott Gould) et seuls les SFX des 3 dernières minutes sauvent le métrage du désastre. Dommage, parce que le bouquin féministe pourrait donner naissance à un excellent film.
4/10

Ce soir, ce sera la découverte de The Hole pour achever mon cycle Dante.

[AtCloseRange]

Les retours sur ce titre de Dante (que j'avais beaucoup apprécié à l'époque, plus que Homecoming) sont rares, il me semble. Je le range au chaud ici...

Hier soir, j'ai (re)découvert The Screwfly Solution (La Guerre des Sexes en VF - 2006) qui reste certainement ce que j'ai vu de moins abouti chez Joe Dante. J'avais gardé un chouette souvenir du bouquin d'Alice Sheldon (agent de la CIA reconvertie dans l'écriture de nouvelles SF), conseillée par ma prof' d'anglais au lycée et adaptée ici par Mick Garris qui ne peut pas s'empêcher d'abîmer tout ce qu'il touche. On ne reconnaît en rien la Dante touch, c'est plan-plan, mal fichu, mal joué (malgré la présence d'Elliott Gould) et seuls les SFX des 3 dernières minutes sauvent le métrage du désastre. Dommage, parce que le bouquin féministe pourrait donner naissance à un excellent film.
4/10

Ce soir, ce sera la découverte de The Hole pour achever mon cycle Dante.

J'avais beaucoup aimé. Le meilleur épisode des Masters of Horror.

[mannhunter]

J'en ai un bon souvenir également, j'avais trouvé cet épisode assez brutal, dérangeant.

Sinon toujours pas de retour au cinéma (ou Netflix..) pour Joe Dante, 8 ans après "Burying the ex"?

[Invité1]

J'avais beaucoup aimé. Le meilleur épisode des Masters of Horror.

Peut-être parce que j'ai découvert le bouquin avant le métrage que j'avais déjà vu il y a quelques années, qui ne m'avait déjà pas emballée et à qui j'ai souhaité redonner une chance.
Mais non, rien à faire, je trouve qu'il n'y a rien qui va. Dante expose ses personnages et leur univers pendant 30 minutes (ok, parfait), puis nous dévoile le dénouement de tout le bazar en mode ''je pose ça là, faites-en ce que vous voulez" et peine à émouvoir en filmant la survie du personnage principal féminin en une petite quinzaine de minutes chrono, twist final inclus.
Peut-être que tout cela aurait fonctionné sur une durée de 105 ou 120 minutes. Mais sur un format de 56 minutes, tout devient scénaristiquement mal fichu.
Quant au casting, Linda Darlow surjoue à mort, Elliott Gould est totalement effacé et le beau gosse Jason Priestley est aussi effrayant que Casper le fantôme dans les scènes où il est censé être vraiment glauque lorsqu'il tripote sa fille et menace sa femme.

À mon avis, le meilleur épisode de Masters of Horror reste Cigarette Burns de John Carpenter. Une œuvre hyper malsaine et ultra maîtrisée à mes yeux. Mais bon, tout ça n'est sûrement qu'une histoire de goût...

[mannhunter]

À mon avis, le meilleur épisode de Masters of Horror reste Cigarette Burns de John Carpenter. Une œuvre hyper malsaine et ultra maîtrisée à mes yeux. Mais bon, tout ça n'est sûrement qu'une histoire de goût...

en effet...j'avais trouvé ce Carpenter bien médiocre, un de ses films les plus faibles, "remake" laborieux et pas très bien joué du formidable "l'antre de la folie".
Mais bon, en bon inconditionnel de Carpenter, je le retenterai un de ces quatre..

[Invité1]

j'avais trouvé ce Carpenter bien médiocre, un de ses films les plus faibles

Ok.

[The Eye Of Doom]

Sinon The Hole, ca t’as plu ?
Contre toutes attentes, j’avais trouvé ca pas mal.

[Invité1]

Je le regarde ce soir. Je devais le faire hier mais je me suis endormie juste après The Screwfly Solution.

[Alexandre Angel]

J'avais été assez déçu pour ma part.

Revu récemment, L'Aventure intérieure, par contre, a gagné du galon.

[Invité1]

Oui, il parait que c'est un Dante assez mineur, je verrais bien.
Mais bon, il y a Haley Bennett et j'aime beaucoup cette actrice.

L'Aventure Intérieure, je l'ai vu enfant. Il faudrait que je le récupère en BR pour m'y replonger.

[Torrente]

Mais bon, il y a Haley Bennett et j'aime beaucoup cette actrice.

Depuis que je l'ai vue dans Swallow, j'ai rejoint le fan club.

Et The hole n'était pas atroce dans mon souvenir.
The hole, Swallow, elle choisit bien ses films, cette petite coquine... pardon

Par contre, la révision de Small soldiers me fut extrêmement pénible. A un point rarement atteint. Ça m'avait miné le moral.

[Watkinssien]

À mon avis, le meilleur épisode de Masters of Horror reste Cigarette Burns de John Carpenter. Une œuvre hyper malsaine et ultra maîtrisée à mes yeux. Mais bon, tout ça n'est sûrement qu'une histoire de goût...

Je sais, ça fait redite, mais:

[Invité1]

J'avais beaucoup aimé. Le meilleur épisode des Masters of Horror.

Par contre, la révision de Small soldiers me fut extrêmement pénible. A un point rarement atteint. Ça m'avait miné le moral.

Ce qui serait chouette, c'est que vous argumentiez au minimum le pourquoi du comment.

Je sais, ça fait redite, mais:

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