Il y a plus de cinéma dans une minute du jeu-vidéo Uncharted que dans deux heures de ce film. Autre énoooorme différence avec le jeu : Nathan Drake ne tire aucun coup de feu . Pendant toute la séance j'ai eu comme la désagréable impression de regarder un Marvel. Même humour pas drôle omniprésent, même image numérique affreusement lisse, même scène post-générique censée nous teaser sur la suite inévitable. Si ça c'est pas une note d'intention. J'espère que les prochaines productions Playstation aura un peu plus d'allure que cette resucée fadasse et plate.
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Énième divertissement régressif dispensable oubliable et décérébré. Soderbergh s'adapte aisément aux "exigences" des plateformes. Zoë Kravitz assure le câlin des roubignoles pendant 1h30. Final grotesque où la résilience consiste à
passer de l'agoraphobie insurmontable au triple meurtre en quelques pirouettes et avec le sourire pour aller enfin chercher son sandwich au foodtruck d'en bas.
C'est lamentable, comme les 3/4 de la VOD/DTV, que j'évite le plus possible. Je voulais savoir où en était Soderbergh, et ben c'est gratiné...
Demi-Lune a écrit : ↑14 oct. 21, 15:27Ah par contre je suis affirmatif, monfilm = primus.
Je suis également Julien, Soleilvert, Nicolas Brulebois, Riqueunee, Boris le hachoir, Francis Moury, Yap, Bob Harris, Sergius Karamzin ... et tous les "invités" pas assez bien pour vous