
Parce que ça y est, c'est devenu officiellement n'importe quoi.
Les morceaux d'action sont encore plus gigantesques que ceux de l'opus précédent, jusqu'à en devenir totalement absurdes (le climax et sa piste d'atterrissage la plus longue de l'univers) : plus aucune loi de physique élémentaire n'a d'importance, tout le monde fait n'importe quoi, c'est bon ça devrait passer...
Sauf que non, ça ne passe plus au bout d'un moment. On s'en fout même, ça ne devient plus du tout excitant. C'était fun dans le 5 ; c'est juste débile dans le 6.
Et c'est en plus d'une vulgarité sans nom, avec une BO absolument atroce (du sous-sous-sous Zimmer...imaginez le désastre).
Et Vincent Gasoil est toujours aussi nul, j'y crois pas 1 seule seconde à ce gars-là, quand il montre ses gros bras et joue au héros d'action (surtout quand il y The Rock juste à côté de lui).
Voilà, à bientôt pour la suite de mon passionnant compte-rendu.
